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Humanisme

Humanisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ainsi, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel. L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Humanisme et philosophie[modifier | modifier le code] Dans l'acception actuelle, l'humanisme s'inspire de cette définition philosophique. Depuis Montaigne, l'humanisme, ainsi conçu, a été un des éléments les plus constants de la pensée française. Sens courant donné à l'humanisme: L'humanisme pratique ou moral consistait à s'imposer, vis-à-vis de tout être humain, des devoirs et des interdits éthiques : ne pas tuer, ne pas torturer, ne pas opprimer, ne pas asservir, ne pas violer, ne pas voler, ne pas humilier… Fondé sur le respect et la justice, cet humanisme-là revient donc à respecter les droits fondamentaux de l'être-humain. Racines de l'humanisme moderne[modifier | modifier le code] Humanisme et moralité[modifier | modifier le code] 1. 2. Related:  Philosophie politique`test 1017`test 1017

Positivisme Le positivisme scientifique d'Auguste Comte s'en tient donc aux relations entre les phénomènes et ne cherche pas à connaître leur nature intrinsèque : il met l'accent sur les lois scientifiques et refuse la recherche des causes premières. Après la mort de Comte, en 1857, le courant fut bientôt en proie à de nombreuses tensions internes ; cependant, le positivisme a marqué de nombreux domaines de la pensée du XIXe siècle, exerçant une influence entre autres sur la médecine[1], l'empirisme logique, et sur divers courants qui ne sont pas tous liés entre eux (comme le positivisme juridique, certains courants anglais qui dérivent de l'altruisme comtien, ou encore le néopositivisme contemporain). Origines[modifier | modifier le code] Les idées du positivisme puisent leur source dans certaines formulations de Denis Diderot qui soutient un « matérialisme enchanté » et donc une forme d'empirisme[2], D'Alembert et Turgot, ainsi que de leurs amis et élèves Lagrange et Condorcet. Voir aussi :

Misanthropie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La misanthropie (du grec ancien μῖσος / mîsos « haine » et ἄνθρωπος / ánthrôpos « homme », « genre humain ») est l'art de détester et de mépriser le genre humain sans aucune distinction de sexe. La misanthropie s'oppose à la philanthropie et ne doit pas être confondue avec la misogynie ou la misandrie. Aristote suit une démarche encore plus ontologique : le misanthrope, qui est essentiellement un homme solitaire, n'est pas du tout un homme : il doit être un monstre ou un dieu, opinion reflétée dans la Renaissance de la misanthropie comme un « état monstrueux »[3]. De nos jours, on considère comme misanthrope une personne se tenant loin de ses semblables et aimant la solitude. Dans la littérature[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Misanthropy » (voir la liste des auteurs)

Cartésianisme — Wikipédia Principia philosophiae, 1685 Le cartésianisme est un courant philosophique qui se réclame des principes et des thèses de la pensée de René Descartes (1596-1650). Le cartésianisme s'est particulièrement manifesté à travers le premier ouvrage philosophique publié en langue française, le célèbre Discours de la méthode (1637), sous-titré « pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences ». Le cartésianisme est une philosophie rationaliste et métaphysique. Description[modifier | modifier le code] Contexte de la naissance du cartésianisme[modifier | modifier le code] Pour bien comprendre les caractéristiques de la philosophie de Descartes, il est nécessaire de revenir sur le contexte dans lequel cette philosophie a été élaborée. Au début du XVIIe siècle, le monde scientifique et philosophique se trouvait plongé dans la controverse ptoléméo-copernicienne. Caractéristiques générales[modifier | modifier le code] Rupture avec la scolastique[modifier | modifier le code] « [...]

Humanisme de la Renaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'humanisme est un mouvement de pensée européen pendant la Renaissance qui se caractérise par un retour aux textes antiques comme modèle de vie, d'écriture et de pensée[N 1]. Le terme est formé sur le latin : au XVIe siècle, l'humaniste, « l'umanista » s'occupe d'humanités, studia humanitatis en latin : il enseigne les langues, les littératures et les cultures latines et grecques. Plus largement, le terme humanitas est pris dans le sens cicéronien et représente « la culture qui, parachevant les qualités naturelles de l'homme, le rend digne de ce nom[1] ». L'humanisme au sens d'étude littéraire et philologique de la culture antique côtoie ce sens élargi pendant toute la période et encore aujourd'hui dans l'historiographie. C’est avec Pétrarque (1304-1374) que naît en Italie l'humanisme. Origine et développement[modifier | modifier le code] Les prémices[modifier | modifier le code] La place de Dante[modifier | modifier le code]

Comprendre la procrastination Zenobie et la procrastinationQuand la procrastination devient invalidante Procrastination positive: demain c’est bien aussi 1001 procrastinations Changement et bénéfice des comportementsProcrastination et perfectionnisme: mythe ou réalité? Procrastination et peur du jugementProcrastination et peur de l’inconnuProcrastination et gestion du temps: mauvaise pioche Apprivoiser la procrastination et développer des ressources Faut-il vraiment se débarrasser de la procrastination? Accueillir la procrastination Procrastination et estime de soiProcrastination: la stratégie du COQ Procrastination: le changement de perception Procrastination, performance et sérendipité Remédier à la procrastination Reconversion professionnelle: solitude et procrastination Création d’entreprise et procrastination: coaching en direct (1) Coaching procrastination (2) Dossiers complets:RelationsCommunicationComprendre les émotionsConnaissance de soi Ithaque – Sylvaine Pascual

Humanisme séculier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'humanisme séculier est un courant de pensée [Quand ?] se fondant sur la raison et l'éthique pour aider au développement personnel des individus et à l'amélioration de la société. Il diffère des humanismes religieux car il n'est pas fondé sur la croyance ou la soumission à un dogme religieux. Définition[modifier | modifier le code] Le but de l'humanisme séculier est de rendre les êtres humains heureux et autonomes. Un des principes fondateurs de ce courant est que l'idéologie (religieuse ou politique) doit être examinée par chaque individu et non pas simplement acceptée ou rejetée en se fondant sur la foi. Pour cette raison, cet humanisme est aussi appelé humanisme scientifique. Principes[modifier | modifier le code] L'humanisme séculier décrit une vision du monde basée sur ces principes[3]: Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Communisme et anarchie bookCommunisme et anarchiePierre KropotkinePublications des « TEMPS NOUVEAUX », N° 271903VCommunisme et anarchieKropotkine - Communisme et anarchie.djvuKropotkine - Communisme et anarchie.djvu/13-18 L’importance de la question a à peine besoin d’être rappelée. Beaucoup d’anarchistes et de penseurs en général, tout en reconnaissant les immenses avantages que le communisme peut offrir à la société, voient dans cette forme d’organisation sociale un danger pour la liberté et le libre développement de l’individu. D’autre part, prise dans son ensemble, la question rentre dans un autre problème, si vaste, posé dans toute son étendue par notre siècle : la question de l’Individu et de la Société. Le problème a été obscurci de diverses façons. Il faudra donc, dans l’intérêt de la discussion, envisager séparément : La production et la consommation en commun ; La cohabitation — est-il nécessaire de la modeler sur la famille actuelle ? Les communes isolées de notre temps ;

Réforme protestante — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Réforme. Amorcée dès le XVe siècle et culminante au XVIe siècle, la Réforme protestante est une volonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin de considérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle reflète l'angoisse des âmes[1], par la question du salut, centrale dans la réflexion des réformateurs, qui dénoncent la corruption de toute la société engendrée par le commerce des indulgences. Les réformateurs profitent de l'essor de l'imprimerie pour faire circuler la Bible en langues vulgaires (notamment l'allemand après la première traduction réalisée par Martin Luther), et montrent qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. La référence à la Bible comme norme est néanmoins une des principales motivations des réformateurs. L'adoption de la Réforme a aussi un caractère politique. Les origines[modifier | modifier le code]

Humanistes et l’Europe (Les) | EHNE Au milieu du xive siècle, le poète italien François Pétrarque (1304-1374) annonce, dans un élan ivre d’espoir poétique, l’imminent commencement d’une époque nouvelle marquée d’un profond renouveau culturel embrassant les lettres, le savoir et les arts. Pionniers d’un vaste mouvement d’érudition, l’humanisme, destiné au xvie siècle à devenir « un modèle culturel dominant dans toute l’Europe », les humanistes italiens jettent ainsi les fondations d’une dynamique intellectuelle et culturelle « irrésistible qui a ouvert la voie à une transformation de la vision du monde, à un renouvellement des modes et des types de connaissance, à un élargissement des sources d’inspiration littéraire et artistique, à une refonte du système pédagogique… à une critique libératrice des traditions et des institutions… et, enfin, à une image nouvelle de l’homme » (J.-Cl. Margolin). La notion d’Europe recouvre pendant la Renaissance plusieurs réalités dont deux au moins sont incontestées.

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