Biocarburant
Ceux qui sont produits par la filière agricole sont désignés sous le vocable d'agrocarburant. Actuellement, deux filières principales coexistent : D'autres formes moins développées, voire simplement au stade de la recherche, existent aussi : carburant gazeux (biogaz, biométhane, dihydrogène), voire carburant solide (gazogène), etc. La production mondiale d'agrocarburants s'élève à 4 113 PJ en 2019, en progression de 56 % par rapport à 2010. La consommation mondiale de biocarburants a atteint 58,8 Mtep en 2011 (41,6 Mtep de bioéthanol et 17,2 Mtep de biodiesel), soit 3,1 % de la consommation mondiale des transports routiers. En Europe[2], depuis juillet 2011, pour être certifié « durable » un biocarburant doit répondre à des « normes de durabilité »[3], à travers sept mécanismes ou initiatives[4]. La consommation européenne a été de 14,4 Mtep en 2012, en hausse de 2,9 %[réf. nécessaire]. Dénomination[modifier | modifier le code] Première et deuxième générations[modifier | modifier le code]
Les agrocarburants, ça nourrit pas son monde
Voitures propres : la bioélectricité grille la priorité à l’éthanol
Pour aller loin avec sa voiture, vaut-il mieux alimenter son moteur avec un agrocarburant ou avec une batterie chargée par de l’électricité obtenue à partir d’une biomasse équivalente ? Il fallait bien que des scientifiques finissent par se poser cette question impertinente. Et que leur réponse, comme souvent, n’aille pas dans le sens gouvernemental. La France, l’Union européenne, les Etats-Unis… On ne compte plus les pays qui ont réagi à la hausse vertigineuse des cours du pétrole, l’an dernier, en boostant leur politique en faveur des agrocarburants. Soutien. Trois scientifiques américains (1) viennent de publier une analyse décapante qui prend le problème par un autre bout. Afin de balayer l’ensemble du problème, les trois chercheurs sont partis de deux plantes : le maïs et une grande céréale sauvage, le panic érigé (panicum virgatum). Le résultat peut sembler étrange. Recyclage. (1) J.E.
Ethanol
Données générales L’éthanol est un liquide incolore et volatil. Il se mélange à la plupart des solvants usuels et Il est également un carburant de substitution d’origine végétale, notamment le « bioéthanol », utilisé seul ou avec de l’essence ainsi qu’un désinfectant et un composant des boissons alcoolisées. L’éthanol constitue une matière première pour la production de nombreux composés : acide acétique, acrylate et acétate d’éthyle, éthers de glycol, éthylène, éthers-oxydes… Les secteurs les plus touchés par l’éthanol : Ce solvant est utilisédansl’industrie : des peintures, des vernis et des encres ; pharmaceutique, des parfums et cosmétiques ; des matières plastiques ; des explosifs extraction végétale. Quels sont les risques Douleur oculaire, risque neuropsychique, trouble de la mémoire, œdème cutané, risque cancérogène, risque pour la reproduction incendie. Risques aigus (exposition brève) Les moyens de prévention Substituer l’éthanol par un produit non dangereux ou moins dangereux.
Les acteurs des biocarburants défendent leur dispositif fiscal
C’est dans le cadre du salon de l’agriculture que les filières bioéthanol et biodiesel ont présenté, mardi, le contenu de leur livre blanc destiné aux candidats à la présidentielle. Avec un mot d’ordre : les biocarburants participent à la réindustrialisation du pays. « Cinq usines sont sorties de terre pour produire des biocarburants explique ainsi – à L’Usine Nouvelle - Sylvain Demoures, secrétaire général du SNPAA (Syndicat National des Producteurs d’Alcool Agricole). Mais ce sont des usines récentes, une dizaine d’années est nécessaire pour les amortir ». Dans cette approche industrielle, le livre blanc indique ainsi que les filières des biocarburants représenteraient plus de 11 000 emplois directs et indirects dans l’hexagone. Un ancrage qui pourrait être encore dopé par le développement du biodiesel et du bioethanol de deuxième génération.
Mettez du sang dans votre moteur! La tragédie des nécro-carburants
Alors que quelques pantins s'agitent frénétiquement dans l'arène électorale, l'arène véritable (au sens latin du terme: “arena”, “sable”) recouvre inexorablement la terre de son linceul stérile. Ces démagogues, de tous bords, promettent toujours plus de croissance: plus de salaires, plus de vacances, plus de travail, plus de consommation et bien sûr, plus de sécurité contre un ennemi inexistant: le seul terrorisme étant alimentaire et ce sont eux qui l'ont mis en place. Campagnes d'intoxication sommaire Au Salon de l'Agriculture 2007, une partie du hall 2 s'était transformée en salon de l'automobile! Ils étaient tous là, Peugeot, Ford, Renault, etc. Avec des grosses planètes qui pendaient du plafond et des petites fleurs peintes sur les portières des voitures. Les grands slogans sont lancés: biodiesels, biocarburants, or vert, carburants verts, « le carburant qui voit la vie en vert »... Mais le contexte politique a évolué. Inversion des valeurs. Désertification et Erosionsommaire
[Altermonde-sans-frontières] L’incroyable crime des biocarburants
Par Fabrice Nicolino Vous lirez plus bas la traduction en français d’un article du Financial Times, que m’adresse l’ami Christian Berdot, que je salue fraternellement. Comme ils doivent avoir peur ! Comme les puissants doivent redouter de futures émeutes de la faim ! Prenant le contre-pied de l’épouvantable politique sarkozyenne sur le sujet, les grandes institutions libérales de ce monde libéral osent dire tout haut ce que tant savent depuis des années : il faut arrêter les subventions à l’industrie des biocarburants. Tout de suite ! J’en bous de rage impuissante. Inutile de protester contre l’emploi du mot biocarburant, que j’assume pleinement. Après ce livre de 2007, j’ai alerté toutes les grandes associations écologistes - WWF, Greenpeace, Hulot, notamment - et rien n’a été lancé, ce qui est un déshonneur complet à mes yeux. (j’y ai remplacé le mot agrocarburants par celui de biocarburants) Un rapport demande instamment l’arrêt des subventions pour les biocarburants
[Altermonde-sans-frontières] Agrocarburants : Écologiquement douteux, économiquement juteux...
Par Napakatbra L’efficacité des agrocarburants de première génération n’est pas encore évaluée que la France lance un programme de deuxième génération, poétiquement nommé BioTfuel. Tant pis pour la cohérence scientifique. Les agrocarburants (aussi nommés biocarburants) de première génération sont produits à partir d’huiles végétales de différentes plantes (betterave, canne à sucre, colza, blé...). Crise alimentaire et environnementale Mais ces agrocarburants posent deux problèmes. What a BioTfuel world ( ?) Concernant le premier problème, le programme BioTfuel est plutôt une bonne chose, puisqu’il permettrait d’utiliser moins de surfaces agricoles. Impact écologique incertain Le Flou Total... Mais pourquoi attendre ? L’investissement global est estimé à 112 millions d’euros, il prévoit la construction de deux sites industriels. lesmotsontunsens.com Répondre à cet article