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Le codéveloppement, sa pratique et ses bénéfices

Le codéveloppement, sa pratique et ses bénéfices
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Impact Mapping Project plans and requirements documents are often shopping lists of features, without any context why such things are important. Without a clear mapping of deliverables to business objectives, and a justification of that mapping through impacts that need to be supported, it is incredibly difficult to argue why certain items should or shouldn't be invested in. In larger organisations with many project stakeholders or product sponsors, this leads to huge scope-creep as everyone's pet features and ideas are bundled in. An impact map puts all the deliverables in the context of the impacts that they are supposed to support. This allows us to compare deliverables and avoid over-investing in less important areas of a system.

Le co-developpement professionnel Au commencement … D'origine canadienne, le codéveloppement professionnel est une démarche mise au point dans les années 80 par Adrien Payette, professeur de management à l'ENAP de Montréal (Ecole Nationale d'Administration Publique). Adrien Payette est un praticien, depuis près de 20 ans, de cette méthode qui vise à redonner à l’expérience et à l’action leurs lettres de noblesse tout en multipliant les forces des intelligences individuelles. Le codéveloppement s'inspire du courant nord américain des pédagogies de l’action, de l’expérimentation et de la dynamique des groupes (Action Learning), avec pour précurseur Kurt Lewin. Le codéveloppement, comment le définir «Le groupe de codéveloppement professionnel est une approche de formation pour des personnes qui croient pouvoir apprendre les unes des autres afin d'améliorer, de consolider leur pratique.» Une autre définition pourrait encore être de parler d'une forme de coaching en groupe de pairs. Etape 1 : Exposé de la problématique

Les étudiants de l’ESSEC imaginent la société du futur Recevez nos newsletters : Réunis une semaine autour de six personnalités diverses, six cents étudiants de la grande école de commerce tentent de construire un projet innovant autour du thème du bien-être et du développement humain. Souhaitant faire comprendre à ses étudiants que «la société idéale de demain n’est possible qu’à travers leur créativité et leur engagement», l’ESSEC organise du 7 au 10 janvier une «Imagination Week», pour la troisième année consécutive. Pour y parvenir, six personnalités a priori très éloignées de l’univers habituel de ces jeunes viennent leur parler de leur métier et de leurs idées tout au long de la semaine. «L’objectif, c’est de dérouter les étudiants» Répartis par groupes de cinq, encadrés par des tuteurs spécialisés dans la créativité, les étudiants doivent ensuite formuler une problématique de leur choix, de préférence tournée vers l’avenir, à partir d’un thème donné. » Retrouvez plus de 950 formations en école de commerce

Les trois conceptions actuelles de l’autorité Depuis maintenant cinq années [1], le propos sur le concept d’autorité envahit tous les secteurs de la vie sociale. Il produit d’une part des discours politiques et médiatiques présentés comme des relais de l’opinion publique ; d’autre part des discours et des débats contradictoires entre les différentes disciplines des sciences humaines. Ainsi, certains philosophes, sociologues, psychologues, psychanalystes ou encore chercheurs en sciences de l’Education ébauchent une pensée alternative encore peu diffusée. À l’examen de ces différents discours, trois conceptions de l’autorité se dégagent que nous nommons « autorité autoritariste », « autorité évacuée » et « autorité éducative ». I - L’autorité autoritariste Une telle conception - qui se retrouve dans les propos de différents acteurs politiques - n’épargne pas l’Education nationale. II - L’autorité évacuée

Businessballs free online learning for careers, work, management, business training and education Quand l’entreprise décide de libérer l’intelligence collective – Orange Comment mettre l’intelligence collective au service de l’amélioration continue ? En d’autres termes, comment une entreprise peut-elle bénéficier des idées de chacun de ses collaborateurs, quelle que soit sa fonction, son statut, ses compétences ou son ancienneté ? L’innovation est-elle l’affaire de tous ou doit-elle être réservée à une poignée d’experts ? Un petit rappel historique s’impose. Initialement, les innovations étaient l’apanage d’iconoclastes, sortes de Géo Trouvetou, tels que Leonard de Vinci, Isaac Newton, Denis Papin ou encore Thomas Edison. Puis le monde de l’entreprise s’empara de l’innovation et créa des structures dédiées telles que le « bureau des méthodes » puis des directions « Recherche et développement ». Dans les années 90 la recherche de nouvelles idées fut concentrée dans des réunions de brainstorming. Seulement voilà, ces démarches, bien que différentes, reposaient toutes sur le même paradigme : l’innovation est réservée à ceux qui en ont la légitimité.

“La Poudrière et sa communauté déménagent en 2014 !” A propos Notre objectif de 3500% est atteint ! Et avec votre aide, nous pouvons aller encore plus loin. La nouvelle Poudrière est opérationnelle depuis le 15 janvier 2014. Il nous reste quelques jours pour dépasser les objectifs de notre financement sur Ulule : dans les jours qui nous séparent du 3 février, nous comptons sur vous pour nous aider à faire "exploser" le compteur à 4000€ ou plus. Merci à tous pour votre soutien sans failles ;) La Poudrière est un espace de travail et de partage (ou coworking) situé à Nancy, qu'on appelle plus communément un « tiers-lieu ». Le coworking est un "nouvel art de travailler" qui regroupe deux notions : un espace de travail partagé, mais aussi un réseau de travailleurs encourageant l'échange et l'ouverture. Portée et animée par l’association d’entrepreneurs "Coworking Nancy”, la Poudrière est un tiers-lieu qui a pour vocation d’être un « incubateur in vivo d’innovation sociale ». Les parties prenantes de la Poudrière La Poudrière en 2013 ?

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