Génération Y : un accueil en demi-teinte dans l'entreprise Publié le 18/04/2012 Attention, cet article a été publié le 18/04/2012. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Si les perceptions des chefs d’entreprise sur les jeunes salariés sont plutôt positives, un fossé générationnel semble s’être creusé entre les nouvelles recrues et leurs collègues. Une situation que les managers ont tout intérêt à prendre en compte dans la gestion des équipes. Égocentrique, désengagée, infidèle, impatiente, coupée de l’environnement tout en étant hyper-connectée : la génération Y est souvent décriée dans sa capacité à intégrer l’entreprise et à adhérer aux attentes des employeurs. Une génération critiquée par ses aînés Veiller à l’équilibre social Malgré tout, le tableau n’est pas totalement noir. Gilles Marchand Crédits photo : Fotolia.com
REPÈRE RH - Génération Y et emploi des seniors : où sont les vraies questions ? Organisé par de jeunes étudiants, un débat resitue ces thématiques dans leur contexte et dans leurs perspectives.À quoi songent les jeunes gens qui s’apprêtent à embrasser à la fois les RH et le monde du travail ? Le 4 avril, à Malakoff, les étudiants du Master IRH de l’Université Paris Descartes organisaient une soirée-débat sur les thèmes qui leur semblaient le plus dans l’air du temps.« Nous nous sommes réunis, nous avons discuté », explique Fabien Calvin, l’un de ces étudiants, « et nous sommes vite tombés d’accord ». Du chapeau sont sortis, dans l’ordre, la génération Y et l’emploi des seniors.Consultants, DRH, coach, sociologue et psychosociologue se sont donc retrouvés pour débattre de ces deux thématiques, autour desquels la littérature RH tourne en rond, en reposant toujours les mêmes questions.Le résultat ? « En fait, reconnaît Fabien quelques jours plus tard, nous avions plein de clichés en tête. Les cahiers du DRH, N° 186 © Tous droits réservés
entreprise Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Dérivé de entreprendre, daté de environ 1430-40 dans le sens de « prendre entre ses mains ». Nom commun[modifier | modifier le wikicode] entreprise /ɑ̃.tʁə.pʁiz/ féminin Ce que l’on entreprend, ce que l’on a entrepris, un projet. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] unité économique autonome (3) : société Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Expressions[modifier | modifier le wikicode] rachat d'entreprise par ses salariés Traductions[modifier | modifier le wikicode] Forme de verbe[modifier | modifier le wikicode] entreprise /ɑ̃t.ʁə.pʁiz/ Participe passé féminin singulier de entreprendre. Homophones[modifier | modifier le wikicode] entreprises → voir entreprendre Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] entreprise sur Wikipédia entreprise sur Wikiquote Références[modifier | modifier le wikicode]
emmerdeur? Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] D’emmerder avec le suffixe -eur. → voir merde Nom commun[modifier | modifier le wikicode] emmerdeur masculin (Vulgaire) (Injurieux) (Populaire) Personne emmerdante, c'est-à-dire qui importune, qui ennuie, qui énerve les autres. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] casse-pied, casse-couille, chieur Traductions[modifier | modifier le wikicode]
Pourquoi il ne faut pas avoir peur de la Génération Y Faut-il avoir peur de recruter un jeune de la "Génération Y", c’est-à-dire né entre les années 1980 et 1990 ? A en croire, Marc Lebailly, anthropologue et co-auteur de Pour une anthropologie de l’entreprise, il faut "arrêter avec les idées reçues sur la Génération Y", et donc ne pas considérer le jeune comme un salarié différent des autres. Loin d'être des "zappeurs" comme il est souvent admis, ces jeunes sont en fait animés des mêmes motivations que leurs aînés. L’étude, dirigée par l'anthropologue du cabinet de conseil Alternative Consulting Group (ACG), a passé au crible avec l’Observatoire culturel pas moins de 26.675 réponses déposées sur le site l’Etudiant.fr. Comme les autres générations, celle-ci est composée d'idéalistes (20%) ou d'enthousiastes (20%), selon les résultats du questionnaire en ligne. Plus enclins à créer qu'a vendre Existe-t-il un employeur modèle à leurs yeux ? L’image qu’ils ont de l’entreprise est variée. Quelles sont les motivations des jeunes Français ?
Génération Y : des tensions, mais pas de rejet… Publié le 31/01/2012 Attention, cet article a été publié le 31/01/2012. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Dans la 4e édition de son étude sur la génération Y, le CESI met en exergue de réelles tensions entre les générations, même si une majorité de sondés considère qu’il n’y a pas de phénomène génération Y. « Egocentrique, désengagée, infidèle, impatiente, aussi bien coupée du monde qu’hyper-connectée, difficile à intégrer en entreprise… » Les a priori sur la génération Y ne manquent pas. Première surprise, les 408 chefs d’entreprises interrogés ont une image radicalement différente des 1 014 salariés mis à contribution. Un fossé se creuse L’enquête révèle également que la crise n’a rien fait pour atténuer le fossé qui se creuse entre les jeunes salariés et leurs aînés. Des priorités identiques Yves Rivoal Crédits photo : Fotolia.com
Selon la génération Y, les bureaux n’ont plus leur raison d’être Oubliez les bas collants (et même les pantalons). Une étude récente suggère que les étudiants et les jeunes professionnels imaginent que leur journée de travail débutera, dans le futur, lorsqu’ils se retourneront dans leur lit, attraperont au vol leur ordinateur portable et leur appareil mobile préféré, puis plongeront immédiatement dans leur travail. Selon une enquête menée mondialement auprès de presque 3 000 étudiants et jeunes professionnels (les 18 à 29 ans du groupe de la génération Y), sept étudiants sur dix estiment qu’une présence régulière au bureau est inutile. Non seulement croient-ils qu’une présence régulière au bureau est inutile, mais trois étudiants sur cinq estiment qu’il est de leur droit (pas un simple privilège) de pouvoir travailler de la maison et de profiter d’un horaire flexible lorsqu’ils commenceront à travailler. Le télétravail et la flexibilité sont plus importants qu’une paye plus élevée Les jeunes professionnels de la génération Y croient que oui.
Jeunes diplômés, sachez contourner les difficultés L'Express/DahmaneIsabelle Hennebelle, chef de la rubrique Emploi de L'Express, journaliste RH, L'Expansion, fondatrice du Cercle de l'humain. Les intentions de recrutement des jeunes diplômés en 2012 fléchissent, après une année 2011 plus favorable que prévu", relève le baromètre Edhec emploi jeunes diplômés publié sur L'EXPRESS.fr. Face à la prudence des entreprises et dans un contexte de raréfaction des CDI, les jeunes diplômés doivent faire preuve d'agilité sur le marché de l'emploi. "Il peut être judicieux d'opter pour une stratégie de contournement, lance Manuelle Malot, directrice carrières et prospectives à l'Edhec. Ciblez les branches porteuses Apprenez un métier de pointe Rejoindre le marketing de L'Oréal ou de Danone fait rêver nombre de jeunes, en dépit du peu de postes offerts. Ainsi, le groupe international Emailvision proposait tout récemment un poste de responsable marketing junior. Optez pour les VIE
Why Gen Y Facebook users keep career info out By Vickie Elmer, contributor FORTUNE -- If you didn't think your job said all that much about who you are or who you want to be, would you put it on your Facebook profile? As many members of Generation Y struggle to develop their professional careers, most do not feel ready to share their current employer's name with their legions of Facebook friends. Two-thirds of those ages 18 to 29 do not list their employer's name on their Facebook profiles, and those who do share that information are more likely to work for the U.S. This reluctance to share professional information among the younger set might spring from a sense that their jobs don't measure up, that they haven't really established solid careers yet, or perhaps they've not yet bought into the evolution of Facebook as a job search and professional tool. "A lot of them cannot even get a professional type job…. Servers, CEOs, and lifeguards "Gen Ys want their jobs to feel like an extension of who they are. No love for the Fortune 500?
Les « Gen Y » perçus comme individualistes et ambitieux par leurs collègues Le divorce intergénérationnel entre les salariés des entreprises est-il aujourd'hui entamé ? Oui, si l'on en croit les résultats du quatrième volet de l'Observatoire Social de l'Entreprise Ipsos/Logica Business Consulting, réalisé pour le CESI en partenariat avec Le Figaro et BFM. Celui-ci met en évidence la perception négative qu'entretient une majorité de salariés plus âgés envers les représentants de la Génération Y. Les chefs d'entreprises se montrent quant à eux plus indulgents. Les « Gen Y », qui désignent les représentants de la génération née après 1980, sont-ils les mal-aimés de l'entreprise ? Les chefs d'entreprises plus indulgentsParmi les autres griefs exprimés par les salariés plus âgés à l'encontre des Gen Y : la difficulté d'adhésion à la culture et aux objectifs de leur entreprise (57%) et la difficulté de les garder au sein de l'entreprise (58%). En savoir plusObservatoire social de l'Entreprise, Ipsos / Logica Business Consulting, vague 4 : « les jeunes salariés » (PDF)