background preloader

Artémis

Artémis
Artémis (Gr. 'Aρτεμις; Lat. Artemis) était une des grandes divinités du panthéon grec, qui sera identifiée plus tard à Diane des Romains. Fille de Zeus et de Léto, elle était la sœur jumelle d'Apollon et souvent associé à ses exploits. Elle fait partie des douze Olympiens. En réalité, il y eut sous ce nom plusieurs divinités très différentes: l'Artémis hellénique, déesse lunaire, est bien différente de l'Artémis sanguinaire de Tauride Diane de Versailles ©Musée du Louvre Belle et grande jeune femme aux boucles d'or (Hippolyte, Euripide, 73 sqq.) qui dépassait d'une tête toutes ses suivantes, Artémis se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources ; elle aimait la chasse, et poursuivait les bêtes fauves. C'est la déesse des femmes, surtout des jeunes filles vierges. Ses attributs sont l'arc d'or, les flèches, le carquois ou encore la torche (statues du Vatican) et le croissant de lune qui ornait son front. Diane VOUET en 1637 © Hampton Court Related:  Déesses

Déméter Cérès (1660) Giovanni Francesco Romanelli (CP) Déméter (Δημητηρ) dont le nom, sans doute une altération d'un mot grec qui signifie de "Terre-mère", était la déesse de l'agriculture et des moissons. Elle représentait la terre cultivée et féconde contrairement aux autres déesses comme Gaia ou Rhéa qui personnifiait la terre en tant que matière. Elle était la fille de Cronos et Rhéa. Elle fut assimilée par les romains sous le nom de Cérès qui était une divinité latine très ancienne associée aux moissons. La base de l'économie grecque reposait principalement sur la culture des céréales (orge et blé) c'est pourquoi elle était particulièrement vénérée en assurant l'abondance et l'épanouissement des cités. La truie, le bélier, la grue et la tourterelle ainsi que la couronne d'épis de blé, le flambeau, et la gerbe de blé sont ses emblèmes. Cérès de Jean-Antoine Watteau (CP) Sa beauté sévère attira toutefois quelques prétendants à qui elle tenta de résister. Cérès et sans doute Ploutos

Diane (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Diane. Le nom de Diane est une forme adjective issue d'un ancien *divius, correspondant au latin 'divus', 'dius', comme dans Dius Fidius, Dea Dia et au neutre à dium signifiant le ciel[1]. Avec ce nombreux cortège, elle se livre à la chasse, son occupation. Quand Apollon (le Soleil) disparaît à l'horizon, Diane (la Lune) resplendit dans les Cieux et répand discrètement sa lumière dans les profondeurs mystérieuses de la Nuit. Les forêts, les clairières et les sources. La Diane de Gabies revêtant un diplax suite à une offrande. Diane est une jeune déesse commune à toutes les tribus latines. La position géographique du sanctuaire de Diane au cœur des Monts Albains, berceau ethnique des Latins témoigne de l'ancienneté de son culte[3]. À Rome, un sanctuaire de Diane existait sur la colline de l'Aventin. Il y avait aussi des temples de Diane à : Artémis d'Éphèse

Chiron (mythologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chiron. Le nom de Chiron est issu du grec ancien Χείρων / Kheírôn), dérivé du mot grec Kheir qui signifie main[1], il peut être mis en relation avec les Dactyles, (doigts), anciens maîtres de l'art de la métallurgie et des guérisons magiques dans la mythologie grecque. Comme la plupart des mythes grec, l'histoire de Chiron est racontée par fragments par plusieurs poètes. — Apollonios de Rhodes, Argonautiques (2. 1231) De là vient le fait que Chiron soit mi-homme, mi-cheval, et ait l'apparence d'un centaure[2]. Il est considéré comme une divinité mineure car il s'était vu offrir l'immortalité[2]. Un vase représentant Chiron et Achille. Grâce à son savoir, Chiron fut le maître d'Asclépios, de Jason et d'Achille à qui il enseigna les arts de la musique et de la guerre, la cynégétique, et même la médecine et la chirurgie[6], de nombreux autres héros furent aussi ses disciples.

Gaia Gaia (Tellus) bas relief de l'Ara Pacis Augustae (Rome) Gaia ou Gaéa ou Gè (Gr. Γαια, Γαιη, Γη; lat. Gaea, Terra, Tellus ) est la personnification de la Terre dans la cosmogonie d'Hésiode, elle est l'ancêtre maternel des races divines et des monstres. Chez les Latins on trouve l'équivalent en Terra Mater ou Tellus. La seule est Gaia, la terre. Gaia et les Titans, peinture sur soie de Ann Lan Sortie après Chaos et avant Eros, elle engendra d'abord, sans intervention d'élément mâle, Ouranos, le ciel couronné d'étoiles, "qu'elle rendit son égal en grandeur, afin qu'il la couvrît tout entière ", les hautes montagnes (Ourea) et Pontos, la mer stérile, aux flots harmonieux. • les Cyclopes: - Brontès, - Stéropès, - Argès, "qui ressemblaient aux autres dieux, mais n'avaient qu'un oeil au milieu du front"; • les Hécatonchires (ou Centimanes): - Kottos, - Briarée, qui interviendra pour libérer Zeus attaché par Héra et quelques révoltés Gaia et deux satyres

Artémis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Elle erre aussi dans les agroi, les terres en friches, incultes et peu fréquentées. Comme le souligne Jean-Pierre Vernant, elle « a sa place en bordure de mer, dans les zones côtières où entre terre et eau les limites sont indécises[7] ». Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. Déesse vierge[modifier | modifier le code]

Prométhée Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Généalogie[modifier | modifier le code] Mythe de Prométhée[modifier | modifier le code] D'après le pseudo-Apollodore, Prométhée aurait créé les hommes à partir d'eau et de terre[5]. Pausanias place la scène à Panopée en Phocide[6]. (Athéna, née en jaillissant de la tête de Zeus, introduit le souffle de la vie dans ces corps d'argile). Ayant découvert sa ruse, Zeus le punit pour avoir volé les Dieux. Il est puni, non pas pour avoir donné le Savoir aux Hommes mais pour avoir volé les Dieux: En effet, la tâche confiée à Prométhée était de donner un souffle de vie à chaque créature, celle de son frère de les armer (griffes, défenses, crocs…) afin qu'elles se défendent face aux autres créatures. Épiméthée ayant failli, le don du "Feu" corrige son erreur. Dans la version d'Hésiode, c'est à la suite du choix imposé par Prose et les os et dans l'autre, plus petite et moins bien agencée, les meilleurs morceaux. Interprétations[modifier | modifier le code]

Athéna Athéna Athéna (Αθηνη) est la grande désse olympienne aux sages conseils, elle est à la fois la déesse de la Guerre et la défense des cités, de la Sagesse, protectrice des héros et patronne des artisans et de l'artisanat (poterie, tissage,sculpture...) Elle fait partie des douze Olympiens. Les Romains l'assimilèrent à Minerve. Les diverses étymologies de son nom ne sont pas réellement satisfaisantes. Les origines grecques comme "fleur" (αθοζ) ou "nourrice" (τιθηνη) sont pas meilleures. Ses innombrables surnoms rappellent les circonstances de sa naissance, sa physionomie, ou ses attributions: Athéna Parthenos L'épithète poétique Pallas, souvent accolée au nom d'Athéna, proviendrait soit de παλλειν, "frapper", soit, plus vraisemblablement, de παλλαξ, "jeune fille". Personnification des Arts de la Paix mais aussi de la Guerre Athéna avait des attributions les plus variées. Athéna version Saint-Seyia sur le modèle d'Athéna Parthénos de Phidias ① Attributions poliades. Naissance d'Athéna

Temple d'Artémis à Éphèse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le temple d'Artémis à Éphèse (en grec Ἀρτεμίσιον / Artemísion, en latin Artemisium) est dans l'Antiquité l'un des plus importants sanctuaires d'Artémis, déesse grecque de la chasse et de la nature sauvage. Sur l'emplacement d'un sanctuaire plus ancien, un temple est bâti vers 560 av. J.-C. par Théodore de Samos, Ctésiphon et Metagenès et financé par le roi Crésus de Lydie. Ce temple est également considéré comme étant la première banque au monde car il était possible d'y déposer de l'argent et de le récupérer plus tard crédité d'un intérêt. Histoire[modifier | modifier le code] Emplacement[modifier | modifier le code] Le site sacré à Éphèse est beaucoup plus âgé que l'Artemision. — Callimaque , Hymnes III à Artémis v. 237-250 Le site d'Éphèse est occupé dès l'âge du bronze, et le premier temple construit sur l'emplacement même du temple d'Éphèse l'a été dans la deuxième moitié du VIIIe siècle av. Au VIIe siècle av. Wood obtint son financement.

Site amateur dédié à la mythologie grecque.. Nous pouvons observer une biographie pas mal construite de la déesse de la chasse. L'interface est plutot agréable et colorée. by vaal8 Dec 10

Related: