Slavery Images
The 1,280 images in this collection have been selected from a wide range of sources, most of them dating from the period of slavery. This collection is envisioned as a tool and a resource that can be used by teachers, researchers, students, and the general public - in brief, anyone interested in the experiences of Africans who were enslaved and transported to the Americas and the lives of their descendants in the slave societies of the New World. We would like to emphasize that little effort is made to interpret the images and establish the historical authenticity or accuracy of what they display. To accomplish this would constitute a major and different research effort. Individual users of this collection must decide such issues for themselves. Copyright 2015, Virginia Foundation for the Humanities and University of Virginia
London Lives 1690 to 1800 ~ Crime, Poverty and Social Policy
Esclavages CIRESC
La Route de l'esclave
Collection de matériels éducatifs sur l’influence des populations afro-descendentes en Amérique Centrale Le Bureau de l'UNESCO à San José (Costa Rica) a développé la collection « Del olvido a la memoria » (De l'oubli à la mémoire), des matériels éducatifs sur l’influence des populations afro-descendentes en Amérique Centrale. Réalisée avec la collaboration de l'Université du Costa Rica (UCR) et du Musée national du pays, cette collection comprend cinq volumes de matériaux d'enseignement qui font partie d'une initiative des pays de l'Amérique centrale en vue d'éliminer l'ignorance sur l'influence des populations d'ascendence africaine dans la région. Financée par l'UNESCO, cette série de publications s'inscrit dans le cadre du projet La Route de l'esclave et accompagne ses nouvelles orientations extension géographique dans les régions peu couvertes et l'introduction de nouvelles thématiques.
[Comité pour la Mémoire de l'Esclavage]
le siècle des saint-sevin dits l'abbé
le siècle des saint-sevin dits l’abbé le « siècle des saint-sevin dits l’abbé » c’est l’histoire vraie et bien souvent inédite de trois musiciens partis de Bordeaux puis d’Agen pour conquérir Versailles et Paris au Siècle des Lumières c’est aussi un ensemble d’anecdotes, récits, chroniques, ragots, potins, racontars, rapports et autres documents instructifs ou cocasses, pittoresques ou frivoles, et même parfois dramatiques, sur les mœurs du monde de la musique et de la danse à cette époque c’est encore un regard de curiosité sur le dix-huitième siècle et l’idée qu’on s’en fait parfois mais, c’est d’abord un vrai siècle avec ses cent ans bien pesés Pour embêter son patron, Louis XV, Voltaire a écrit Le Siècle de Louis XIV, laissant à Pierre Gaxotte le soin de publier beaucoup plus tard Le Siècle de Louis XV. Ici, il n’en sera pas de même. Evidemment, les Saint-Sevin ne sont pas les Bourbons. C’est tout cela que l’on va tenter d’évoquer ici. les saint-sevin dits l’abbé Ils étaient trois.
Les esclaves et la danse
Contexte historique Une main d’œuvre servile peuple en nombre considérable les Antilles et les Amériques proches de celles-ci. Les propriétaires des plantations de canne à sucre ou de coton, avant l’invention de la photographie, font faire des peintures-souvenirs : portraits de la famille, petites scènes de genre, tableaux dont un des principaux objectifs est de rendre visible l’heureux aboutissement d’une ambition de prospérité harmonieuse dans la plantation. Certains maîtres tolèrent à leurs esclaves un repos le dimanche ; il arrive alors parfois que l’esclave et sa famille ne soient pas nourris par leur maître, ce dimanche devant être consacré à la culture vivrière d’un lopin de terre concédé autour de la case. Le maître cependant concède des réunions festives entre esclaves. Cette peinture non signée est attribuée à Augustin Brunias(1730-1796), peintre italien mort à la Dominique après avoir passé trente ans aux Antilles. Analyse des images Brunias observe. Interprétation Bibliographie
Candide ou L'Optimisme - Le Monde - Surinam
Deux siècles après les premiers transports d'esclaves africains vers l'Amérique espagnole et portugaise, les Antilles deviennent au XVIIIe siècle l’une des destinations majeures de la traite négrière. En effet, la culture de la canne à sucre, implantée dans les Caraïbes, est grande consommatrice de main-d'œuvre. Depuis 1685, les Antilles sont soumises à "l'édit du Roy touchant la police des Isles d'Amérique française", autrement dit le Code noir. Conçu pour donner un cadre juridique à l'exercice de l'esclavage, le Code noir fait de l'esclave un être "meuble" susceptible d'être acquis par un maître au même titre qu'un bien. Dans l'Europe des Lumières se lèvent alors des hommes pour dénoncer et combattre l'esclavage. Au XVIIIe siècle, si une vive contestation de l’esclavage s’impose, celui-ci est bien antérieur cependant, et multiforme. À partir du XVIe siècle, la traite atlantique entre l’Afrique et les Amériques se développe pour permettre l’exploitation des grandes plantations.
commercetriangulaire
La Préciosité en France au XVIIème siècle
Ces pages ont été conçues à partir d'une recherche effectuée en septembre 1998 en Bibliothèque Municipale de Belfort. J'en profite pour en saluer l'ancienne conservatrice, Mme Agathe Bischoff-Moralès. Marie-Hélène Wronecki
Le site des archives d'Outre-Mer fait peau-neuve
La métamorphose est agréable : le site des Archives nationales d'Outre-Mer s'habille désormais de couleurs chatoyantes et invite le visiteur à rentrer dans le riche univers des fonds conservés par cette institution méconnue. Modernisé, le portail a l'ambition de se mettre davantage au service de ses utilisateurs avec une présentation plus claire et des accès plus facile aux fonds numérisés. Pour accompagner ce changement, 2.000 photos viennent d'être rajoutées dans la base d'images "Ulysse". Elles concernent les DOM mais aussi l'Indochine, les Comores, Madagascar, le Sahara, le Mali et l'Algérie. De nombreux nouveaux inventaires sont également accessibles en ligne. Récemment, l'état civil de Guadeloupe a été complété avec les registres de Basse-Terre de 1679 à 1900 et Pointe-à-Pitre de 1728 à 1907 et pour l'Algérie, les actes numérisés des années 1905 à 1909.
La traite négrière rochelaise au XVIIIe siècle | Les Expositions Virtuelles de Fort Boyard
Plus nombreux sur un navire négrier que sur les navires marchands, l’équipage dont les marins sont plus là par défaut que par choix, n’est pas toujours de qualité. Dans son journal, Claude-Vincent Polony avoue à son capitaine qu’à bord de La Reine de Podor, certains marins lui causent bien du souci : « soyez sans inquiétude à l’égard de nos captifs. Je le regrette, nos Blancs me donnent plus de peine à contenir ». Mis à part quelques officiers, ces hommes ont souvent laissé peu de traces dans les archives.