L'OCDE affine son indicateur de la richesse "Comment va la vie ?" Le titre de cet indicateur de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) peut paraître provocateur en pleine crise économique, quand des pays sombrent et d'autres vivent sous la menace de l'austérité. Pourtant, en ayant lancé en 2011 cet indicateur du "vivre mieux", l'OCDE dérogeait aux valeurs des grandes institutions économiques internationales. A l'appui de leur conversion, le rapport de l'Américain Joseph Stiglitz, Prix Nobel d'économie en 2001, et de l'économiste Français Jean-Paul Fitoussi, remis à Nicolas Sarkozy en 2009, qui établissait que la croissance d'une société se mesurait aussi au bien-être et au progrès social. "Cet indicateur va dans le bon sens, explique Jean-Paul Fitoussi, mais il s'inscrit dans un temps long et risque d'avoir peu d'impact sur les politiques économiques actuelles." "Un million de visiteurs, venant de 184 pays, ont consulté notre indice, dit Anthony Goosh, directeur de la communication de l'OCDE.
Plan B Updates - 51: Bottled Water - Pouring Resources Down the Drain February 02, 2006 Bottled Water: Pouring Resources Down the Drain Emily Arnold and Janet Larsen The global consumption of bottled water reached 154 billion liters (41 billion gallons) in 2004, up 57 percent from the 98 billion liters consumed five years earlier. Even in areas where tap water is safe to drink, demand for bottled water is increasing—producing unnecessary garbage and consuming vast quantities of energy. The United States is the world’s leading consumer of bottled water, with Americans drinking 26 billion liters in 2004, or approximately one 8-ounce glass per person every day. Italians drink the most bottled water per person, at nearly 184 liters in 2004—more than two glasses a day. Some of the largest increases in bottled water consumption have occurred in developing countries. In contrast to tap water, which is distributed through an energy-efficient infrastructure, transporting bottled water long distances involves burning massive quantities of fossil fuels.
Mouvements articles news L’autonomie alimentaire, dans une perspective décroissante radicale Par Thierry Brugvin La décroissance soutenable face à la question du « comment ? » Par Yannick Rumpala Que la planète a ses limites paraît une idée quasiment acquise. Pour une grève générale de la consommation Par Paul Ariès LABORATOIRE DES LUTTES. Renouer avec le sens des limites DOSSIER GRENELLE "OGM". Penser l’exode de la société du travail et de la marchandise Par André Gorz FABRIQUE DES IDEES - Le philosophe André Gorz revient, dans l’un des derniers textes parus avant sa mort, sur la dynamique du capitalisme financier et sur les raisons qui permettent de voir dans le revenu social garanti une occasion de sortir du capitalisme. 25 septembre 2007. Voyage dans la galaxie décroissante Par Fabrice Flipo La décroissance : le terme interpelle, pose question, se retrouve dans des endroits improbables et prend bien des gens au dépourvu.
PET - PR University of Heidelberg Prof. William Shotyk and co-workers at the Institute of Environmental Geochemistry, University of Heidelberg, measured the abundance of antimony in fifteen brands of bottled water from Canada and forty-eight from across Europe Bottled waters in PET containers are contaminated with antimony (Sb), a potentially toxic heavy metal with no known physiological function. Antimony trioxide is used as a catalyst in the manufacture of PET (polyethylene terephthalate), and PET typically contains several hundred mg/kg of Sb. Prof. The pristine groundwater was found to contain only two parts per trillion of Sb, with the bottled waters typically showing values a few hundred times greater. Comparison of three German brands of water available in both glass bottles and PET containers showed that waters bottled in PET contained up to 30 times more Sb. Contact Information: Prof. Dr. Dr.
Entropia La Revue PET ou polyéthylènetéréphtalate Dans cet article consacré à la fabrication du PET sont décrits les procédés de polycondensation qui sont mis en œuvre dans les grandes unités industrielles mondiales. Les deux principales voies d’accès à ce polymère se distinguent par la forme chimique de l’un des deux monomères, l’acide téréphtalique (l’autre étant l’éthylèneglycol), au départ de cette synthèse. L’acide téréphtalique peut être sous forme d’ester méthylique, le téréphtalate de diméthyle (DMT) ou tel quel, sous la forme acide purifiée (PTA). Aujourd’hui, les nouvelles installations exploitent presque uniquement le procédé ex-PTA en continu et atteignent des capacités de production très élevées (180 à 300 000 t/an par ligne), en croissance constante. Pour les applications courantes, fibres textiles et films, la totalité de la polycondensation s’effectue en phase fondue. Enfin, un point précis sera effectué sur le recyclage du PET dont les caractéristiques chimiques et thermomécaniques autorisent ce type de valorisation.
Institut d'Etudes Economiques et Sociales pour la Décroissance Soutenable Data Centers et Pollution [infographie] Les Data Centers (= fermes de serveurs) et le Cloud Computing (=informatique en nuage) polluent-ils notre planète ? En tout cas ils seraient responsables de 2% des émissions totales de dioxyde de carbone sur la planète et consommeraient 80 millions de mégawattheures d’énergie par année, soit 1 fois et demi la quantité nécessaire à la ville de New York annuellement. 1 Data Center consomme en moyenne autant que 25 000 foyers américains. Pas très réjouissant tout cela, à l’heure où l’on parle d’écologie et de développement durable tous les jours. Heureusement il existe des solutions. Voyez l’infographie complète ci-dessous, de ABB : Et saviez-vous qu’à chaque fois que vous regardez une vidéo, faites une recherche sur internet, échangez sur un réseau social, etc.. vous faites appel aux serveurs de ces Data Centers ? Et qui a le plus grand besoin en serveurs en ce moment ?
Adresse du MOC aux antiproductivistes de gauche, libertaires et écologistes [Pour télécharger le texte en format A4, recto-verso, cliquer ici : Adresse-du-MOC-aux-antiproductivistes.pdf] Assez ! Nous en avons assez de ces appels et communiqués qui égrainent sans cesse les mêmes litanies plaintives et seulement défensives ! Avons-nous seulement à reprocher au capitalisme ses multiples crises : sociales, écologiques, économiques, démocratiques, morales, anthropologiques ? Qu’avons-nous à reprocher à l’actuel gouvernement ? Non, nous devrions nous adresser à lui comme nous aurions déjà dû nous adresser au précédent : nous ne pouvons plus supporter cette rhétorique des compromis par laquelle, depuis des décennies, les organisations syndicales comme les organisations politiques dites de gauche n’ont cessé d’échanger des concessions toujours grignotées contre des promesses jamais tenues ! Que faire ? Adopter une stratégie de rupture. Nous devons nous mettre en position de rentrer dans des rapports de forces : Que proposer ? Assez de blabla, revendiquons ! Quelles dettes ?
Nos Outils - Greencode Saas® GreenCode SaaS® , le 1er calculateur/simulateur en temps réel pour l'analyse du cycle de vie des produits. GreenCode Saas se décline en : GreenCode Eval® : L'outil de mesure et d'analyse temps réel de l'impact environnemental des produits GreenCode Eval® est un outil d'aide à la décision destiné aux industriels et aux distributeurs pour leur permettre de piloter la performance environnementale de leurs produits. Cet outil de simulation et d'évaluation de l'impact environnemental des produits a été développé pour supporter leurs démarches d'éco-conception et obtenir des données garanties pour l'affichage environnemental. Disponible en web-service, GreenCode Eval® permet d'obtenir en temps réel et à la demande les résultats d'une analyse du cycle de vie. Cliquer sur l'image pour voir la présentation de GreenCode SaaS® Option Cert® : La garantie de vos résultats pour la communication Le système est audité annuellement, conforme au référentiel ECOCERT Environnement et labellisé.
J’ai inventé le futur avec les « conspirationnistes positifs » | Rue89 Planète Dans la soirée de l’Institut des futurs souhaitables (Michael Chaize) Vendredi, au soir d’un très long jour chiant, profitant de mon ennui, des copains écolos ont réussi à m’entraîner dans un événement aussi loufoque que déconcertant. C’est de notre blogueuse Anne-Sophie Novel qu’est venue l’invitation. Auteure d’un ouvrage sur la société collaborative (« Vive la co-révolution »), elle me présente ainsi la « soirée des optimistes », intitulé « F..K les Mayas » : « Organisée par l’Institut des futurs souhaitables, elle a pour ambition de jeter ce qu’il a de mauvais dans le XXe siècle pour le recycler (le sublimer, le dépasser ?) Hum hum... joliment tourné, mais un brin ésotérique, vu d’ici. Le vert fluo, code couleur de la soirée Mathieu Baudin (Michael Chaize - Coolhuntparis) La participation aux frais est de 15 euros, mais les journalistes sont tellement bienvenus que pour moi l’entrée est libre (et un verre offert). Habitué aux ovations, il est le « guide » de la soirée. Brainstorming