Balzac. La Comédie humaine. Accueil
La publication en mode texte de la première édition de La Comédie humaine (dite édition Furne, 1842-1855), paginée et encodée, est le fruit d’un partenariat entre le Groupe International de Recherches Balzaciennes, la Maison de Balzac (musée de la Ville de Paris) et le groupe ARTFL de l’Université de Chicago. Ce dossier est adapté aux personnes déficientes visuelles. De plus, chacun peut utiliser les options de son navigateur pour agrandir la taille des caractères (Menu affichage puis taille du texte pour Mozilla Firefox et pour Internet Explorer ). Pourquoi une édition électronique de La Comédie humaine ? par Nicole Mozet Personne ou presque n'a tout lu de La Comédie humaine.
Liste des Chevaliers de la Table ronde
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste recense des chevaliers étant cités comme siégeant à la Table ronde dans les récits appartenant au cycle arthurien. Chrétien de Troyes en nomme un grand nombre dans son roman Érec et Énide, sans qu'ils jouent forcément un rôle particulier. Il y a 150 chevaliers en comptant des preux et des félons.
Roi Arthur
Attention, à ne pas confondre ! Pour les sujets ou articles dits homonymes, voir : Arthur. Le roi Arthur et Lancelot.
textes_en_ligne
Liens vers des textes du Moyen Age, classés par auteurs ou par titres. Certains textes sont présentés sous forme d'extraits, dans d'autres cas il s'agit d'oeuvres intégrales.
Persée
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Armement médiéval
Armement mérovingien[modifier | modifier le code] L'armement franc a longtemps été vu comme l'une des principales causes des succès militaires de ce peuple au haut Moyen Âge. Parallèlement, l'historiographie moderne a prêté de grandes qualités militaires à Clovis et à certains de ses successeurs qui surent plus particulièrement agrandir le royaume au détriment de leurs voisins. En réalité, Grégoire de Tours n'a que cette phrase pour qualifier les premiers succès francs dus à ce roi : « Il fit beaucoup de guerres et remporta certaines victoires », ce qui tendrait à montrer que Clovis ne fut ni plus doué, ni plus chanceux que ses prédécesseurs moins connus.
Légende arthurienne
La légende arthurienne (ou cycle arthurien) est un ensemble de textes écrits au Moyen Âge autour du roi Arthur, de son entourage et de la quête du Graal. Elle est un thème fort de la matière de Bretagne. Il n'existe non pas une légende arthurienne, mais plusieurs. Cela est dû aux nombreux auteurs qui ont assemblé ces traditions au cours des siècles, depuis les premiers moines collecteurs jusqu'aux écrivains qui l'ont enrichie, comme Chrétien de Troyes ou plus récemment Xavier de Langlais. Ainsi, le nom des personnages et les circonstances de leur vie (jeunesse, hauts faits, mort) varient d'une époque à l'autre, d'un pays à l'autre.
Nicolas Poussin
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Poussin. Nicolas Poussin, né au hameau de Villers, commune des Andelys, le , mort à Rome le , est un peintre français du XVIIe siècle, représentant majeur du classicisme pictural. Actif aussi en Italie à partir de 1624. Peintre d'histoire, compositions religieuses, mythologiques, à personnages, ou encore de paysages animés.
La cérémonie de l'adoubement du chevalier
Brigitte Coppin, historienne : "adouber est un vieux mot d'origine germanique qui veut dire équiper. Donc équiper, c'est l'épée, et le cheval. Le parrain, celui qui a soutenu son chevalier pendant tout son apprentissage, va consacrer de l'argent à lui offrir cet équipement..."
La légende du roi Arthur
Une histoire de l’abbaye de Glatonsbury, De Antiquitate Glastoniensis Ecclesiae rédigée en 1130 par Guillaume de Malmesbury, mentionne la découverte de la tombe de Gauvain, neveu du roi Arthur, ajoutant que la recherche de celle d‘Arthur était restée vaine. A la même époque une Vie de Gildas d’un certain Caradoc de Llancarfan raconte l’enlèvement de la reine Guenièvre par un roi du Somerset, Melwas, et son emprisonnenment à Glastonbury. L’association de ce site avec la légende arthurienne est donc faite dès le début du siècle. Mais c’est à la demande du roi Henri II que l’on entreprit des recherches qui aboutirent en 1191, sous le règne de Richard Cœur de Lion, à la découverte des prétendues tombes d’Arthur et de Guenièvre par des moines de cette abbaye de Glastonbury.