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La légende du roi Arthur

La légende du roi Arthur
Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits. Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Le symbole de l’idéal chevaleresque La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230 Merlin l'Enchanteur, maître du destin Related:  La légende du Roi ArthurLE CHEVALIER AU MOYEN-AGE

Roi Arthur Le roi Arthur est un roi légendaire de Grande-Bretagne qui donne son nom à la légende arthurienne. Néanmoins le personnage est sans doute inspiré d'un ou plusieurs chefs bretons (de Grande-Bretagne) ayant réellement existé. Le personnage apparaît pour la première fois sous la plume du moine Geoffroy de Monmouth dans son Histoire des rois de Bretagne. Le roi Arthur aurait vécu de la fin du Ve siècle au début du VIe siècle. Histoire légendaire de Arthur[modifier | modifier le wikicode] Ses parents sont Uther Pendragon (un roi breton) et Ygraine de Cornouailles. À l'époque d'Arthur, l'ancienne Bretagne romaine a été envahie depuis quelques dizaines d'année, par des peuples germaniques : les Angles et les Saxons qui occupent une partie de l'île. L'accession au trône[modifier | modifier le wikicode] Le Roi Arthur par Charles Ernest Butler (1903). À la mort de son père, la succession se révèle un problème épineux et douloureux car il n'a pas de fils légitime. Il épouse Guenièvre. Voir aussi...

Liste des Chevaliers de la Table ronde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste recense des chevaliers étant cités comme siégeant à la Table ronde dans les récits appartenant au cycle arthurien. Chrétien de Troyes en nomme un grand nombre dans son roman Érec et Énide, sans qu'ils jouent forcément un rôle particulier. Le nombre (toujours symbolique) et les noms varient selon les textes. Ce sont les chevaliers qui apparaissent le plus souvent dans les œuvres du cycle arthurien, ceux qui accomplissent les plus grands exploits, et ceux à qui il est parfois consacré un ouvrage entier. Ce sont des chevaliers dont on connait peu de choses. Un certain nombre de chevaliers sont juste cités, sans que leur histoire ou leur généalogie ne soit développée. ↑ Bruce 1998, p. 13. ↑ a b c d et e Esmeond, « Personnages de la légende arthurienne », sur resumestableronde, 2015-2020 (consulté le 31 décembre 2020)↑ (en) Christopher W. Édouard Brasey, L'encyclopédie des héros du merveilleux, edi8, 16 décembre 2020, 154 p.

Légende arthurienne La légende arthurienne, ou cycle arthurien, est un ensemble de textes écrits au Moyen Âge autour du roi Arthur, de son entourage et de la quête du Graal. C'est un thème fort de la matière de Bretagne. Il n'existe non pas une légende arthurienne, mais plusieurs. Ceci est dû aux nombreux auteurs qui ont assemblé ces traditions au cours des siècles, depuis les premiers moines collecteurs jusqu'aux écrivains qui l'ont enrichie, comme Chrétien de Troyes ou plus récemment Xavier de Langlais. Ainsi, le nom des personnages et les circonstances de leur vie (jeunesse, hauts faits, mort) varient d'une époque à l'autre, d'un pays à l'autre. L’arthurianisme est la discipline qui étudie la littérature arthurienne. Origines de la légende[modifier | modifier le code] La légende arthurienne a pour source primaire la matière de Bretagne qui met en scène les Celtes britanniques, originaires des îles Britanniques (dont une partie migre en Bretagne au cours du haut Moyen Âge). Le Graal et la Table Ronde.

Armement médiéval La bataille d'Azincourt (1415) entre les Anglais et les Français pendant la guerre de Cent Ans. Miniature du XVe siècle. Armement mérovingien[modifier | modifier le code] L'armement franc a longtemps été vu comme l'une des principales causes des succès militaires de ce peuple au haut Moyen Âge. En réalité, Grégoire de Tours n'a que cette phrase pour qualifier les premiers succès francs dus à ce roi : « Il fit beaucoup de guerres et remporta certaines victoires », ce qui tendrait à montrer que Clovis ne fut ni plus doué, ni plus chanceux que ses prédécesseurs moins connus. En fait, l'armement des Francs mérovingiens, bien étudié grâce à de nombreux recoupements entre l'archéologie et les sources écrites latines, ne devait pas être très différent de celui de leurs voisins germaniques contemporains. Aujourd'hui, l'hypothèse qui tend à triompher explique plus leurs succès retentissants par l'influence romaine qu'ils subirent précocement, que par une quelconque supériorité technique.

La légende du roi Arthur Une histoire de l’abbaye de Glatonsbury, De Antiquitate Glastoniensis Ecclesiae rédigée en 1130 par Guillaume de Malmesbury, mentionne la découverte de la tombe de Gauvain, neveu du roi Arthur, ajoutant que la recherche de celle d‘Arthur était restée vaine. A la même époque une Vie de Gildas d’un certain Caradoc de Llancarfan raconte l’enlèvement de la reine Guenièvre par un roi du Somerset, Melwas, et son emprisonnenment à Glastonbury. L’association de ce site avec la légende arthurienne est donc faite dès le début du siècle. Mais c’est à la demande du roi Henri II que l’on entreprit des recherches qui aboutirent en 1191, sous le règne de Richard Cœur de Lion, à la découverte des prétendues tombes d’Arthur et de Guenièvre par des moines de cette abbaye de Glastonbury. Giraud de Barri, De principis instructione, vers 1193. Giraud de Barri identifie Glastonbury avec l’île d’Avallon. La cour d’Angleterre au XIIe siècle et au début du XIIIe siècle est puissante.

Les grands banquets médiévaux Préparer une salle Les grandes dates du calendrier chrétien (Noël, Pâques, la Pentecôte...) ou les événements familiaux (mariage, baptême...) fournissent de nombreuses occasions d’organiser un banquet. Le roi et les princes en profitent pour impressionner leurs invités par un étalage de luxe. Les murs de la salle choisie pour la réception sont parés des plus belles tapisseries. À table ! On dresse la table devant la cheminée, en posant une planche sur des tréteaux, le tout recouvert d’une nappe blanche. S’il est roi ou prince, une nef de table sera posée devant lui. Un spectacle permanent Les maîtres queux (les chefs cuisiniers) ont préparé des plats extraordinaires présentés avec art pour éblouir les convives. L’écuyer tranchant, muni de son bâton, ordonne aux pages d’apporter les plats qui seront tous disposés sur la table. Contenus extraits de l'ouvrage : Vivre au Moyen Âge - Hachette Jeunesse, Louvre.

Ce qu'il faut savoir sur le roi Arthur Le graal, la table ronde, Excalibur… Avec ses glorieuses aventures, Arthur est devenu le symbole d’un Moyen Age chevaleresque et religieux. Mais pourquoi est-il toujours à la mode depuis 1 500 ans ? La grande nouvelle a enfin été annoncée aux fans de Kaamelott qui bouillonnent depuis des mois sur les réseaux sociaux : le film, tiré de la série d’Alexandre Astier, sortira en octobre 2020. On a très peu de traces de son existence Arthur serait né à Tintagel en Cornouailles (dans le sud-ouest de l’Angleterre) au Ve siècle. Que dit l’archéologie ? La Mort du roi Arthur par James Archer. © Wikimédia Commons Il inspire un best-seller au XIIe siècle Le mythe d’Arthur décolle au XIIe siècle. C’est le champion des bretons et des chrétiens Le roi Arthur est avant tout un héros breton. Arthur pourfend les maudits Anglois… Au Moyen Age, dans les récits oraux des bardes gallois, Arthur est présenté comme l’unificateur de la Bretagne. …Mais les Anglais le récupèrent pour asseoir leur pouvoir

La vie des seigneurs On ne peut porter un regard unique sur mille ans de vie quotidienne médiévale. La division de la société en « trois ordres » — les Bellatores (ceux qui combattent), les Oratores (ceux qui prient), les Laboratores (ceux qui travaillent) — prévaut jusqu'à la fin du XIIIe siècle. L’émergence des villes, de la bourgeoisie et des marchands, amène à la création d’un tissu social urbain complexe. Les Bellatores : ceux qui font la guerre Dans les trois ordres de la société médiévale, les nobles sont qualifiés du latin de Bellatores : ceux qui font la guerre. Mariage d'intérêts entre les hommes et les femmes Le mode de vie assez séparé au plan des sexes est lié à un mariage qui répond peu à une inclination réciproque mais est le moyen de renforcer une lignée, d'associer des territoires, de mettre fin à une guerre. ► Pour en savoir plus, découvrez le dossier La vie quotidienne au Moyen Âge. ►► Et retrouvez les principaux évènements du Moyen Âge avec notre carte « animée ».

La légende du roi Arthur - Chevaliers, Table ronde et saint Graal On dit qu'un abbé du XIIIe siècle réussit un jour à réveiller ses moines endormis pendant son prêche avec ces quelques mots : « Il y eut jadis un roi nommé Arthur... ». Il serait étonné de savoir que, huit siècles plus tard, le nom d'Arthur continue à tenir éveillés les lecteurs de tous âges. Depuis le Moyen Âge, la légende de ce roi ne cesse en effet d'intriguer et émerveiller l'Occident. Partons à notre tour sur les pas de Lancelot et de ses amis pour faire la part de la fiction et de la réalité, et surtout pour rêver. Isabelle Grégor À l'usage des collégiens et de leurs enseignants, voici un petit questionnaire amusant autour de la légende du roi Arthur et des Chevaliers de la Table ronde Prologue du Conte du Graal Et les Plantagenêts inventèrent Arthur Tout commence vers 1135 à la cour de Geoffroy Plantagenêt, celui qui se plaisait à « planter » un « genêt » à son chapeau. Parmi les héros qui se succèdent au fil des pages se distinguent le roi Lear et un certain Arthur. La légende continue

Comment devient-on chevalier ? | Nota Bene Moi quand j’étais petit, j’ai toujours rêvé d’être un chevalier et de secourir des demoiselles en détresse mais ce que je ne savais pas, c’est à quel point il aurait pu être difficile pour moi de l’être… Les origines de la chevalerie Chevalier veut dire “celui qui va à cheval” ou “celui qui chevauche”, se sont donc tout d’abord des hommes qui possèdent un cheval. Mais plus que ça, se sont aussi de véritables soldats au service du seigneur qui possèdent une armure et des armes que ça soit une épée, un couteau ou une lance. Les chevaliers sont apparus au XIe siècle et au départ a peu près n’importe qui pouvait le devenir même des paysans…si ils avaient de l’argent…Et oui car pour devenir chevalier il faut beaucoup d’argent ! Il faut s’occuper du cheval, le nourrir, l’entretenir, le soigner, il faut également réparer son armure, s’acheter du nouveau matériel etc. Devenir chevalier Pour finir, il est important de préciser qu’un chevalier peut tout à fait perdre son titre de chevalier.

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