va_pensiero.pdf La traviata (film, 1983) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La traviata peut faire référence à : Franz Liszt Franz Liszt en 1858. Œuvres principales Franz Liszt grandit dans un milieu familial plutôt mélomane. De 1804 à 1809, son père, Adam Liszt, sert comme deuxième violoncelle dans l'orchestre Esterházy. Devenu un pianiste reconnu, Liszt entreprend une tournée européenne en 1823. De 1824 à 1827, Liszt effectue de nombreuses tournées en Angleterre et en France. À Paris, il rencontre Hector Berlioz, George Sand, Alfred de Musset, Frédéric Chopin, Honoré de Balzac, devient l'ami d'Eugène Delacroix et fait la connaissance de Niccolò Paganini, qui aura une grande influence sur le développement de son art. En 1833 commence sa liaison avec la comtesse Marie d'Agoult (connue sous son nom de plume Daniel Stern, dans son roman Nélida notamment) qui lui donne trois enfants : En 1836, Liszt entreprend une tournée à travers l'Europe (Suisse, Italie, Russie, etc.) et donne des concerts dans toutes les grandes villes. Il est enterré le 3 août 1886 à Bayreuth. Liszt et Berlioz
Vittoriano Le Risorgimento, lentement préparé par le "Carbonarisme", sera très influencée par les révolutions de 1830 et de 1848 en France. Giuseppe Mazzini a donnera naissance au mouvement Giovine Italia (Jeune Italie) qui aura pour but l'instauration d'un régime républicain après l'indépendance et l'unité. L'insurrection de Milan et de Venise contre les Habsbourg et l'appel au roi de Piémont-Sardaigne Charles-Albert provoqueront l'entrée en guerre du Royaume de Sardaigne contre les Autrichiens. Charles-Albert abdiquera en faveur de son fils Victor-Emmanuel II après les défaites de Custozza (24 juillet 1848) et de Novara (23 mars 1849). Camillo Benso, comte de Cavour et premier ministre du roi de Piémont-Sardaigne depuis mai 1852, n'aura de cesse à promouvoir la cause italienne en Europe. Garibaldi, rentré de son exil à New York, prendra la tête à Gênes d'une troupe formée de 1087 volontaires aux chemises rouges (expédition des Mille), le 5 mai 1860.
Le Concert (film) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Concert est un film franco-italo-belgo-roumain réalisé par Radu Mihaileanu, sorti en 2009. À l'époque de Brejnev, Andreï Filipov était le plus grand chef d'orchestre de l'Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, et surtout la soliste Léa, il a été interrompu avant la fin d'un concerto de Tchaïkovsky, et licencié au faîte de sa gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au Bolchoï mais comme homme de ménage. Un soir, alors qu'Andreï est resté très tard pour astiquer le bureau du maître des lieux, il intercepte un fax adressé à la direction du Bolchoï : il s'agit d'une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre officiel à venir jouer à Paris. Aleksei Guskov : Andreï Semoinovitch FilipovMélanie Laurent : Anne-Marie JacquetDmitri Nazarov (V.
Gustav Mahler Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Gustav Mahler Photographie de Gustav Mahler en 1898. Plus célèbre en son temps comme chef d'orchestre, son nom reste attaché aujourd’hui à son œuvre de compositeur dont la dimension orchestrale et l'originalité musicale jettent un pont entre la fin du XIXe siècle et la période moderne. Il est l'auteur de dix symphonies (la dernière est complète au niveau de la réduction d’orchestre (en), mais son orchestration est inachevée) et plusieurs cycles de lieder. Biographie[modifier | modifier le code] Dès sa jeunesse, le mysticisme catholique attire beaucoup Mahler alors que les rituels juifs le laisseront toujours indifférent. « Il aimait l'odeur de l'encens et les chants grégoriens et ne pouvait jamais passer devant une église sans y entrer[3] ». Dès 1886, sa vie sentimentale est orageuse. C’est durant sa dernière visite aux États-Unis, où il dirige l'orchestre philharmonique de New-York, qu’il contracte une infection généralisée le .
Portrait d’un compositeur engagé – Giuseppe Verdi : Musique, Culture et Identité Nationale | ITALIE-FRANCE.COM - Coopération économique et développement Italie-France 2014 se voit en Italie l’année Giuseppe Verdi; une année festive où plusieurs régions d’Italie ont célébré le bicentenaire de la naissance du compositeur. De grandes expositions, comme celle organisée au Vittoriano à Rome (Palazzo del Risorgimento), ont souhaité mettre l’accent sur le personnage Verdi mais surtout sur le contexte politique de ses œuvres. Giuseppe Verdi est considéré non seulement comme un grand compositeur italien du XIXème siècle mais aussi comme un homme engagé dans la vie politique. Quatre ans plus tard le Nord de l’Italie est sous la domination autrichienne. Très tôt Verdi est touché par la musique. Ses opéras joués notamment à la Scala de Milan, le temple de l’art lyrique, « Nabuchodonosor » (1840) aura un retentissement magistral, « le chœur des Hébreux » est une transposition de l’oppresseur du moment que sont les autrichiens. Le répertoire de Giuseppe Verdi est d’une grande richesse musicale et il est joué à travers le monde entier. Margareth Gabriel
La traviata Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvre parmi les plus célèbres du répertoire, elle fait partie, avec Rigoletto (1851) et Il trovatore (1853), de la « triade » qui a conféré à Verdi, de son vivant, une gloire internationale incontestée. Genèse[modifier | modifier le code] Création[modifier | modifier le code] Interprètes de la création[modifier | modifier le code] Réception[modifier | modifier le code] « l'un des fours les plus noirs de l'histoire de l'opéra » écrit Pascale Saint-André[11]. Pourtant, la prima donna n'en est pas entièrement responsable, du moins vocalement. La critique locale quant à elle soutient la soprano et n'accable ni la modernité du sujet ni la musique de Verdi, imputant l'incompréhension manifestée par le public face à ce sujet non conventionnel et à son traitement inhabituel à la défaillance du reste de la distribution. Carrière de l'œuvre[modifier | modifier le code] Le La traviata triomphe au Teatro San Benedetto de Venise dans la distribution suivante :
Steve Reich Steve Reich dans les annés 1980. Œuvres principales Steve Reich, né le 3 octobre 1936 à New York, est un musicien et compositeur américain. Il est considéré comme l'un des pionniers de la musique minimaliste[1], un courant de la musique contemporaine jouant un rôle central dans la musique classique des États-Unis. Pour caractériser son œuvre, et spécialement ses compositions de la période 1965-1976, il préfère utiliser l'expression « musique de phases » (traduite de l'américain Phasing), qui fait référence à son invention de la technique musicale du déphasage[2]. Bien qu'ayant joué un rôle central dans l'évolution de la musique contemporaine, et, par ses œuvres, influencé des artistes au-delà de son champ de création, comme en musique électronique et en danse contemporaine, Steve Reich reste toutefois un compositeur peu prolifique qui n'a écrit, durant l'ensemble de sa carrière, qu'une cinquantaine de pièces distinctes. Biographie[modifier | modifier le code]
Viva Verdi, devise des patriotes italiens du XIXè siècle À partir de 1849, le nom du compositeur Giuseppe Verdi devint malgré lui un signe de ralliement chez les patriotes italiens : on pouvait lire sur les murs le graffiti Viva Verdi. Au XIXème siècle, l’Italie n’est encore qu’une expression géographique, désignant une péninsule morcellée en de nombreux États ou possessions : royaume de Piémont-Sardaigne, États Pontificaux, royaume des Deux-Siciles, Bénévent, Grand-Duché de Toscane, Lombardie… Un grand nombre de ces États sont sous domination directe (Lombardie, Vénétie) ou indirecte (Parme, Modène, Toscane, Naples…) de l’empire d’Autriche. Le milieu du XIXème siècle voit naître le mouvement du Risorgimento, la « Renaissance », qui vise à unifier l’Italie et à s’affranchir de la domination autrichienne. En 1848, le roi de Sardaigne Charles-Albert abolit la monarchie absolue dans son royaume pour une monarchie constitutionnelle. Viva Verdi signifiait en réalité Viva Vittorio Emanuele Re D‘Italia (Vive Victor-Emmanuel Roi D’Italie).
Ludwig van Beethoven Œuvres principales Dernier grand représentant du classicisme viennois (après Gluck, Haydn et Mozart), Beethoven a préparé l’évolution vers le romantisme en musique et influencé la musique occidentale pendant une grande partie du XIXe siècle. Inclassable (« Vous me faites l’impression d’un homme qui a plusieurs têtes, plusieurs cœurs, plusieurs âmes » lui dit Haydn vers 1793[c]), son art s’est exprimé à travers différents genres musicaux, et bien que sa musique symphonique soit la principale source de sa popularité, il a eu un impact également considérable dans l’écriture pianistique et dans la musique de chambre. Surmontant à force de volonté les épreuves d’une vie marquée par la surdité qui le frappe à l'âge de 27 ans, célébrant dans sa musique le triomphe de l’héroïsme et de la joie quand le destin lui imposait l’isolement et la misère, il sera récompensé post mortem par cette affirmation de Romain Rolland : « Il est bien davantage que le premier des musiciens. Biographie 1796. La fin
Igor Stravinsky Igor Stravinsky en 1921. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Igor Stravinsky est le troisième d'une famille de quatre enfants. Les parents Stravinsky sont sévères et les rapports qu'il a avec ses deux frères aînés sont également froids : « Il ne me montrait de tendresse que lorsque j'étais malade[1] », écrit-il à propos de son père dans Souvenirs et commentaires. Ses premiers essais de composition n'étant pas suffisamment satisfaisants, son père l'inscrit à la faculté de droit de Saint-Pétersbourg en 1901. Igor Stravinsky (à gauche) et Nikolaï Rimski-Korsakov (à la droite de Stravinsky sur la photo, à sa gauche en réalité) en 1908. Le point tournant de l'éducation musicale de Stravinsky est sa rencontre avec Nikolaï Rimski-Korsakov pendant l'été 1902. « Je lui exposai mon désir de devenir compositeur et lui demandai son avis[6]. », raconte-t-il. « Il me donnait à orchestrer des pages de la partition de piano d'un nouvel opéra qu'il venait d'achever. Puis à Paris :
Unification italienne De 1859 à 1870, l'unification italienne se fait par étapes. En 1848 l'Italie était divisée entre huit États différents, dont un était sous la domination directe de l'empire d'Autriche. En 1871, l'Italie était unifiée et formait le royaume d'Italie. À partir de 1859, grâce à l'action des patriotes italiens (en particulier Garibaldi et Cavour), grâce à l'appui militaire de Napoléon III puis à l'alliance avec le royaume de Prusse, le roi de Piémont-Sardaigne, Victor-Emmanuel II réunit sous son autorité les différents États. La division de l'Italie en 1859 L'Italie après les révolutions de 1848[modifier | modifier le wikicode] En 1849, toutes les tentatives révolutionnaires qui ont démarré en 1848, sont en échec. La répression contre les révolutionnaires se déchaîne. Dans le royaume des Deux-Siciles, le roi Ferdinand II, rétablit son pouvoir absolu et écrase militairement l'insurrection sicilienne. Seul le royaume de Piémont-Sardaigne, conserve une constitution et continue les réformes.