Les Big Data dans tous leurs états ParisTech Review – En l’espace de deux ou trois ans, le thème des Big Data s’est imposé dans l’espace public, suscitant enthousiasme et réticences… sans qu’on sache toujours précisément de quoi il s’agit. Pouvez-vous nous l’expliquer rapidement ? Henri Verdier – Cette confusion n’a rien de surprenant, car non seulement c’est un thème récent mais, surtout, on assiste à un affrontement politique et économique autour de sa définition. L’expression « Big Data » renvoie à au moins trois phénomènes. Selon une acception étroite, elle désigne de nouvelles technologies informatiques dans le domaine du traitement de données massives. Selon une acception plus large, elle désigne la transformation économique et sociale induite par ces technologies. Par ailleurs, et cela ajoute sans doute à la confusion, la vogue des Big Data recouvre d’énormes intérêts. Certainement pas. La deuxième nouveauté, c’est la capacité nouvelle à traiter ces données. Justement, à quoi cela sert-il ?
Cybercriminalité : piratage massif et Cloud Computing dans le viseur : Les dangers du Cloud Computing - Web & Tech Le Cloud Computing et la virtualisation des machines permettent des économies d'échelle pour les sociétés, mais certaines constatations décelées en 2009 peuvent laisser présager des inconvénients plus importants à moyen terme pour les entreprises. Pascal Lointier, président du Clusif et conseiller sécurité des systèmes d'informations de Chartis, a évoqué les problèmes soulevés par le Cloud Computing. Parmi eux, on retrouve des effets secondaires tels que le temps de redémarrage des serveurs, le crash des disques, la destruction par incendie ou par inondation, les pénalités, la saisie des serveurs et les pertes de contrats. Afin de se préparer au mieux aux désagréments que peut apporter le Cloud, le spécialiste préconise la validation de la politique du SSI du prestataire, la maîtrise de la confidentialité des informations et l'identification de la chaîne de responsabilité lors d'un dysfonctionnement.
Cloud computing : quels risques pour la sécurité de nos données ? Le cloud computing constitue une nouvelle technologie d’hébergement de données par des prestataires externes. Très en vogue depuis quelques mois, notamment grâce à l’amortissement des coûts qu’il induit auprès des entreprises, certains commencent pourtant à pointer du doigt la sécurité du système. Le cloud computing se présente aujourd’hui comme une réponse satisfaisante à la problématique de stockage et de calcul des données rencontrée par les entreprises. Il propose d’assurer le traitement et l’hébergement de leurs informations numériques via une infrastructure entièrement externalisée ce qui permet aux utilisateurs de bénéficier de nombreux services en ligne sans avoir à se soucier des aspects techniques de leurs usages, tout en amortissant les coûts générés par la prise en charge de toutes ces données. Les accidents de Cloud pleuvent Au sujet du regroupement il faut rester conscient des risques encourus lorsqu’on choisit de placer toutes ses informations sur un même serveur.
Plaidoyer pour un Cloud Computing made in France Se forger un avis précis et définitif sur la réalité du Cloud Computing en France et en Europe en cette fin d’année 2012 est un exercice probablement impossible, tant les études indépendantes ou commandées présentent des visions contradictoires. Selon une étude publiée au début de l’année par IDC, 93% des entreprises françaises connaissaient, évaluaient ou avaient mis en place des services Cloud. Ce qui faisait de la France le pays d'Europe où la pénétration du Cloud Computing était la plus forte au sein de la stratégie informatique des entreprises. En mars 2012, le président du Conseil National du Numérique, Gilles Babinet, avertissait qu’avec un PIB numérique en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE, la France devrait changer de braquet pour espérer combler son retard. Le même mois, le Gartner annonçait qu’en Europe de l'Ouest, la croissance du marché du SaaS (Software as a Service) serait plus forte encore que dans le reste du monde. Le Cloud, est-ce donc si important ?
La CNIL met en garde sur les dangers du cloud Après avoir lancé en 2011 une consultation publique sur le cloud computing, la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) estime urgent de clarifier le cadre juridique applicable aux offres d’informatique distribuée, infrastructures (Iaas), plateformes de développement (PaaS) et logiciels en tant que service (SaaS). Des risques en cascade « Les questions de sécurité, de qualification du prestataire, de loi applicable et de transfert des données sont particulièrement délicates », a souligné la CNIL lundi 25 juin par voie de communiqué. La CNIL recommande donc à toute entreprise française qui envisage d’utiliser un service de cloud computing d’analyser les risques en amont et de choisir son prestataire avec précaution. Concernant la sécurité, la CNIL constate que les offres de cloud « reconnues », autrement dit celles proposées par des entreprises d’envergure internationale, peuvent présenter des niveaux de sécurité supérieurs à ceux que peuvent garantir les PME.
Information et formation aux risques chimiques La formation et l’information des travailleurs sont une des obligations de l’employeur en matière de prévention. Réalisées en langage simple, elles permettent aux salariés de ne plus ignorer les risques mais d’agir en conséquence et en connaissance. Elles sont adaptées aux risques chimiques identifiés dans l’entreprise lors de l’évaluation des risques. Elles revêtent une importance particulière dans le cas d’exposition à des produits cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction. La formation et l’information des salariés font partie des obligations de l’employeur en matière de prévention des risques chimiques. Elles répondent à 2 principaux objectifs : donner aux salariés travaillant une représentation la plus juste possible des risques chimiques qu'ils encourent et les former à la mise en œuvre des mesures de prévention collective et individuelle adaptées. Leur contenu doit être modulaire et adapté au public et aux conditions particulières de l’entreprise. Formation
Le cloud computing n'est pas écologique Par Frédéric Bordage - 15/11/2012 Il y a quelques semaines, Olivier publiait un article sur l’intérêt d’ouvrir les nuages informatiques (cloud computing) pour obtenir plus de transparence sur leurs émissions de gaz à effet de serre et pour les mesurer avec plus de précision. Dans cet article, dont une partie a été publiée en novembre 2011 dans l’hebdomadaire 01 Business & Technologies, nous vous démontrons que le cloud computing n’est pas forcément moins émissif que le recours à un serveur en interne. Le cloud computing permet-il de réduire l’empreinte carbone des systèmes d’information ? Pour obtenir ces résultats, Google estime qu’une PME de 50 personnes n’a pas d’autre choix que de s’équiper du plus petit serveur disponible, capable de gérer 300 utilisateurs. On peut évidemment critiquer ce premier postulat de Google. Considérer l’ensemble du cycle de vie Si ce raisonnement paraît logique sur le papier, il ne tient compte que de la partie serveur du scénario.
Cloud computing : connaître les risques et savoir l'utiliser - CNET France GERER LE RISQUE CLIENT: 3 CONSEILS PRATIQUES Dans un contexte de crise, comme nous le connaissons aujourd'hui, la gestion des créances clients est l'un des postes de l'entreprise à surveiller de très près. Il n'est pas inutile de rappeler que le poste clients représente plus de 40% de la valeur des actifs des entreprises françaises ; le poste client est donc à optimiser. La loi de modernisation de l'économie du 4 Août 2008 a fixé un délai maximal de 45 jours fin de mois ou 60 jours date d'émission de la facture. Par cet encadrement législatif, elle tente à réduire fortement le risque d'insolvabilité des créances. Parallèlement à cette loi, plusieurs outils et méthodes sont à votre disposition. Nous vous présentons ci-après quelques conseils pratiques qui vous seront utiles dans votre gestion des risques clients. Détecter les risques de crédit 1 Connaître son client ou futur client Meilleure est la connaissance de la personne avec laquelle on traite, meilleure sera la gestion du risque. Des informations de nature commerciale 2 La facture
60 secondes pour comprendre le cloud computing Tendance technologique majeure des 5 dernières années et probablement des 15 prochaines, le « nuage » bouleverse peu à peu nos habitudes informatiques. Parfois même sans que l’on s’en aperçoive : qu’est-ce que Facebook, sinon un nuage géant où les internautes publient et commentent leurs photos, vidéos, etc.? Le cloud computing, c’est une sorte de révolution dans la révolution Internet. Pas étonnant que 60 secondes soit un peu court pour expliquer un tel phénomène… Découvrez donc le cloud computing en 85 secondes chrono (pas une de plus, promis) ! Liens : – Le Cloud d’Orange, votre espace privé de stockage et de partage sur tous vos écrans. – Tout savoir sur home library – Retrouver toutes vos playlist avec musique premium Deezer
Baromètre des Prestataires Cloud Computing 2012 - Logiciel Evoliz En Mars 2012 MARKESS International a publié à l'occasion des Etats Généraux d'Eurocloud sa 6ème édition du Baromètre des Prestataires Cloud Computing, étude dressant un constat de l'évolution de marché du cloud computing parmi les entreprises françaises. Une enquête réalisée auprès de 100 prestataires du Cloud Computing en France L'enquête réalisée par MARKESS International permet de dresser un état des lieux du marché du cloud computing en France, ainsi que sa perception, son adoption et son évolution. Ce baromètre dédié au cloud computing a été réalisé en interrogeant 100 entreprises prestataires dont le logiciel de facturation en ligne Evoliz. Les TPE (Très Petites Entreprises) portent la demande de Cloud Computing Il en ressort de cette édition 2012, que la demande en cloud computing est toujours soutenue dans le secteur privé, en particulier par les TPE où 70% des prestataires estiment que la demande en 2012 sera portée par ce segment de marché.
Construire un diagramme d'Ishikawa et savoir l'utiliser Qualifiez l'effet Il s'agit couramment du problème que vous cherchez à résoudre. Exemple : une baisse de marge, une démotivation chez vos collaborateurs, de fréquentes ruptures de stock, un besoin en fonds de roulement en constante évolution...Des dysfonctionnements, mais pas seulement. Il est également fort intéressant d'user et d'abuser de cette méthodologie dans la recherche de leviers sur lesquels s'appuyer pour atteindre un objectif . Décrivez l'effet de manière factuel. Pas d'opinion ni de jugement . Adoptez une description simple, chiffrée. Pour chaque branche, recherchez les causes racines si ces dernières n'ont pas été découvertes.