Des messages clairs pour coopérer
Une classe coopérative est une classe où les élèves coopèrent. C’est aussi une classe où le désordre est potentiellement plus grand, tout du moins si rien de précis ne vise à l’estomper. Les messages clairs aident à instaurer une vraie coopération sans mobiliser l’enseignant pour gérer le climat de la classe. Faire coopérer les élèves génère tout naturellement plus de conflits entre eux, plus de bruit, moins d’écoute attentive des paroles de l’enseignant ... bref, un espace de travail avec un climat tout sauf serein. Coopérer induit plusieurs libertés : parler, se déplacer, choisir, changer, chercher, utiliser différents matériels, ... ce qui laisse place évidemment à davantage d’échanges entre les élèves, donc certainement à plus de « chicanes », à davantage de déplacements, donc probablement à plus de bruit... Une solution simple serait d’éviter que les élèves coopèrent, option que certains collègues désabusés ont malheureusement choisie. « J’ai besoin de te faire un message clair »
Bavardages corporels en entretien de recrutement
L’homme communique depuis la nuit des temps avec son corps, sa voix et plus récemment (… à l’échelle de l’humanité ) avec des mots. Pour continuer notre voyage au pays de la communication, je vous propose d’accoster sur la rive des gestes qui parlent. L’expression de votre corps, les micromouvements de votre visage sont une source inépuisable d’informations le plus souvent émise de manière incontrôlée et interprétée de manière inconsciente. Après vous avoir expliqué l’importance des gestes en communication, je vous offrirai quelques astuces utiles pour réussir vos prochains entretiens de recrutement. Il était une fois, le langage Mélange de sons, de sens et de mouvements, cette syntaxe complexe peut se révéler telle une danse, harmonieuse et rythmée, par des mouvements et une musique, teintés d’émotions qui ont pour but de transmettre un message cohérent et compréhensible pour celui qui sait se mettre à l’écoute de ses sens. Les messages du corps Au début naquit le geste Ton corps sait…
Conflits interpersonnels au travail : I Les malentendus
I - Les malentendus A - Qu’est-ce que c’est ? C’est le plus fréquent des conflits et, heureusement, le plus facile à résoudre. Il résulte toujours d’une erreur d’interprétation. Il est d’abord unilatéral, mais peut devenir réciproque à partir des réactions de la personne offensée. 1 - Les manifestations principales Micheline est inquiète: elle est en retard et craint que son patron soit fâché car c’est aujourd’hui qu’elle doit faire la facturation pour tout le mois; une tâche qu’habituellement elle parvient à peine à compléter dans la journée. Il est visiblement furieux! Micheline sent les larmes lui monter aux yeux et se sauve aux toilettes pour retrouver son calme à l’abri des regards de ses collègues. Comme on peut s’y attendre, elle a beaucoup de difficulté à se concentrer et multiplie les erreurs. 2 - Les ingrédients essentiels Quels sont les ingrédients nécessaires à la naissance d’un malentendu? Les ingrédients essentiels pour créer un malentendu sont donc:
Les secrets de la communication non verbale
Communication orale - La méthode Gordon
Mise au point par le docteur Thomas Gordon, aux Etats-Unis, dans les années 1950, cette approche se retrouve dans la démarche de la Communication dite non-violente (C.N.V.), et peut faire référence aux besoins de MASLOW. Résumé du concept : La méthode est basée sur un postulat simple : celui de la « satisfaction mutuelle des besoins ». Le principe va donc être : De provoquer la confrontation des besoins. Outils de la méthode : 1/ Le « message-Je » Il s’agit de s’attribuer les choses et de ne plus faire porter à l’autre la seule responsabilité d’un problème. Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser le « message-Tu » ou le « message-Vous ». Le message efficace est celui qui dit « Je », et qui décrit à l’autre notre ressenti. 2/ L’écoute active : Le concept est qu’il vaut mieux placer le conflit au niveau des besoins qu’au niveau des personnes. Pratiquer une écoute « active », c’est entendre et reconnaître les sentiments et les besoins de l’autre, et les lui reformuler.
La communication non verbale à l'entretien
L'entretien de motivation est l'épreuve LA plus importante de toutes dans les concours. Si l'on s'amuse à calculer l'importance de toutes les épreuves dans chaque concours, on se rend vite compte que c'est l'entretien qui a le plus gros coefficient. De plus, il est faux de croire que cette épreuve ne se prépare pas, et ne se travaille pas. Certes cette épreuve est aléatoire (on passe souvent de 7 à 18, sans comprendre pourquoi), mais il n'en reste pas moins qu'une préparation est nécessaire car cette épreuve est difficile ! Votre communication est très importante dans cette épreuve. I. Mon point de vue est qu'à l'image de l'introduction d'une dissertation, c'est pendant la première minute de l'entretien que votre interlocuteur va vous juger et avoir d'ores et déjà une idée de la note qu'il va vous mettre. Est-ce qu'il m'inspire confiance ? Regardez la vidéo de Jean Sarkozy jusqu'à 1 minute 10, en étant attentif au language corporel et à la voix. Souriez ! II. III.
Confiance en soi : 6 astuces pour augmenter sa confiance
Les 13 étapes ultimes pour avoir confiance en soi : le guide La confiance en soi est un élément déterminant de la réussite. Depuis quelques années, j’ai réussi à prendre confiance en moi, et ma qualité de vie s’en est grandement améliorée. Mais les graines que j’ai planté il y a quelques années ont germé et je commence à récolter. Encore une fois ce n’est pas facile. Il faut bosser sur soi, il faut s’en donner les moyens. Ce que vous pouvez faire, dans un premier temps, c’est de voir une vidéo que je vous avait fait pour bien démarrer l’année en 2014 et avoir confiance en soi Si vous manquez de confiance en vous, alors faites de cet objectif une PRIORITE ! Au début, j’ai commencé par lire quelques articles sur doctissimo par exemple pour prendre confiance. Mais je veux aller plus loin, et c’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai décidé de m’expatrier à Londres. Le manque de confiance en soi est dû à notre enfance : les échecs que l’on a vécu, les moqueries, les parents…etc. 1. 2. 3.
l'assertivité un outil pour les maîtres
"S'affirmer sans s'opposer" L'assertivité est une démarche personnelle dont le but est de rechercher une communication constructive et positive notamment dans les relations professionnelles ou sociales. Cette démarche se refuse à l'agression, la soumission ou la manipulation . Elle s'incarne dans une affirmation tranquille de soi et une bonne mise à distance où comportements et personnes ne sont pas confondus. C'est l'art de s'affirmer sans s'opposer. Démarche non violente, elle s'inscrit dans une éthique de la responsabilité qui prend le réel en compte sans dogmatisme. Dans l'absolu, si l'on ne s'en tient pas à certaines interprétations un peu réductrices du monde du travail, il s'agit de rechercher la convergence du progrès social avec celle du projet personnel. Cette démarche permet aux acteurs d'objectiver ou professionnaliser leurs échanges, de travailler dans le cadre d'une démocratie cognitive où les objectifs sont exprimés en référence à des valeurs. Vincent Breton
Répondre au besoin de reconnaissance
Ce besoin, comme tous nos besoins, a une origine primitive: la reconnaissance favorisait la survie par la stabilité sociale et psychologique du groupe.Nous aspirons à recevoir le reconnaissance de nos accomplissements, de nos réussites, de ce que nous faisons bien, mais aussi la reconnaissance des difficultés, des obstacles que nous rencontrons et que nous dépassons, franchissons… ou non. Nous subissons le manque de reconnaissance Le manque de reconnaissance est une des principales causes de stress exprimées par les salariés. Le besoin non satisfait de reconnaissance est à l’origine de beaucoup d’émotions, de sentiments et par ricochet de comportements négatifs (frustration, colère, imptience, agressivité, irritabilité, ressentiment, susceptibilité, dégoût, maussaderie, morosité et j’en passe) dont le trop-plein mène directement à la perte de motivation, au découragement et au stress. Nous participons activement au manque de reconnaissance