L’impact de l’usage des technologies numériques sur les apprentissages des élèves : qu’en dit la science ? Par Jean Heutte Comme il n’existe pas de déterminisme pédagogique des technologies numériques, la maîtrise réfléchie de leur usage, selon les attendus du C2i n°2 « enseignant », ne peut se concevoir sans des dispositifs d’accompagnement et de formation de l’ensemble des acteurs (1) s’appuyant sur des compétences et des connaissances éprouvées, mêlant astucieusement des exemples de pratiques pédagogiques éclairées par les avancées de la recherche scientifique concernant l’apport du numérique dans les actes d’enseignement/apprentissage. L’idée que l’apprentissage serait facilité par le numérique est souvent admise comme une évidence. Pourtant, même au niveau international, il existe très peu d'études scientifiques rigoureuses concernant l'impact du numérique sur les apprentissages scolaires. Les principaux résultats remarquables de l’étude Les élèves habitués à l'usage du numérique en classe comprennent plus vite et mieux ce qu’ils lisent. Allegro moderato Jean Heutte Actuellement : Notes :
Thérapie comportementale et cognitive (TCC) - Thérapies - Soins, accompagnements et entraide Vous êtes dans : Accueil > Soins, accompagnements et entraide > Thérapies > Thérapie comportementale et cognitive (TCC) La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est une thérapie brève, validée scientifiquement, qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité. La thérapie cognitivo-comportementale est une thérapie brève, validée scientifiquement, qui vise à remplacer les idées négatives et les comportements inadaptés par des pensées et des réactions en adéquation avec la réalité. La TCC est indiquée pour toute personne en souffrance, enfant, adolescent, adulte, et personne âgée, désireuse de retrouver un mode de vie plus en adéquation avec les exigences de la réalité, et suffisamment motivée pour s’investir en tant qu’acteur dans un programme de soin permettant d’endiguer ses difficultés. Pour quels types de troubles ? « Les TCC ont été largement étudiées dans les troubles anxieux. Objectifs de la TCC
DISCAS: profil de compétence (tableau-synthèse) Tous les éléments en bleu sont cliquables pour accéder à la partie correspondante du texte explicatif. Note: il peut être intéressant de voir comment ce profil de compétence peut se manifester dans des tâches transdisciplinaires (particulièrement en contexte TIC) demandées à l'élève. On pourra prendre connaissance de ces exemples d'actualisations en CLIQUANT ICI. On peut établir, dans le tableau ci-dessus, des liens avec les trois types de connaissances identifiés par la psychologie cognitive: les connaissances déclaratives sont pour l'essentiel dans la compétence 1; les connaissances procédurales sont dans la compétence 4; toutes les outres compétences relevant des connaissances conditionnelles. La compétence 5 relève, quant à elle, des attitudes et non des connaissances. On peut également retrouver dans ce tableau la distinction faite autrefois entre Savoir (compétences 1, 2 et 3), Savoir-faire (compétence 4) et Savoir-être (compétence 5).
Les fonctions cognitives de l'enfant et leurs dysfonctionnements L’INSERM a organisé et mis en ligne en 2013 un séminaire de formation qui explique, pour les parents et les enseignants, le cerveau de l’enfant, ses principales fonctions cognitives, et la manière dont elles peuvent dysfonctionner chez certains enfants “dys”. Destiné aux associations de parents concernées par les troubles de la cognition chez l’enfant, ce séminaire de formation est organisé à l’initiative de la Mission Inserm Associations. Il a été conçu et animé par Michèle Mazeau, médecin en rééducation, spécialisée en neuropsychologie infantile et Pierre Laporte, psychologue clinicien spécialisé en neuropsychologie, docteur en psychologie. seminaires-de-formation-ketty-schwartz Le Cerveau, organe d’apprentissage, avec Michèle Mazeau & Pierre Laporte Accéder à la vidéo Le langage oral, avec Michèle Mazeau Accéder à la vidéo Les fonctions du langageLangage et parole lLa “boite à outils” dont disposent les bébésLe mamalais, le babillage….Les troubles du développement du langage
Théories sociales cognitives de la personnalité - Bandura et Mischel Bandura et Mischel Comment se développe la personnalité? Il existe plusieurs théories qui tentent d'apporter une réponse claire et logique à cette question fondamentale. Les théories sociales cognitives par Bandura et Mischel forment une catégorie dans toutes ces théories. Examinons le point de vue de chaque théoricien sur la personnalité. Personnalité et Bandura Dans sa théorie sociale cognitive de la personnalité, Bandura a incorporé le concept de l'apprentissage par l'observation comme l'un des points théoriques principaux. Après avoir théorisé que la personnalité telle qu'elle s'exprime fait partie d'un processus à double sens, Bandura a proposé l'existence d'un troisième facteur devant être pris en compte dans ce genre d'interactions: les processus psychologiques de la personne. Personnalité et Mischel Selon Mischel, il existe cinq variables qui contribuent aux conditions d'une situation particulière.
Pétillant® - Le site expert de la carte heuristique Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission. De la connaissance des courants de l'apprentissage et du choix de l'un d'eux, on pourra définir un scénario pédagogique qui fait sens avec les objectifs visés. Dans une vidéo d'une quizaine de minutes intitulée L'évolution de l'apprentissage à travers le temps, Judith Cantin, conseillère pédagogique en intégration des TIC, propose de survoler les grands courants de l'apprentissage. Vision de l'apprentissageRôle de l'enseignant et de l'élèveForces et limitesPistes de réflexion.
Apprentissage cognitif De tout ce qui vient d'être affirmé on peut découler quelques principes fondamentaux caractérisant l'approche cognitive. "La psychologie cognitive considère que l'apprentissage est un processus actif et constructif". Selon la conception cognitive, le sujet joue un rôle primordial dans l'apprentissage. Non seulement il doit être actif mais il doit être constamment conscient de ce qui se passe à l'extérieur et à l'intérieur de lui. Par exemple, l'apprenant fera nécessairement une sélection parmi les nombreuses informations qui se présenteront à lui. "Ce processus de sélection implique la création de règles qui permettent d'interagir de façon significative avec les éléments présentés. À défaut de cela, l'apprenant extraira quand même de lui-même des règles à partir des situations qui lui sont présentées pour pouvoir agir plus rapidement sur elles dans l'avenir. L'apprentissage requiert l'organisation constante des connaissances. Exemples de connaissances déclaratives. 1. (J. 1. 1.
Amélioration du français - Accueil Comprendre l'apprentissage pour enseigner Nous partirons de l’un de nos principes : Enseigner, c’est mettre en place des situations (des dispositifs, des situations-problèmes, des activités … et pourquoi pas un bon exposé de synthèse) dans lesquelles l’étudiant(e) pourra apprendre. Ce « pourra » marque son intentionalité et une certaine indétermination. Nous nous baserons aussi sur une vidéo » Teaching teaching & Understanding understanding » qui tout à la fois inspire et illustre notre propos. « Teaching Teaching & Understanding Understanding » is an award-winning film about university and tertiary teaching generally. Le livre peut être examiné sur Scribd : Teaching for Quality Learning at University on Scribd Bien. I. Le défi pour l’enseignant est d’engager Robert dans un apprentissage en profondeur. Quelques points de cette première partie dont je vous propose un développement à présent (le point de vue des étudiants) : - Apprentissage en surface et en profondeur 1. - Les motivations à apprendre Retour aux 20 items II. III. IV.
L'approche cognitive de la stratégie d'entreprise Pour cette raison, l’approche cognitive débouche sur des possibilités très concrètes. Notamment, elle permet de réévaluer les outils de l’analyse stratégique (les supports des raisonnements formalisés). En effet, pour l’observateur des pratiques d’entreprises, ces outils ne peuvent constituer l’expression du processus producteur de la stratégie. On connaît leurs insuffisances, le caractère ritualisé de leur usage, l’importance des processus concrets qui leur échappent et qu’ils ne font souvent que mettre en forme a posteriori, pour les rationaliser. Cependant, inversement, on a tout autant de mal à admettre que ces mêmes outils, qui représentent malgré leurs faiblesses un savoir accumulé indéniable, ne sont que folklore organisationnel, pratiques compulsives ou tours de passe-passe politiques.
Centre de communication écrite - SAÉ UdeM C'est notable ou notoire? Le mot adjoint s'emploie-t-il avec « à » ou avec « de »? Notre université est souvent désignée comme notre Alma mater. L'imparfait peut s'employer par politesse. Le mot pamphlet n'a pas le sens de dépliant ou de brochure publicitaire. Le verbe employé après nombre de sera toujours au pluriel. Untel n'est pas dans son assiette. Une alternative présente deux options, deux choix possibles. Une alternative n'est pas une solution de rechange. On visite les stands ou les kiosques des éditeurs au Salon du livre? Sage-femme et... sage-homme? Qu'on ait été mis à pied, licencié ou congédié, on a perdu son emploi, indiscutablement. En quoi un politologue diffère-t-il d'un politicologue? Une expression latine peut être très actuelle! Un problème n'est pas une problématique. Gratis est un adverbe aussi latin que familier. Les verbes réussir et échouer ne se construisent pas de la même manière. Un rapport existe entre le sandwich et le jeu de cartes. Écailles ou écales?
Des sciences cognitives à la classe : Entretien avec Olivier Houdé Les sciences cognitives frappent à la porte de la classe. Mais les concepts et outils développés dans les laboratoires ont-ils une pertinence dans les classes ? Les enseignants s’interrogent sur les apports de la psychologie expérimentale et des neurosciences et sur la possible articulation entre les résultats scientifiques et les pratiques de classe. Suite à la semaine du cerveau, pour poursuivre cette exploration, nous avons interrogé Olivier Houdé, instituteur de formation initiale, professeur de psychologie à l’Université Paris Descartes, directeur du Laboratoire de Psychologie du Développement et de l’Éducation de l’enfant (LaPsyDÉ) et membre senior de l’Institut Universitaire de France. "L'enseignement repose toujours sur l'idée qu'il faut accumuler et activer des fonctions cognitives, et jamais sur l'idée de travailler sur les capacités d'inhibition." Olivier Houdé : « La pédagogie, c’est la science des apprentissages. La focale semble bien lointaine. Pour aller plus loin :
Thérapie d'approche cognitivo-comportementale Qu’est-ce que la thérapie cognitivo-comportementale? En quoi la thérapie cognitivo-comportementale se distingue-t-elle des autres approches psychothérapeutiques? Quelles sont les techniques généralement utilisées dans la thérapie cognitivo-comportementale pour les troubles anxieux? Qui peut aider? Visitez le site web du Centre d'étude sur le trauma Qu’est-ce que la thérapie cognitivo-comportementale? La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est décrite comme étant une psychothérapie centrée sur la modification de pensées et de comportements problématiques. Retourner aux questions En quoi la thérapie cognitivo-comportementale se distingue-t-elle des autres approches psychothérapeutiques? La TCC se distingue des autres types de psychothérapies sur différents aspects. La thérapie cognitivo-comportementale pour les troubles anxieux est-elle efficace? Les résultats de plusieurs études contrôlées confirment que la thérapie cognitivo-comportementale est efficace pour traiter les troubles anxieux.