5 Outils de "Paroles partagées"
Des formes de débat pour que tous puissent prendre la parole. Ces formes concernent des groupes de personnes (jusqu'à 30), plutôt que les grands débats publics. Le principe : l’animateur trouve une phrase polémique qui divise le groupe (de 12 à 30 personnes). Les participants choisissent leur camp : d’accord, pas d’accord. Ils se répartissent à droite et à gauche de l’espace de la salle (debout ou assis). Le débat butiné permet d’avoir un aperçu de tous les arguments développés par l’ensemble d’un groupe (avant une prise de décision par exemple). C’est le même principe mais on met en scène un café avec des tables tournantes. Jouer en écrivant, s'exercer à l'écrit, seul, par petit groupe et en grand groupe pour mieux partager la parole. 1er exemple : Dans un groupe de parole l’animateur donne l’expression « Paroles partagées ». 3ème exemple : Ecrire, Echanger, Partager. Fiche rédigée par Evelyne Guimmara
Comment lacher prise
Retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé; lâcher prise, c’est savoir qu’il y a un avenir. Daphne Rose Kingma Lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Mais une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire: le contrôle. Tous, à des degrés divers, nous aimons bien avoir le contrôle, que ce soit sur notre travail ou des parties de celui-ci, sur notre vie personnelle, sur nos émotions, sur les autres peut-être. Lorsque nous réalisons que nous ne pouvons changer ni les événements ni les autres et que nous pouvons seulement changer notre façon de les percevoir, nous sommes dans le lâcher prise. De la même façon, lorsque nous modifions notre action pour arriver à un résultat, nous faisons preuve de flexibilité et de notre habileté à décrocher d’une conduite stérile. Le lâcher-prise et nos objectifs Est-ce à dire que lâcher prise implique de renoncer à nos buts, à nos objectifs ? Lâcher prise: un acte de confiance Conclusion
Ce qu'il faut savoir avant de mourir
Phrase résumée de “Ce qu’il faut savoir avant de mourir”: Le voyage de la vie ne se fait qu’une seule foi : pourquoi n’écouterions-nous pas ceux qui ont déjà fait ce voyage et qui peuvent nous enseigner ce qu’ils ont appris? De John Izzo, 2009, 235 pages. Note : Cette chronique invitée a été écrite par Guillaume, du blog Komment devenir riche, dans lequel il partage avec passion ses connaissances de conseiller financier et d’entrepreneur. Chronique et résumé de “Ce qu’il faut savoir avant de mourir” Ce livre est basé sur une série télévisuelle que l’auteur a conçue qui est intitulée : « Les cinq perles de sagesse qu’il faut connaître avant de mourir » Prologue L’auteur a écrit ce livre car il a cherché toute sa vie en quoi consiste une vie bien remplie et significative. Son père est décédé à l’âge de 36 ans lorsqu’il avait 8 ans et pour cette raison, cette quête lui est apparue encore plus urgente. Une idée à commencer a germer dans l’esprit de l’auteur. La connaissance versus la sagesse
Cultiver du taro sans engrais ni pesticides
Lorsqu’on arrive à deux mois de la récolte, les mauvaises herbes ne sont plus coupées, mais conservées pour la fraicheur de la parcelle. (© Charles Taataroa) À Papara, Christine Tetuarii et son mari, Noa Hatitio, sont parmi les plus gros producteurs de taro. Le couple possède plusieurs parcelles dans le quartier Lucky, mais aussi à Taharuu. La plupart sont louées à la commune, mais aussi au Pays et à des particuliers. Originaire de Rimatara, le couple connaît bien les techniques de productions de taro de cet archipel. Une tâche simplifiée Là-bas, les tarodières sont aménagés sur des parcelles marécageuses. Pour éviter la prolifération des mauvaises herbes, on utilise surtout le paillage. Un travail épuisant transmis par les parents du couple, lequel a simplifié le travail : il ne retourne plus la terre et ne pratique plus le paillage mais débroussaille plutôt pour préparer la surface à cultiver.
Marie Vareille - Là où tu iras j'irai (2017)
Pyramide des besoins de Maslow
Pyramide des besoins C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation. Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met au jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi. Cette taxinomie des besoins est, selon Maslow, universelle. En effet, le caractère particulier d'une motivation a pour origine les nombreux déterminismes tels que la culture, le milieu social ou l'éducation. Ainsi, une personne peut satisfaire son estime en étant reconnue comme un bon chasseur par ses pairs et une autre en possédant du pouvoir. Les besoins s'inscriraient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. l'émergence soudaine des besoins ;la satisfaction absolue des besoins.
Lâcher prise: comment enfin réussir à se libérer ? (Psychologie) - Bonheur et lâcher prise - Magazine santé, nutrition, psycho, etc. - Portail L'art du bonheur
On croit souvent que le lâcher prise consiste simplement à rester calme, à devenir zen. Mais le lâcher prise est beaucoup plus! Il s’agit d’une véritable vision de la vie qui cultive le courage d’accepter le changement et de nous abandonner face à ce que nous ne pouvons contrôler. Le lâcher prise consiste à être capable de modifier son regard sur le monde, à s’ouvrir à l’imprévu sans devoir se battre sans cesse. Il vous a probablement été donné de rencontrer des personnes qui dirigeaient continuellement leur colère contre des détails qui vous paraissaient futiles. Mais une attitude aussi extrême n’est pas nécessaire pour s’emprisonner dans des pensées et des émotions négatives. Pensez un moment à vos activités et à vos préoccupations. Pour lâcher prise, vous devez vous concentrer sur ce que vous pouvez changer. L’auteur américain Guy Finley a merveilleusement enrichi la réflexion sur le lâcher prise. • Réalisez un objectif et dépassez vos limites personnelles. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
La psychologie positive, qu'est-ce que c'est ?
La psychologie prend bel et bien un nouveau tournant depuis quelques années : celui de la positivité. Celle-ci ne se contente plus de soigner, de réparer ou d'apaiser les névroses, elle vise à developper les capacités de chacun pour se construire une vie plus heureuse. Il ne faut cependant pas confondre psychologie positive et pensée positive : leur principale différence étant la science. Psychologie positive : qu'est ce que c'est ? "La psychologie positive se pose donc comme l'étude scientifique des aspects positifs de la vie, en se focalisant sur ce qui va bien et sur les potentiels positifs d'un individu afin de promouvoir un sentiment de bien-être et d'accomplissement", explique le célèbre moine bouddhiste Matthieu Ricard sur son site. Comme l'explique le chercheur en psychologie Martin Seligman dans sa conférence TED en 2004, cette méthode ne se contente pas de réparer les fêlures ou de soigner les pathologies des individus, contrairement à la psychologie "basique".
Le thym, ça soigne (presque) tout!
Tout rabougri, il ne paie pas de mine, et pousse avec constance sur des terres arides. Le thym est une plante épatante aux vertus médicinales prouvées, et c’est un chirurgien qui l’affirme… Les Romains le faisaient brûler pour purifier l’air intérieur, et adoraient en mettre dans leur bain avant de partir au combat. Sainte Hildegard s’en servait pour soigner la lèpre, les paralysies et l’infection par les poux. Et les premiers « herbalistes », au XVIe siècle, ancêtres des herboristes, traitaient grâce à lui les crampes, le hoquet, et les morsures des bêtes venimeuses. Le thym est une étonnante petite plante, à la fois gustative et bourrée de vertus médicinales, à tel point que le très sérieux Dr Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien des hôpitaux, a décidé de lui consacrer un livre « Le thym et le chirurgien »*. Si simple… et si complexe « Utilisé depuis des millénaires, le thym et ses multiples vertus ne cessent d’être étudiés et de nous surprendre, raconte le Pr Henri joyeux.