La DSI doit s'adapter à la génération Y ! Les nouveaux collaborateurs désirent désormais accéder à un panel de services dans lesquels piocher, et dont ils pourront adapter certaines fonctions afin de personnaliser leur environnement de travail. Autant de défis pour la DSI. Ces collaborateurs ? Ils sont ces jeunes dont on parle tant : la Génération Y. Une génération pour qui vie et espaces privés se superposent. Ces derniers ont besoin d’accéder à certaines applications Corporate tant au sein de l’entreprise qu’à l’extérieur (à domicile, depuis un terminal mobile….), idéalement depuis un portail web d’applications ou sous forme d’applications “webisées”. La DSI doit anticiper cette évolution Revoir son organisation Dans ses modèles de distribution, celle-ci doit donc mener réflexions concernant la fourniture d’applications web ou virtualisées, accessibles sur Internet depuis un portail sécurisé.
Les 11 particularités de "La génération Y par elle-même" « 1980. Les Y sont nés après, ils ont grandi dans les années 1980 et 1990, et ont succédé à la génération X, rendue célèbre par le roman éponyme du Canadien Douglas Coupland en 1991 (…). Les Y, eux, sont les jeunes adultes âgés de 18 à 30 ans. Une de leur particularités? Myriam Levain et Julia Tissier ont publié en janvier 2012 leur livre intitulé « La génération Y par elle-même. Difficile de se baser sur des travaux sur le thème de la génération Y, puisque c’est un concept relativement neuf. Leur comportement 1- L’incertitude et la précarité rend la génération Y individualiste, mais pas égoïste « Se réaliser, voilà le but ultime des Y. L’entraide reste une valeur phare dans la génération Y, et passe par les réseaux sociaux, puisque les nouveaux outils permettent une rapidité sans précédent de l’information. 2- Leur intelligence est différente « Ok, nous soignons moins l’écriture, mais nos lacunes linguistiques sont compensées par de nouvelles richesses. » Les Y au travail Ideal Y
La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam... Pour les chiffres, en un mois, les plus de 3000 adultes ayant répondu au sondage* ont annoncé avoir entamé une moyenne de 75 contacts ou discussions en face-à-face, contre 74 via des solutions virtuelles. Une question d'habitudes socio-professionnelles
La génération Y sait manifestement délimiter vie privée et vie professionnelle Si les membres de la génération Y ne peuvent pas se passer de se connecter aux réseaux sociaux, ils sont pour autant conscients de la limite que ceux-ci entrainent quant à leur notion de vie privée dans l'entreprise. Bien que l'usage des technologies lui semble presque innée, la génération Y serait plus à même qu'on ne le pense à savoir différencier sa vie professionnelle de sa vie privée. André Perret, auteur de Travailler avec les générations Y et Z,a expliqué à L'Atelier qu'à la différence de ce que l'on peut penser " il n'existe pas une seule génération Y mais plusieurs générations Y. D'ailleurs, leur relation aux outils informatiques dépend fortement de leur niveau d'éducation ", continue-t-il. Cela est par ailleurs confirmé par une étude menée par Opinion Way et mandatée par Kaspersky Lab dont les résultats ont été dévoilé ce matin. Le paradoxe d'une vie privée et professionnelle entremêlées l'une avec l'autre La connectivité, le maître mot de la génération Y
La génération Y friande de technologies, mais à des fins personnelles Dans le monde de la recherche, les doctorants ont tendance à très peu utiliser pour leur travail les outils qu'ils maîtrisent pourtant bien au quotidien. Une situation en partie similaire dans les entreprises Les jeunes générations, si elles sont friandes dans leur quotidien de réseaux sociaux et d'outils technologiques, ne cherchent pas encore forcément à les intégrer dans leur quotidien professionnel. Tout du moins dans le secteur de la recherche. La British Library et le Uk’s technology consortium JISC ont en effet mené une étude auprès de leurs doctorants pour comprendre leur usage des technologies dans leurs recherches. Résultat : si la majorité se dit intéressée par les sites comme les forums, moins d'un quart seulement en consulterait pour chercher des informations, et seulement 13% auraient pris part active à une discussion. L'application des outils de veille informationnelle privilégiée Vers une intégration plus réussie dans le futur?
La génération Y par elle-même - Interview Instables au boulot, insolents, infidèles en amour, incapables d’aligner trois mots à l’écrit sans faire une faute d’orthographe, frisant parfois avec l’alcoolisme. Voici, en gros, le portrait que brosse de nous une grande partie des générations précédentes. Charmant ! Crédits : Capucine Bailly Pourquoi avez vous décidé de vous lancer dans ce projet ? Si on devait résumer un jeune Y en quelques mots… J.T : Il y a un risque de tomber dans la caricature. Est-ce qu’on fait peur ? En rédigeant ce livre, n’avez-vous pas eu peur de tomber dans la caricature inverse aux préjugés que vous dénoncez ? Qu’est-ce qu’on aime ? Vous recueillez des interventions de jeunes personnes, plus ou moins connues, comme Vincent Glad, ou de jeunes personnalités politiques telles que Julien Bayou, Bruno Julliard. Comment il est Michel Denisot (ndlr : Myriam et Julia sont passées au Grand Journal le 18 janvier dernier ) ? Google+
Les Z, ces esthètes décomplexés Comment évolue la génération Z au quotidien et quelles sont ses grandes aspirations ? Radioscopie du phénomène avec une série d’articles sur la mode, le numérique et les relations au travail. Avec les Z, c’est tout ou rien. D’un côté, ils rejettent les codes prédéfinis pour sortir des cases en affirmant un style basique, neutre et discret. De l’autre, ils vont dans l’excès, l’exubérance et l’autodérision afin de prendre de la distance et sortir de l’atmosphère morose dans laquelle ils sont nés. Le style, expression identitaire par excellence Une culture de l’esthétique Pour tous les ados, la mode -et le style en général- tient une place importante dans leur quotidien. Une multiplicité de looks Fini le total look, place au jeu sur les marques et les époques. Simplicité, neutralité et discrétion Besoin de rien ou presque Ne voulant surtout pas être stigmatisés par des étiquettes, les Z s’émancipent des codes vestimentaires de leurs prédecesseurs. Ni fille, ni garçon De la légèreté avant tout
Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité La preuve d’un véritable effet « générationnel » n’est pas rigoureusement apportée. Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse. Crédits photo : shutterstock.com Depuis quelques années, de nombreux stéréotypes circulent sur la génération Y dans l’entreprise. « Capricieuse génération Y »1, « Comment bien manager les nouvelles générations »2, « Je suis de la génération Y, et alors ? La « génération Y » commence en 1975 En sociologie, le terme de « génération sociale » s’applique à un ensemble d’individus appartenant à la même tranche d’âge, qui évoluent au sein d’un même environnement géographique et culturel, et qui ont été confrontés à des réalités économiques ou politiques où ils ont expérimenté des avancées techniques, intellectuelles ou sociales dont les conséquences sont particulières pour eux du fait de leur âge. Crédits photo : D. Notons toutefois deux particularités françaises.
La génération Z : les rois du monde digital A peine le temps de mettre en place une conduite du changement à l’égard du management de la fameuse Génération Y, qu’il faut déjà anticiper l’arrivée rapide de la génération suivante ! Certains l’appellent Génération Z (pour la suite logique de X et Y), d’autres parlent de Génération C (pour Communication, Collaboration, Connexion et Créativité), ou encore de la génération silencieuse, de la Y’, de la AA ou des Emos (pour « émotionnels »). Chaque expert tente d’imposer son nom. Née aux alentours de 1995, elle concerne les jeunes qui ont aujourd’hui entre 8 et 18 ans et qui ne vont pas tarder à faire leur entrée sur le marché du travail. On peut penser que la Génération Z n’est que la petite sœur de la Y, avec les mêmes comportements et les mêmes attentes. Concrètement, la Génération Z est « hyper connectée »: elle gère ses contacts virtuels et alimente ses réseaux de manière naturelle et cela fait partie de sa vie courante. Désintérêt du papier au profit de l’écran… 02 Février 2012
La génération, du tout tout de suite Des consommateurs acharnés, des machines à dépenser du fric sans réfléchir, des shootés de l’achat compulsif : voilà ce que nous serions à en croire les mauvaises (et vieilles) langues. En purs produits de la société de consommation dans laquelle nous avons grandi, nous serions prêts à nous damner pour le dernier iPhone ou à prendre un crédit sur six mois pour un sac Chanel. Nous nous faisons régulièrement rebattre les oreilles avec ces vieilles antiennes scotchées à la bouche de nos parents : « Mais fais atten¬tion à tes sous ! N’empêche, c’est toute la société qui a évolué et, avec elle, les façons de consommer. Déjà, notre rapport au temps a changé. « Les jeunes générations ont un rapport moins sacralisé à l’objet », assure Patrice Duchemin, 48 ans, sociologue spécialiste de la consommation. Extraits de La génération Y par elle-même : Quand les 18-30 ans réinventent la vie, Bourin Editeur (12 janvier 2012) atlantico sur facebook notre compte twitter Intéressé par cet auteur ?
Les millennials, des salariés pas si compliqués à appréhender Le bien être au travail. Tout le monde a sa petite idée. Qu'en pensent les millennials ? La relation au travail en entreprise, voilà encore un sujet où les millennials appelés aussi les générations Y et Z ou ceux nés après 1986 -comme vous voulez- trouvent le moyen de se distinguer. Toutefois ne les idéalisons pas trop vite. Les millennials, des gens comme les autres y compris au travail... Un principe qui se vérifie dans pas mal d’autres thèmes abordés. De même, la diversité, les relations intergénérationnelles ou les enjeux organisationnels liés au digital (flexibilité, moins de hiérarchie...) sont des qualités moins attendues, y compris parmi les moins de 30 ans. ... et qui ne veulent pas d'un traitement spécifique Un attendu : un mode de management plus engageant sur fond de digitalisation Quels défis pour les entreprises dans les années à venir ? Premier challenge : manager dans un monde dématérialisé donc se transformer pour s'adapter.
Faut-il être plus directif avec la génération Y ? Les clichés foisonnent autour du management des moins de 30 ans dans l'entreprise. Nés après 1978-80, on les appelle, de colloques en conférences, la génération "Y"...une génération dite "ingérable" et "qui n'en fait qu'à sa tête", à en croire bon nombre chefs d'entreprises et de DRH. Tout simplement parce qu'ils demandent beaucoup d'énergie et d'investissements. Des "adultes rois" Et s'ils étaient plutôt des "enfants rois" devenus des "adultes rois" ? Réfractaires à toute verticalité Certes on les rencontre à tous âges, mais s'ils se retrouvent majoritaires dans la génération Y, c'est qu'ils ont été élevés dans des familles qui leur ont laissé, enfants, prendre le pouvoir. Si ces "chacun pour soi" peuvent arranger certaines cultures d'entreprises, Didier Pleux juge qu'au final leur désinvestissement quotidien fait qu'ils ne correspondront jamais à certaines attentes : sens de l'effort, engagement, fiabilité. Management "à la culotte" Le participatif vécu comme du "blabla"
La “generation Y” en a assez des “pourquoi ?” Cet article sous forme de manifeste, publié en mai 2009, fait la liste de tout ce qui agace les fameux "digital natives". Il est toujours cruellement d'actualité. C’est une tarte à la crème, un cliché à la vie dure, mais la génération Y, ou génération numérique, ou génération digitale, ou encore génération du pouce (SMS & consoles de jeux) est là, et bien là. On ne veut plus des “pourquoi vous n’êtes pas politisés ?” C’est une contre-vérité car nous votons et débattons, la jeune génération est en revanche très méfiante vis-à-vis des appareils politiques. On ne veut plus des “pourquoi vous n’engagez pas la lutte sociale ?” Heu… le CPE, les stagiaires anonymes, le chômage des jeunes si élevé, l’insertion sociale impossible, la banque qui se fait pénible dès le début de la vie indépendante, un État criblé de dettes pour le maintien du niveau de prestations d’une génération qui aura tout conquis et tout croqué, ça vous dit quelque chose ? On ne veut plus des “pourquoi tu ne te maries pas ?”