La génération X friande d'outils virtuels pour communiquer Naviguer d'un média à un autre pour communiquer est loin d'être le privilège de la génération Y : leurs aînés ont aussi complètement assimilé le fait de passer de l'un à l'autre en permanence pour dialoguer. Les jeunes générations sont loin d'être les seules à avoir complètement assimilé les modes de communication virtuelle à leur quotidien. D'après une étude menée chaque année par l'université du Michigan, les adultes de la génération X, tout du moins ceux en fin de trentaine, entrent autant en contact avec leurs proches, leur famille ou leurs collègues et contacts professionnels via des modes de communication électroniques, comme le mail, les médias sociaux, les messageries instantanées, les webcam... Pour les chiffres, en un mois, les plus de 3000 adultes ayant répondu au sondage* ont annoncé avoir entamé une moyenne de 75 contacts ou discussions en face-à-face, contre 74 via des solutions virtuelles. Une question d'habitudes socio-professionnelles
Réseau Quetelet Le Réseau Quetelet s’efforce de faciliter l’accès aux données de pays étrangers ou à des bases de données internationales. La TGIR Progedo est le représentant national français pour l’ICPSR (Inter-university Consortium for Political and Social Research), la plus ancienne et la plus importante archive de données. Il permet ainsi aux chercheurs français d’accéder gratuitement aux enquêtes archivées à l’ICPSR. Les centres de recherche intéressés peuvent demander un accès direct aux ressources de l’ICPSR en s’adressant au représentant national. Le Luxembourg Income Study rassemble régulièrement les enquêtes Budget des ménages de nombreux pays et en propose une harmonisation pour des recherches comparatives. Le Réseau Quetelet est partenaire du réseau européen des archives de données, le CESSDA (Council of European Social Science Data Archives). Le Réseau Quetelet travaille en particulier dans ce cadre au renforcement des liens avec les instituts de statistiques nationaux et avec Eurostat.
"Parents, ne soyez pas l'ami de votre enfant sur Facebook " ! Reportage vidéo : Serge TISSERON à TALENCE Les parents s’inquiètent des dangers que courent leurs enfants sur Internet et plus particulièrement sur les réseaux sociaux. Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, directeur de recherches à l’Université Paris X, dans la conférence qu’il a donnée à Talence précise ces dangers et les relativise. Le danger que constitue la surexposition de l’intimité de l’enfant sur Internet est d’autant plus grand que celui-ci est plus jeune ou qu’il se sent moins reconnu dans sa vie sociale. Le jeune est alors tenté de se faire reconnaître à tout prix au risque de se noircir ou de se caricaturer . Un autre danger consiste à ne pas respecter le droit à l’image notamment celui des autres. Enfin le plus gros des dangers que les parents craignent pour leur enfant, c’est celui de la rencontre des inconnus.
La génération Y sait manifestement délimiter vie privée et vie professionnelle Si les membres de la génération Y ne peuvent pas se passer de se connecter aux réseaux sociaux, ils sont pour autant conscients de la limite que ceux-ci entrainent quant à leur notion de vie privée dans l'entreprise. Bien que l'usage des technologies lui semble presque innée, la génération Y serait plus à même qu'on ne le pense à savoir différencier sa vie professionnelle de sa vie privée. André Perret, auteur de Travailler avec les générations Y et Z,a expliqué à L'Atelier qu'à la différence de ce que l'on peut penser " il n'existe pas une seule génération Y mais plusieurs générations Y. D'ailleurs, leur relation aux outils informatiques dépend fortement de leur niveau d'éducation ", continue-t-il. Cela est par ailleurs confirmé par une étude menée par Opinion Way et mandatée par Kaspersky Lab dont les résultats ont été dévoilé ce matin. Le paradoxe d'une vie privée et professionnelle entremêlées l'une avec l'autre La connectivité, le maître mot de la génération Y
Les Z, ces esthètes décomplexés Comment évolue la génération Z au quotidien et quelles sont ses grandes aspirations ? Radioscopie du phénomène avec une série d’articles sur la mode, le numérique et les relations au travail. Avec les Z, c’est tout ou rien. D’un côté, ils rejettent les codes prédéfinis pour sortir des cases en affirmant un style basique, neutre et discret. De l’autre, ils vont dans l’excès, l’exubérance et l’autodérision afin de prendre de la distance et sortir de l’atmosphère morose dans laquelle ils sont nés. Le style, expression identitaire par excellence Une culture de l’esthétique Pour tous les ados, la mode -et le style en général- tient une place importante dans leur quotidien. Une multiplicité de looks Fini le total look, place au jeu sur les marques et les époques. Simplicité, neutralité et discrétion Besoin de rien ou presque Ne voulant surtout pas être stigmatisés par des étiquettes, les Z s’émancipent des codes vestimentaires de leurs prédecesseurs. Ni fille, ni garçon De la légèreté avant tout
Les réseaux sociaux n'élargissent pas forcément l'origine de ses contacts Les individus ne cherchent pas forcément à entrer en contact avec des utilisateurs du monde entier. Ce qu'ils recherchent, ce sont des internautes avec qui partager leur intérêt pour l'actualité d'une zone géographique. L'avènement des réseaux sociaux de type Facebook ou LinkedIn a permis de briser les barrières géographiques entre les internautes du monde entier ce qui concerne la diffusion d'information. Regroupements locaux, nationaux et internationaux Pour en arriver à de telles conclusions, ceux-ci ont choisi comme cadre d'étude la plateforme de micro-blogging, Twitter. Regroupements idéologiques Autre découverte sur le sujet : les réseaux sociaux, en plus d'être influencés d'un point de vue géographique, auraient également une dimension politique.
Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité La preuve d’un véritable effet « générationnel » n’est pas rigoureusement apportée. Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse. Crédits photo : shutterstock.com Depuis quelques années, de nombreux stéréotypes circulent sur la génération Y dans l’entreprise. « Capricieuse génération Y »1, « Comment bien manager les nouvelles générations »2, « Je suis de la génération Y, et alors ? La « génération Y » commence en 1975 En sociologie, le terme de « génération sociale » s’applique à un ensemble d’individus appartenant à la même tranche d’âge, qui évoluent au sein d’un même environnement géographique et culturel, et qui ont été confrontés à des réalités économiques ou politiques où ils ont expérimenté des avancées techniques, intellectuelles ou sociales dont les conséquences sont particulières pour eux du fait de leur âge. Crédits photo : D. Notons toutefois deux particularités françaises.
Les millennials, des salariés pas si compliqués à appréhender Le bien être au travail. Tout le monde a sa petite idée. Qu'en pensent les millennials ? La relation au travail en entreprise, voilà encore un sujet où les millennials appelés aussi les générations Y et Z ou ceux nés après 1986 -comme vous voulez- trouvent le moyen de se distinguer. Toutefois ne les idéalisons pas trop vite. Les millennials, des gens comme les autres y compris au travail... Un principe qui se vérifie dans pas mal d’autres thèmes abordés. De même, la diversité, les relations intergénérationnelles ou les enjeux organisationnels liés au digital (flexibilité, moins de hiérarchie...) sont des qualités moins attendues, y compris parmi les moins de 30 ans. ... et qui ne veulent pas d'un traitement spécifique Un attendu : un mode de management plus engageant sur fond de digitalisation Quels défis pour les entreprises dans les années à venir ? Premier challenge : manager dans un monde dématérialisé donc se transformer pour s'adapter.
Internet, fais-moi peur ! Marie-Catherine Beuth, qui tient le blog Etreintes digitales sur la plateforme du Figaro, participe à la célèbre manifestation SXSW à Austin (Texas), qui propose en parallèle un festival de musique, un festival du film et un festival du multimédia. C'est à ce dernier événement que participe M.C. Beuth, où elle a entendu Danah Boyd venue donner une conférence sur "Le pouvoir de la peur chez les publics connectés". Provoquer la peur pour attirer notre attention Danah Boyd observe que le contrôle central, qui ne peut s'exercer sur le réseau polycentré d'Internet, a été remplacé par l'instauration d'une ambiance de paranoïa entretenue par ceux qui ont intérêt à attirer notre attention dans des espaces où les nouvelles circulent à flux continu, et à nous faire agir dans le sens qui leur convient. Nous entretenons nous-même ce climat de peur Danah Boyd insiste également sur le fait que les technologies ne sont pas neutres : leur usage provoque une dynamique permanente.
Faut-il être plus directif avec la génération Y ? Les clichés foisonnent autour du management des moins de 30 ans dans l'entreprise. Nés après 1978-80, on les appelle, de colloques en conférences, la génération "Y"...une génération dite "ingérable" et "qui n'en fait qu'à sa tête", à en croire bon nombre chefs d'entreprises et de DRH. Tout simplement parce qu'ils demandent beaucoup d'énergie et d'investissements. Des "adultes rois" Et s'ils étaient plutôt des "enfants rois" devenus des "adultes rois" ? Réfractaires à toute verticalité Certes on les rencontre à tous âges, mais s'ils se retrouvent majoritaires dans la génération Y, c'est qu'ils ont été élevés dans des familles qui leur ont laissé, enfants, prendre le pouvoir. Si ces "chacun pour soi" peuvent arranger certaines cultures d'entreprises, Didier Pleux juge qu'au final leur désinvestissement quotidien fait qu'ils ne correspondront jamais à certaines attentes : sens de l'effort, engagement, fiabilité. Management "à la culotte" Le participatif vécu comme du "blabla"
Marketing : quelle stratégie digitale pour parler à la génération Z ? Déjà entrée dans la consommation, la Gen Z a des besoins et des usages différents de ses aînés. À la fois discrète et militante, cette génération biberonnée au web est difficile à capter. Transparence et engagement sont ses maîtres-mots. Et vous, parlez-vous Zillennials ? Pour la génération Z, un contenu imposé non désiré fait perdre des points à la marque. #1 - Le Zillennial n’existe pas Considérer les Zillennials comme une seule et même cible serait une erreur. La génération Z se réalise en communauté. Montrer une facette de sa personnalité complexe ne peut se faire qu’en privé, en cercle très restreint. Un exemple concret ? #2 - Laisser chaque talent s’exprimer La génération Z se compose de jeunes qui ont confiance en leurs talents et qu’ils considèrent mal jugés par le monde extérieur. #3 - Etre transparent (vraiment) Alors que la génération d’avant avait besoin d’un décodeur, la génération Z décrypte, parfois même de manière inconsciente, le plan marketing des marques.
11% des personnes qui envoient des sextos se sont déjà trompées de destinataire Si vous ne l’avez jamais pratiqué, vous avez sans doute déjà entendu parler du sexting, cette pratique consistant à envoyer des photos de soi ou des messages érotico-pornographiques par téléphone portable. Elle entraîne régulièrement des vagues d’excitation sur Internet quand des photos coquines de stars sont fuitées par un ex-compagnon revanchard. Les médias américains rapportent des histoires sordides d’adolescentes qui se suicident après que leurs sexpics ont été diffusées dans leur collège, mais la vraie popularité de la pratique chez les jeunes reste un sujet de débat. L’étude apporte des enseignements d’ordre plus généraux sur la manière dont les hommes et les femmes communiquent par SMS. Pour le site Digital Trends, plusieurs enseignements sont à tirer de l’étude pour les amateurs de sextos: «Ne vous pressez pas! Slate.fr Partagez cet article
Le mythe de la génération Y La génération Y existerait : Jean-François Fiorina l'a rencontrée. "Depuis cinq ans, je suis témoin d'un changement radical de comportement de mes étudiants, raconte le directeur de l'ESC Grenoble. La fracture numérique qui les sépare des plus anciens est réelle et en fait des futurs cadres d'un nouveau genre." Pour preuve : le comportement de Grégoire, qui, chaque semaine, s'attable devant son plateau de sushis, avale sa première bouchée et se met à papoter... avec son ordinateur. Comme Jean-François Fiorina, ils sont nombreux à relater l'apparition de ces nouveaux salariés, rassemblés sous l'étrange appellation de génération Y. "Anti-yologues" Professeur de gestion des ressources humaines à la Rouen Business School, Jean Pralong a assisté, sceptique, à cette déferlante médiatique. Dans sa quête de vérité scientifique, Jean Pralong s'est trouvé quelques alliés, favorisant l'émergence d'un nouveau courant : les "anti-yologues". Mode d'emploi 1.