Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité. La preuve d’un véritable effet « générationnel » n’est pas rigoureusement apportée.
Il convient de prendre de la distance avec les « représentations spontanées » sur la génération Y et de proposer aux managers une analyse rigoureuse. Crédits photo : shutterstock.com. La génération Y à l'épreuve des clichés. Propos recueillis par Emmanuel Vaillant | Publié le , mis à jour le La génération Y existe-t-elle vraiment ?
Myriam Levain. Nous ne sommes évidemment pas dupes : il n’existe pas une jeunesse, mais plusieurs. Il n’en reste pas moins que les jeunes de 18-30 ans partagent des caractéristiques communes. Ils (nous) sont (sommes) nés avec le développement d’Internet et dans un contexte économique particulier, celui de la crise. Julia Tissier. De tous les clichés, l’individualisme semble être celui qui vous agace le plus. ML. JT. La génération Y sait manifestement délimiter vie privée et vie professionnelle. Si les membres de la génération Y ne peuvent pas se passer de se connecter aux réseaux sociaux, ils sont pour autant conscients de la limite que ceux-ci entrainent quant à leur notion de vie privée dans l'entreprise.
Bien que l'usage des technologies lui semble presque innée, la génération Y serait plus à même qu'on ne le pense à savoir différencier sa vie professionnelle de sa vie privée. André Perret, auteur de Travailler avec les générations Y et Z,a expliqué à L'Atelier qu'à la différence de ce que l'on peut penser " il n'existe pas une seule génération Y mais plusieurs générations Y. D'ailleurs, leur relation aux outils informatiques dépend fortement de leur niveau d'éducation ", continue-t-il. Cela est par ailleurs confirmé par une étude menée par Opinion Way et mandatée par Kaspersky Lab dont les résultats ont été dévoilé ce matin. Le paradoxe d'une vie privée et professionnelle entremêlées l'une avec l'autre. Faut-il être plus directif avec la génération Y ? Les clichés foisonnent autour du management des moins de 30 ans dans l'entreprise.
Nés après 1978-80, on les appelle, de colloques en conférences, la génération "Y"...une génération dite "ingérable" et "qui n'en fait qu'à sa tête", à en croire bon nombre chefs d'entreprises et de DRH. Tout simplement parce qu'ils demandent beaucoup d'énergie et d'investissements. Le mythe de la génération Y. La génération Y existerait : Jean-François Fiorina l'a rencontrée.
"Depuis cinq ans, je suis témoin d'un changement radical de comportement de mes étudiants, raconte le directeur de l'ESC Grenoble. La fracture numérique qui les sépare des plus anciens est réelle et en fait des futurs cadres d'un nouveau genre. " Pour preuve : le comportement de Grégoire, qui, chaque semaine, s'attable devant son plateau de sushis, avale sa première bouchée et se met à papoter... avec son ordinateur.
Le jeune homme n'est pas fou. Génération Y et inter-génération : l’âgisme, ce nouvel racisme. La sélection du jour … apprendre aux jeunes qui apprennent aux vieux … De temps immémoriaux, les vieux ont appris aux jeunes qui ont appris aux vieux qui ont appris aux jeunes et ainsi de suite (à moins que ce soit l’inverse) … et ma boule de cristal me dit que cela … ne changera pas malgré les tentatives de mercantilisation des générations qui tendent à les enfoncer dans des caricatures.
Consumo ergo sum ? Ces stéréotypes, ne frappent pas que la génération Y, ne sont pas que l’apanage de la génération X, des “seniors” (euphémisme pour “vieux”) ou de tout autre acronyme qu’on veuille bien utiliser. Génération Y en entreprise ? De nombreux préjugés plus qu'une réalité. Mythes et réalités de la génération Y.
Mythes et réalités de la génération Y Il ne manque pas de billets et d’alerte pour nous dire tous les jours que les petits jeunes arrivent, pensent et font différemment, sont nativement digitaux, sinon ont muté du cerveau.
Il est en tous les cas certain que toute marque ou organisation qui ne s’intéresserait pas à la première vraie génération digitalisée prend un risque de décalage inconsidéré d’avec ses publics. Derrière la mythologie, il est bon parfois de descendre sur terre et de constater par soi-même. L’occasion s’est très récemment présentée à moi puisqu’une école d’ingénieur a souhaité que j’évangélise toute une promotion aux joies des médias sociaux, problématique de la recherche d’emploi et de la modernité des réseaux sociaux d’entreprise oblige. Cela m’a permis de consolider diverses confrontations du genre, et un peu mes perceptions. Je me suis fendu d’un petit quizz qui a montré qu’ils sont tous connectés. La génération Y n'existe pas. Publié le 02/12/2010 Attention, cet article a été publié le 02/12/2010.
Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Professeur en gestion des ressources humaines à Rouen business school, Jean Pralong a réalisé une étude sur l’image du travail selon la génération Y. Génération Y mythe ou réalité. Mythe et réalité de la génération Y - LES CLES DE LA REUSSITE - RESSOURCES HUMAINES. D'éternels ados, adeptes des jeans, des geeks indisciplinés et insouciants...
La génération Y fait l'objet d'une production livresque pléthorique. Ces jeunes sont-ils pour autant inadaptés au monde du travail? Ne dites plus Génération X, Y, Z mais zozos, momos, bobos, cocos, yoyos...Jean-Luc Excousseau présente la gén. Le sociologue et sémiologue Jean-Luc Excousseau* est co-fondateur de l’Association du Marketing Générationnel, et auteur de «La Mosaïque des Générations».
Spécialisé dans l’étude et le décryptage des générations, il pose un regard acéré et différent sur ce phénomène que chacun aimerait mieux comprendre. Les générations ne suivent pas forcément les calendriers et ne s’alignent pas exactement sur les débuts ou fins de décennies. Je préfère m’appuyer sur la démographie. On constate de 1920 jusqu’à 1976 une synchronisation des démographies de l’Europe et de l’Amérique du Nord avec globalement les mêmes baby boom et baby bust. REPÈRE RH - Génération Y et emploi des seniors : où sont les vraies questions ? Organisé par de jeunes étudiants, un débat resitue ces thématiques dans leur contexte et dans leurs perspectives.À quoi songent les jeunes gens qui s’apprêtent à embrasser à la fois les RH et le monde du travail ? Le 4 avril, à Malakoff, les étudiants du Master IRH de l’Université Paris Descartes organisaient une soirée-débat sur les thèmes qui leur semblaient le plus dans l’air du temps.« Nous nous sommes réunis, nous avons discuté », explique Fabien Calvin, l’un de ces étudiants, « et nous sommes vite tombés d’accord ».
Du chapeau sont sortis, dans l’ordre, la génération Y et l’emploi des seniors.Consultants, DRH, coach, sociologue et psychosociologue se sont donc retrouvés pour débattre de ces deux thématiques, autour desquels la littérature RH tourne en rond, en reposant toujours les mêmes questions.Le résultat ? « En fait, reconnaît Fabien quelques jours plus tard, nous avions plein de clichés en tête. Les cahiers du DRH, N° 186 © Tous droits réservés. Mythe et réalité de la génération Y - LES CLES DE LA REUSSITE - RESSOURCES HUMAINES. Et si la génération Y n'était qu'un mythe ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean Pierre Bouchez, professeur associé, université de Versailles-Saint-Quentin, directeur scientifique du Groupe Merlane Deux "mondes" qui observent, analysent cette fameuse génération Y, approximativement âgée de 20 à 30 ans, aboutissent à des visions pour le moins contrastées… D'une part, un "monde" regroupant une majorité d'auteurs-consultants d'ouvrages managériaux, et d'autre part quelques rares chercheurs issus du "monde académique".
La génération Y existe-t-elle vraiment ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Ils sont l'objet d'études, de colloques, des livres entiers leur sont consacrés. La blogosphère déborde de commentaires sur eux, ils font la "une" des magazines, sont invités à la télévision. La génération Y, c'est ce label donné aux 20-30 ans grandis avec les nouvelles technologies. Y parce qu'elle succède à la génération X des enfants de baby-boomers, Y en référence aux fils des écouteurs sur le torse, Y à prononcer à l'anglaise ("ouaille"), parce qu'elle serait la génération qui s'interroge tout le temps. Ils sont environ 13 millions, soit plus de 20 % de la population, nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990.
Définiton de la Génération Y. La génération Y est mal définie. Souvent identifiés par leurs hypothétiques traits communs, les "jeunes" nés entre 1980 et 2000 correspondent rarement à la caricature qu'on en fait. Peut-être car nombre des articles et ouvrages sur eux sont rédigés par ceux qui n'en sont pas ? Le principal problème d'une approche dite "par les traits" est qu'elle tente d'identifier des points communs dans une population donnée, tendant alors régulièrement à la caricature. Ainsi, on pense que les leaders ne peuvent être que des grands orateurs extravertis et les entrepreneurs des génies créatifs ; ce qui est parfois vrai, mais souvent faux.
Dans le cas de la génération Y, cela donne naissance à des lieux communs aberrants faisant croire que toute personne née après 1980 serait technophile, hyper-connectée, individualiste, impatiente, rebelle, inventive, etc. Définiton de la Génération Y. De la naissance d'un stéréotype à son internalisation. 1C'est à Walter Lippmann (1922) que l'on doit la notion de stéréotype dans son acception psychologique. Ce terme de "stéréotype" existe depuis 1798 et désigne un coulage de plomb dans une empreinte destiné à la création d'un "cliché" typographique. Lippmann désigne par là les images que nous nous construisons au sujet des groupes sociaux, des croyances dont il veut souligner la rigidité par le recours à ce terme d'imprimerie.
Selon lui, ces images nous sont indispensables pour faire face à la complexité de notre environnement social ; elles nous permettent de simplifier la réalité pour nous y adapter plus facilement. Par ailleurs, ces représentations ne sont pas dépourvues de conséquences négatives. Les comportements discriminatoires tels que le racisme ou le sexisme s'accompagnent en effet de représentations stéréotypées des groupes à l'égard desquels la discrimination s'exerce (pour une revue, voir Croizet et Leyens, 2003). Des Baby-Boomers à la Génération Y : une histoire d'étiquettes ?
Dans un monde en pleine accélération, la confiance est devenue aujourd’hui un des principes déterminants des entreprises où il fait bon travailler. Document sans titre. Représentation sociale Les représentations sociales font partie de l'étude de la pensée quotidienne. La théorie des représentations sociales. La représentation sociale [2] est un mode spécifique de connaissance. Dans un groupe social donné, la représentation d’un objet correspond à un ensemble d’informations, d’opinions, et de croyances relatives à cet objet.
La représentation va fournir des notions prêtes à l’emploi, et un système de relations entre ces notions permettant aussi, l’interprétation, l’explication, et la prédiction. Travailler sur une représentation, c’est : « observer comment cet ensemble de valeurs, de normes sociales, et de modèles culturels, est pensé et vécu par des individus de notre société ; étudier comment s’élabore, se structure logiquement, et psychologiquement, l’image de ces objets sociaux ». Herzlich (1969). Qu’est que la représentation sociale ? C’est à un sociologue Français que l’on doit l’invention du concept de représentation : Durkeim (1898).
C’est à Moscovici (1961), que l’on doit reprise et renouveau des acquis Durkeimiens. Les constituants de la représentation sociale En conclusion. D'où nous viennent les stéréotypes et les préjugés? : Le Monde Dissident. Stéréotypes : Définition et caractéristiques Stéréotypes : Définition et caractéristiques 1. Définitinion: Stéréotype. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En sciences humaines, un stéréotype est l'image d'un sujet dans un cadre de référence donné, telle qu'elle y est habituellement admise et véhiculée. Henri Loevenbruck - Nous rêvions juste de liberté (2015) Ian Manook [Comissaire Yeruldergger 2] - Les temps sauvages (2015) Jacques Olivier Bosco [Lise Lartéguy 2] - Coupable (2018)