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Représentation sociale Les représentations sociales font partie de l'étude de la pensée quotidienne. Elles constituent un processus par lequel les personnes reconstruisent la réalité et lui donnent sens, produisant un savoir social qui influence la nature des relations entre personnes et entre groupes.
Catégorisation, stéréotypes et préjugès
La catégorisation est donc un processus automatique de base bien connu des chercheurs. Ce qui définit le stéréotype, c’est sa dimension consensuelle. Pour mesurer les stéréotypes de façon concrète, on va soumettre au sujet une liste de traits concernant un groupe et le stéréotype sera défini à partir des items (propositions) les plus massivement choisis. On peut alors calculer le « score de stéréotypie » pour chaque personne.
Des Baby-Boomers à la Génération Y : une histoire d'étiquettes ?
Dans un monde en pleine accélération, la confiance est devenue aujourd’hui un des principes déterminants des entreprises où il fait bon travailler. Pourtant, il nous arrive tous de nous trouver désarmé face à des modes de fonctionnement que l’on ne comprend pas, face à des personnes d’une autre génération que la nôtre. Quid des conflits intergénérationnels entre Baby-Boomers, Générations X et Y au travail ?
Représentation sociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une histoire du concept[modifier | modifier le code] Émile Durkheim introduit en 1898 l'idée de représentation collective et fixe à la psychologie sociale la tâche d'étudier les représentations sociales[1]. En effet, la psychologie sociale située à l'interface de la psychologie et du social, de l'individuel et du collectif paraît la discipline la mieux à même de penser le social comme du cognitif et les propriétés de la cognition comme quelque chose de social relié, outre au raisonnement logique, à l'affectif et au symbolique.
De la naissance d'un stéréotype à son internalisation
1C'est à Walter Lippmann (1922) que l'on doit la notion de stéréotype dans son acception psychologique. Ce terme de "stéréotype" existe depuis 1798 et désigne un coulage de plomb dans une empreinte destiné à la création d'un "cliché" typographique. Lippmann désigne par là les images que nous nous construisons au sujet des groupes sociaux, des croyances dont il veut souligner la rigidité par le recours à ce terme d'imprimerie. Selon lui, ces images nous sont indispensables pour faire face à la complexité de notre environnement social ; elles nous permettent de simplifier la réalité pour nous y adapter plus facilement. Par ailleurs, ces représentations ne sont pas dépourvues de conséquences négatives. Les comportements discriminatoires tels que le racisme ou le sexisme s'accompagnent en effet de représentations stéréotypées des groupes à l'égard desquels la discrimination s'exerce (pour une revue, voir Croizet et Leyens, 2003).
Détail d'un texte
I.-Les bénéficiaires de l'allocation compensatrice prévue au chapitre V du titre IV du livre II du code de l'action sociale et des familles dans sa rédaction antérieure à la présente loi en conservent le bénéfice tant qu'ils en remplissent les conditions d'attribution. Ils ne peuvent cumuler cette allocation avec la prestation de compensation. Ils peuvent toutefois opter pour le bénéfice de la prestation de compensation, à chaque renouvellement de l'attribution de l'allocation compensatrice.
D'où nous viennent les stéréotypes et les préjugés? : Le Monde Dissident
Chacun de nous, dans notre vie personnel, a pu constaté qu'il y a des GROS CONS dans toutes les races, dans tous les pays, éparpillés sur notre bonne vieille terre et ceux là, ne mérite pas (à mon avis) d'avoir l'appellation et faire partis de l'espèce humaine . Même si on dit que la connerie est humaine (ce qui est vrai), je crois que c'est la conscience qui fait la différence entre les êtres humains et pas leurs couleurs de peau. Peu importe la race, la religion, la nationalité,...la conscience est la valeur ajoutée de l'homme. Si tu es inconscient, dans ce cas tu n'es qu'un être primitif, voir simplement un animal...enfin un GROS CON quoi !!!
Détail d'un texte
Pour déterminer le nombre d'unités manquantes mentionné au deuxième alinéa du IV de l'article L. 323-8-6-1 du code du travail, chaque bénéficiaire de l'obligation d'emploi ne peut être comptabilisé plusieurs fois au motif qu'il entre dans plusieurs catégories de bénéficiaires. Le nombre d'unités déductibles obtenu en application du troisième alinéa du IV de l'article L. 323-8-6-1 du code du travail ne peut être supérieur à la moitié du nombre d'agents que l'employeur doit rémunérer pour respecter l'obligation d'emploi fixée à l'article L. 323-2 du code du travail. La part des dépenses mentionnées au troisième alinéa du IV de l'article L. 323-8-6-1 du code du travail ayant fait l'objet d'un financement par le fonds ne peut être prise en compte dans la réduction du nombre d'unités manquantes prévue à ce même alinéa. 2° La réalisation, dans les locaux de l'employeur, de travaux destinés à faciliter l'accès des personnes handicapées ;
Stéréotypes : Définition et caractéristiques
Stéréotypes : Définition et caractéristiques 1. Stéréotype et préjugés Le préjugé peut être défini comme une « attitude de l’individu comportant une dimension évaluative, souvent négative, à l’égard de types de personnes ou de groupes, en fonction de sa propre appartenance sociale. C'est donc une disposition acquise dont le but est d’établir une différenciation sociale » (Fischer, 1987) Le préjugé a deux dimensions essentielles : l’une cognitive, l’autre comportementale.