Catégorisation, stéréotypes et préjugès
La catégorisation est donc un processus automatique de base bien connu des chercheurs. Ce qui définit le stéréotype, c’est sa dimension consensuelle. Pour mesurer les stéréotypes de façon concrète, on va soumettre au sujet une liste de traits concernant un groupe et le stéréotype sera défini à partir des items (propositions) les plus massivement choisis. Les études sur les stéréotypes montrent qu’ils auraient une activation quasi automatique. La formation du stéréotype correspondrait à une logique essentialiste. Le préjugé est, quand à lui, une attitude défavorable envers une ou plusieurs personnes en raison de leur appartenance à un groupe particulier. Si le stéréotype est plutôt descriptif et collectif, le préjugé serait plus individuel et normatif. Les stéréotypes sont sensibles à l’évolution des rapports entre les groupes (notamment conflictuel ou de domination). Les stéréotypes apparaissent alors comme une définition du groupe, l'essence même du groupe. cliquer-ici
Les effets d'une procédure d'engagement
Les effets d'une procédure d'engagement Ce sujet sera abordé de deux façons complémentaires : - un film bref relatant une expérimentation qui met en jeu une procédure d'engagement. - un exposé qui analyse cette expérimentation, présente d'autres expérimentations sur le même thème et apporte des notions théoriques sur la psychologie d'engagement. Une procédure d'engagement, également appelée "pied dans la porte", permet d'obtenir un comportement d'une personne, en la conduisant à s'engager d'abord dans un comportement préparatoire, un petit acte "peu coûteux" qu'elle ne peut refuser. Cette expérimentation a été mise en scène avec :M. La ressource est diffusée sous licence Creative Commons
Didactique professionnelle
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Représentation sociale Les représentations sociales font partie de l'étude de la pensée quotidienne. Elles constituent un processus par lequel les personnes reconstruisent la réalité et lui donnent sens, produisant un savoir social qui influence la nature des relations entre personnes et entre groupes. Ce processus suppose que la personne, confrontée quotidiennement à une multitude d'informations, les simplifie, les transforme, les interprète et se les réapproprie sous cette nouvelle forme pour pouvoir communiquer et agir en société. Les représentations sociales reposent ainsi sur une activité mentale consistant à objectiver les choses, c'est-à-dire à rendre concret ce qui pouvait être abstrait, se familiariser avec l'étrange, donner un contenu à ce qui initialement n'était qu'une notion ou un concept. La solidarité, l'égalité ou la justice par exemple sont des concepts flous et généraux auxquels on donne une forme concrète qui permet de les appliquer.
Représentation sociale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une histoire du concept[modifier | modifier le code] Émile Durkheim introduit en 1898 l'idée de représentation collective et fixe à la psychologie sociale la tâche d'étudier les représentations sociales[1]. En effet, la psychologie sociale située à l'interface de la psychologie et du social, de l'individuel et du collectif paraît la discipline la mieux à même de penser le social comme du cognitif et les propriétés de la cognition comme quelque chose de social relié, outre au raisonnement logique, à l'affectif et au symbolique. La psychologie cognitive a mis en évidence les propriétés structurales de la représentation. Par ailleurs, les travaux analysant les conditions de la compréhension et de l'échange linguistique (John Searle[5]) postulent un arrière fond culturel, un savoir tacite, des conventions, c'est-à-dire ce qui dans la représentation est social. Dans une perspective clinique inspirée de la psychanalyse R. D. D'après G.N. Ouvrages
De l’usage de la psychologie contre le changement climatique - Eco(lo) - Blog LeMonde.fr
Comment faire en sorte que les citoyens se sentent impliqués dans la lutte contre le changement climatique ? C'est la question récurrente que se posent les écologistes, certains dirigeants et... des psychologues. Hier soir, David Uzzell, professeur de psychologie environnementale à l'université de Surrey, en Angleterre, a ainsi donné une leçon inaugurale conjointe à l'Académie britannique des sciences et l'Académie britannique de psychologie intitulée "Psychologie et changement climatique : solutions collectives à un problème global". L'objectif : livrer quelques pistes pour mieux comprendre les ressorts psychologiques du comportement environnemental afin de changer profondément et durablement les mentalités. Proximité. Premier constat : le changement climatique reste pour beaucoup une notion vague et abstraite, dont les conséquences sont difficiles à visualiser. Le psychologue insiste également sur l'importance de l'information. Positif. Peur. Photo : Flickr/Ludovic Hirlimann
Quelques éléments de psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages
Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves. Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ? La réflexion s'est appuyée notamment sur le travail d’une équipe de recherche qui a étudié durant deux années les formes de soutien proposées aux élèves en difficulté dans des configurations locales très différentes. Écouter les enregistrements de la journée Une approche en quatre niveaux pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissage. player1 Le processus attentionnel (De 4min24 à 7min)
Des Baby-Boomers à la Génération Y : une histoire d'étiquettes ?
Dans un monde en pleine accélération, la confiance est devenue aujourd’hui un des principes déterminants des entreprises où il fait bon travailler. Pourtant, il nous arrive tous de nous trouver désarmé face à des modes de fonctionnement que l’on ne comprend pas, face à des personnes d’une autre génération que la nôtre. Quid des conflits intergénérationnels entre Baby-Boomers, Générations X et Y au travail ? Savoir se dire les choses, accepter les différences, tolérer d’autres façons de faire, voilà autant d’éléments difficiles à mettre en place avec la cohabitation des 3 générations actuellement en entreprise. Ainsi, il a été démontré que les conflits intergénérationnels entre Baby-Boomers, Générations X et Y impactent fortement la productivité au travail. Pour les plus jeunes : rejet de l’expérience des plus anciensPour les plus anciens : manque d’engagement des plus jeunesPour tous : manque de respect Pour finir, chaque catégorie d’âge a une perception négative d’une autre :
Détail d'un texte
I.-Les bénéficiaires de l'allocation compensatrice prévue au chapitre V du titre IV du livre II du code de l'action sociale et des familles dans sa rédaction antérieure à la présente loi en conservent le bénéfice tant qu'ils en remplissent les conditions d'attribution. Ils ne peuvent cumuler cette allocation avec la prestation de compensation. Ils peuvent toutefois opter pour le bénéfice de la prestation de compensation, à chaque renouvellement de l'attribution de l'allocation compensatrice. Il n'est exercé aucun recours en récupération de l'allocation compensatrice pour tierce personne ni à l'encontre de la succession du bénéficiaire décédé, ni sur le légataire ou le donataire. II. III. IV. V. I. II. Article 97 Les dispositions de l'article 36 entreront en vigueur le 1er janvier 2006. Le montant des contributions mentionnées à l'article 36 est réduit de 80 % pour l'année 2006, de 60 % pour l'année 2007, de 40 % pour l'année 2008 et de 20 % pour l'année 2009. I. II. III. IV.