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Folksonomie

Folksonomie
Folksonomie"Une folksonomie est un néologisme désignant un système de classification collaborative décentralisée spontanée. Le concept étant récent, sa francisation n'est pas encore stabilisée, bien que le grand dictionnaire terminologique l'ait ajouté à sa base de données[1]. Le terme folksonomie est une adaptation française de l'anglais folksonomy, combinaison des mots folk (le peuple, les gens) et de taxonomy (la taxinomie). Le terme a été créé par l'architecte de l'information Thomas Vander Wal. Certains auteurs utilisent à la place les termes potonomie, peuplonomie, taxinomie populaire ou encore taxionomie sociale. À l'inverse des systèmes hiérarchiques de classification, les contributeurs d'une folksonomie ne sont pas contraints à une terminologie prédéfinie mais peuvent adopter les termes qu'ils souhaitent pour classifier leurs ressources. Le concept de folksonomie est considéré comme faisant partie intégrante du Web 2.0. Wikipé Le Deuff, Olivier.

http://eduscol.education.fr/numerique/dossier/archives/metadata/bibliographie/indexation-ressources-numeriques/folksonomie

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Folksonomies Le terme de folksonomie est apparu récemment sur le web pour désigner le phénomène d’indexation des documents numériques par l’usager. On rencontre également fréquemment le mot tag qui désigne en quelque sorte un mot-clé. Le terme de folknologie est aussi employé, mais plus rarement. La #translittératie pour les Nuls Pour y voir plus clair ! – Thèse d’Olivier Le Deuff sur les littératies, La culture de l’information en reformation : – Le groupe de recherche en Littératie Médiatique Multimodale du réseau des Universités du Québec : – Les séminaires du GRCDI (Groupe de Recherche sur la Culture et la Didactique de l’information) : avec l’intervention d’Alexandre Serres, Repères sur la translittératie :

Françoise Chapron, un temps d'avance... Le texte est découpé en trois chapitres abondamment documentés selon une perspective chronologique afin de nous amener à mieux comprendre la situation actuelle, quelque peu schizophrénique, vécue par les enseignants documentalistes. La période de 1937 à la création du CAPES en 1989 retrace la lente maturation de la pédagogie documentaire, saisie comme le produit d'un héritage pédagogique et plus largement éducatif (finalités, valeurs), porté par l’Éducation nouvelle, et du besoin concret de pourvoir les établissements scolaires d'un service documentaire à la fin des années 50. La documentation émerge ainsi en laissant percevoir sa dimension duelle, celle de matière à gérer (la documentation « service ») et celle de matériau à (savoir) traiter (la documentation « recherche »), engendrant cette partition complémentaire que nous connaissons bien et qui sera bientôt source de tension, entre gestion et formation.

Paul Otlet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Otlet. Paul Otlet Politique documentaire Politique documentaire et projet d’établissement : place du CDI et rôle du documentaliste Le contexte académique et national La référence au socle commun, l’obligation d’un projet dans chaque établissement et la mise en place des conseils pédagogiques amènent à repenser le rôle du CDI et la fonction du documentaliste. Si la circulaire fondatrice de 1986 garde une large actualité, les fonctions qu’elle évoque et la signification des termes employés ont fortement évolué : une mise à jour s'impose et chaque académie, faute d’un nouveau cadre national toujours attendu et espéré, se doit de définir les orientations d’une politique documentaire reprécisant la place et les missions du documentaliste en EPLE. Deux références originelles sont d’abord à rappeler, l'une nationale, l'autre académique :

danah boyd : Ce qu’implique de vivre dans un monde de flux A la Web 2.0 Expo qui se tenait mi-novembre à New York, la sociologue danah boyd a, comme à son habitude, fait une brillante présentation sur les conséquences qu’il y a à vivre dans un monde de flux, notamment en commençant à en dresser la liste des limites. Explorons dans ses pas – partiellement, mais fidèlement -, son « Streams of Content, Limited Attention : The Flow of Information through Social Media » (Flux de contenus, attention limitée : le flot d’information dans les médias sociaux). Image : danah boyd sur scène à la Web 2.0 Expo à New York en novembre 2009, photographiée par James Duncan Davidson. Vivre dans des flux Nous vivons dans des flux, comme l’expliquait Nova Spivack, c’est-à-dire dans un monde où l’information est partout. « Cette métaphore est puissante », rappelle danah boyd. « L’idée suggère que vous viviez dans le courant : y ajoutant des choses, les consommant, les réorientant. » 4 fausses idées sur la révolution numérique

Paul Otlet et la bibliologie Cette journée de réflexion, organisée le 25 février dernier à Mons, en Belgique, a été coordonnée par le Mundaneum 1 et l’Association internationale de bibliologie (AIB) 2: c’était l’occasion de mettre en lumière l’apport du Belge Paul Otlet (1868-1944) à cette science développée par le français Gabriel Peignot au début du XIXe siècle. Autour du Mundaneum, centre de documentation à caractère universel, se regroupent de nombreuses institutions internationales dont l’Office international de bibliographie (OIB) auquel a succédé la Fédération internationale de bibliographie (FIB). L’Office fut le creuset de la réflexion sur le traitement du livre et, d’une manière plus large, sur celui des connaissances et de l’information : c’est dans ce cadre que la bibliologie a bénéficié d’un souffle nouveau. Grâce à sa dimension internationale, il a permis de fructueux échanges croisés témoignant de la similitude des préoccupations partout dans le monde. De la bibliographie à la bibliologie

Hervé Le Crosnier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hervé Le Crosnier à Brest en octobre 2011 Hervé Le Crosnier est enseignant-chercheur à l'Université de Caen. Il dispense des enseignements sur les technologies du web (informatique) et la culture numérique (sciences de l'information). Savoirs CDI: Note de lecture : Vu, lu, su, les architectes de l’information face à l’oligopole du Web de Jean-Michel Salaün Salaün, Jean-Michel. Vu, lu, su, les architectes de l’information face à l’oligopole du Web, La Découverte, février 2012. Jean-Michel Salaün est professeur à l’Ecole normale supérieure (ENS) de Lyon. Il était précédemment directeur de l’Ecole de bibliothéconomie et des sciences de l’information à l’université de Montréal (2005-2010) et est l’auteur de nombreuses publications dont Vu, lu, su, sous titré : les architectes de l’information face à l’oligopole du Web.

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