- Les 7 techniques d'asservissement des Néolibéraux
Soren Kierkegaard - Philosophe danois chrétien du XIXème siècle Dans les démocraties anciennes (USA, Canada, une partie de l’Europe occidentale, Australie), les gouvernements n’ont plus la possibilité, pour de multiples raisons (tant morales que culturelles, historiques, d’image et de crédibilité) d’imposer leur volonté absolue par la force militaire ou policière comme dans d’autres régions du monde. La seule façon d’imposer cette autorité consiste à se servir de la crise pour asservir, sous couvert de protection régalienne, les peuples qu’ils gouvernent. [ D'après Christian Poveda - Ouvrage La mort en face ] Si toutefois, par malheur pour ces gens-là, l’humanité [notamment par le biais de l’éducation] parvenait à prendre conscience de ce qu’elle est, cela sonnerait le glas de cette caste qui constitue la « tique-mère » de l’ultra-libéralisme, longtemps soutenu par Milton Friedman et l'école de Chicago. [ D'après "Je n'est pas un autre" - Ou comment reconquerir sa beauté intérieure ]
Critique des médias
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La critique des médias (presse écrite, télévision, radio et Internet) est un concept aux formes multiples dont la définition ne fait pas consensus. Au sens large, toute analyse ou commentaire portant sur le fonctionnement industriel des médias, sur la sociologie des journalistes ou encore sur le traitement de l'information entre dans le champ de la critique des médias. La critique des médias français est généralement effectuée selon des angles d'attaque très divers par trois corps sociaux distincts : les journalistes eux-mêmes, les hommes politiques et enfin la société civile (intellectuels, universitaires ou encore associations). La critique des médias est un sujet polémique. Genèse de la critique des médias[modifier | modifier le code] S'il est difficile de dater la genèse d'une telle critique, le chercheur Stéphane Arpin considère que son essor va de pair avec l'industrialisation de la presse dans la deuxième moitié du XIXe siècle :
Deux siècles de propagande en images
Retour en images sur deux siècles de propagande, des paysans glorieux de l'URSS à la Corée du Nord, en passant par l'Oncle Sam et sa puissante armée, la Chine et ses écoliers obéissants. Petit dossier du jour, plein de poussières parce que retro au possible. Vous connaissez mon amour pour les pubs vintage et autres vieilleries publicitaires, présentes dans de nombreux articles, elles ont aujourd’hui le droit à un article entier. Évidemment je vais pas m’éclater à faire un article : “Vieilles Pubs”, c’est inutile et pas très intéressant … Donc, après moultes réflexions, l’article d’aujourd’hui concerne tout un pan de l’histoire mondiale en deux siècles. Je cite : la propagande. Le drapeau sublimé dans la propagande En soit, ce n’est pas de la publicité pure et dure, mais ce fut de loin le modèle de communication le plus utilisé au XIXème siècle que ce soit en période de guerre comme de stabilité politique. La gloire du communisme grâce à la propagande La Paysanne, heureuse dans ses champs
Stratégies de Manipulation
Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles") 3 La stratégie du dégradé Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. 4 La stratégie du différé 7 Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise (cf. 8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Éloquence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : éloquence, sur le Wiktionnaireéloquence, sur Wikisource Le terme d’éloquence renvoie à deux significations principales [1] : L'art, le talent de bien parler, l'aptitude à s'exprimer avec aisance, capacité d'émouvoir, de persuader par la parole.Le caractère de ce qui -sans paroles- est expressif, significatif, probant : Comme dans l'expression « l'éloquence des chiffres ». Le père Louis Bourdaloue est considéré comme l'un des fondateurs de l'éloquence française. Cicéron est lui compter comme le meilleur orateur de l'antiquité ! Représentation allégorique[modifier | modifier le code] Politique[modifier | modifier le code] Les discours politiques, notamment ceux prononcés devant le parlement, peuvent être l'occasion de manifester une éloquence : Voir en particulier le site | de l'Assemblée Nationale française où sont proposés quelques uns de ces textes qui ont laissé une trace dans les mémoires.
Novlangue
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe est simple : plus on diminue le nombre de mots d'une langue et plus on fusionne les mots entre eux, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir en éliminant les finesses du langage, plus on rend les gens incapables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l'affect. La mauvaise maîtrise de la langue rend ainsi les gens stupides et manipulables par les instruments de propagande massifs tels que la télévision. C'est donc une simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l'expression des idées potentiellement subversives et à éviter toute formulation de critique de l’État, l'objectif ultime étant d'aller jusqu'à empêcher l'« idée » même de cette critique[1]. Le mot novlangue est depuis passé dans l'usage au féminin par analogie avec langue, lorsqu'il désigne péjorativement un langage destiné à déformer une réalité, hors du contexte du roman.
Subversion
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La subversion (latin subvertere : renverser) désigne un processus par lequel les valeurs et principes d'un système en place, sont contredits ou renversés. Le discrédit et la chute du pouvoir établi se fait dans le cadre de territoires politiquement ou militairement convoités[1]. Explication[modifier | modifier le code] Chacun peut lui conférer un sens positif ou négatif, en fonction de sa propre position par rapport aux valeurs du système en place ou à celles dont se réclament les acteurs de la subversion. Elle peut aussi - plus simplement - servir à faire évoluer les valeurs du système en les remettant en cause. Enfin, elle peut être sublimée à travers le symbole et la représentation artistique. De par sa nature, la subversion est souvent l'objet de censure et de répression. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]
Médias de masse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Naissance du concept[modifier | modifier le code] Le terme a été créé dans les années 1920. Dans un premier temps, du fait des techniques employées, les médias de masse se caractérisent par une logique "push" c'est-à-dire que l'information est poussée par un émetteur vers des destinataires, à grande échelle, d'où un coût par contact très faible pour l'annonceur. Ainsi la télévision est considérée comme le média de masse par excellence. Le sociologue Marshall McLuhan[1], présente le phénomène « des médias de masse » sous quatre caractéristiques principales : la communication de un vers plusieurs.l’uni-latéralité du message : le public n'interagit pas avec le véhicule du message.l'information est indifférenciée : tout le monde reçoit la même information au même moment.l'information est linéaire et présentée selon des séquences pré-définies. Publicité et propagande[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]