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Athéna

Athéna
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Naissance Rôles Protectrice d'Athènes Tétradrachme athénien représentant Athéna. Athéna est, comme Artémis, vierge, et tient beaucoup à sa virginité ; elle fut donc surnommée Parthénos (jeune fille) d'où le nom du grand temple d'Athènes sur l'Acropole, le Parthénon. Conseillère des héros Déesse de la Guerre, de la Pensée, des Armes et de la Sagesse Tétradrachme Stépanophore représentant Athéna coiffée du casque attique à cimier et aigrette. « Je chanterai Pallas Athènaiè, puissante protectrice des villes, et qui s'occupe, avec Arès, des travaux guerriers, des villes saccagées, des clameurs et des mêlées. Il n'est pas anodin que les sages grecs aient revêtu Athéna d'attributs guerriers : la guerre est omniprésente dans le monde des cités grecques ; la sagesse implique que la cité soit protégée non seulement spirituellement, mais aussi physiquement. Patronne des artisans et des techniques Étymologie Épithètes, attributs et sanctuaires Notes Voir aussi Related:  Déesses

Artémis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène. Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Surnommée « la Bruyante » (Κελαδεινή / Keladeinế), elle mène sa meute et la pousse de la voix. Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. La déesse sagittaire est enfin appelée par Homère Artémis khrysêlakatos, « à l’arc d’or », et par Hésiode iokhéairê, « l'archère »[12]. Déesse vierge[modifier | modifier le code]

Athena Athéna Athéna (Αθηνη) est la grande désse olympienne aux sages conseils, elle est à la fois la déesse de la Guerre et la défense des cités, de la Sagesse, protectrice des héros et patronne des artisans et de l'artisanat (poterie, tissage,sculpture...) Elle fait partie des douze Olympiens. Les Romains l'assimilèrent à Minerve. Les diverses étymologies de son nom ne sont pas réellement satisfaisantes. Hérodote a le premier identifié Athéna avec Neith, la déesse égyptienne de Saïs; cette identification a été par la suite justifiée par toutes sortes de légendes, telles que l'origine égyptienne de Cécrops. Les origines grecques comme "fleur" (αθοζ) ou "nourrice" (τιθηνη) sont pas meilleures. Ses innombrables surnoms rappellent les circonstances de sa naissance, sa physionomie, ou ses attributions: Athéna Parthenos L'épithète poétique Pallas, souvent accolée au nom d'Athéna, proviendrait soit de παλλειν, "frapper", soit, plus vraisemblablement, de παλλαξ, "jeune fille". Naissance d'Athéna

Athéna Minerve, fille de Jupiter, était la déesse de la sagesse, de la guerre, des sciences et des arts. Jupiter, après avoir dévoré Métis ou la Prudence, se sentant un grand mal de tête, eut recours à Vulcain qui, d'un coup de hache, lui fendit la tête. De son cerveau sortit Minerve tout armée, et dans un âge qui lui permit de secourir son père dans la guerre des géants où elle se distingua par sa vaillance. Un des traits les plus fameux de l'histoire de Minerve est son différend avec Neptune pour donner son nom à la ville d'Athènes. Les douze grands dieux, choisis pour arbitres, décidèrent que celui des deux qui produirait la chose la plus utile à la ville lui donnerait son nom. La chaste Minerve resta vierge ; cependant, elle ne craignit pas de disputer le prix de la beauté à Junon et à Vénus. Beaucoup de villes se mirent sous la protection de Minerve, mais la ville entre toutes favorisée par la déesse fut Athènes, à laquelle elle avait donné son nom.

Ishtar — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Version sumérienne[modifier | modifier le code] Inanna (Ishtar en akkadien) est considérée comme la fille du dieu ciel An ou Anu en Akkadien Elle fait partie de la triade des dieux planétaires. Les mythes[modifier | modifier le code] Inanna et Dumuzi[modifier | modifier le code] Inanna est la déesse tutélaire d’Uruk, épouse du berger Dumuzi qui deviendra souveraine de la cité. Inanna ou « la bien-aimée d'Anou » fut la jumelle de Shamash. Il existe plusieurs versions de cet épisode, dont une où Dumuzi le berger est mis en concurrence avec un fermier, symbolisant la lutte entre les deux classes. La descente d'Inanna aux Enfers[modifier | modifier le code] Ce mythe sumérien est le plus fameux récit mettant en scène Inanna. Inanna, souveraine du « Grand Royaume d’En Haut », décide de descendre aux enfers pour supplanter sa sœur aînée Ereshkigal, souveraine du Monde Inférieur. Dans la version akkadienne, Ishtar et Tammuz sont les personnages du mythe.

Héra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle correspond à Junon dans la mythologie romaine. Mythe[modifier | modifier le code] Fille de Rhéa et de Cronos (elle est l'aînée des enfants dans l'Iliade[1] et la troisième chez Hésiode[2]), elle est dès sa naissance avalée par son père[3]. Après la Titanomachie, Héra devient l'épouse de Zeus[4]. Drachme en argent avec Héra Lakinia. Les traditions post-hésiodiques attribuent à Zeus et Héra de nombreux autres enfants absents des catalogues « traditionnels ». Dans l'Iliade encore, Homère fait mention par la bouche de Dioné, d'un tir de flèche à trois pointes décochée par Héraclès blessant Héra au sein droit. Un jour, exaspérée des incartades de Zeus, Héra décide de demander l'aide de ses fils pour punir le dieu volage. Offensée par le jugement de Pâris, qui lui préfère Aphrodite, elle se montre la plus farouche ennemie des Troyens pendant la guerre de Troie et contribue au sac de la ville. Origine et fonctions[modifier | modifier le code]

Athéna Athéna est une déesse de la mythologie grecque, correspondant à la Minerve des Romains. Elle est déesse de la guerre, de la sagesse, des artisans. Elle a une place importante parmi les dieux de l'Olympe. On invoque son nom à côté de ceux de Zeus et Apollon dans les serments solennels.

Athéna Origine Elle est la fille de Zeus et de Mètis (déesse de la raison, de la prudence) et est sortie toute armée du crâne de son père - lequel avait avalé sa mère enceinte.(Hésiode, Théogonie ; Pindare, Olympiques). Le lieu de sa naissance se placerait au bord du lac Tritonis, en Lybie, d'où son surnom de Tritogénie. Elle personnifie l'intelligence sous tous ses aspects et protège les activités matérielles (filage, tissage) aussi bien que les arts ou la littérature. Protectrice d'Athènes, elle l'est aussi d'autres cités où elle avait des temples (Sparte, Argos). Athéna a choisi de rester vierge mais adopte Érechtée qui devient un des premiers rois d'Athènes (Homère, Iliade). Attributs : la lance le casque l'égide (Homère, Iliade) Animaux et plantes associés : la chouette (symbole de perspicacité) l'olivier Elle instaure à Athènes le tribunal de l'Aréopage pour juger le crime d'Oreste puis tous les meurtres à venir (Eschyle, Les Euménides).

Aphrodite — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Aphrodite (en grec ancien Ἀφροδίτη / Aphrodítê) est la déesse de l'amour et de la sexualité[1]. Mythe[modifier | modifier le code] Naissance[modifier | modifier le code] Diverses traditions post-homérique et post-hésiodique font naître Aphrodite du sang de Cronos mutilé par Zeus, ou bien des amours de Cronos et d'une mystérieuse Évonymé (fragment d'Epiménide), auquel cas elle apparaît comme la sœur aînée des Moires et des Érinyes. Amours d'Aphrodite[modifier | modifier le code] Aphrodite a également une liaison avec : Aphrodite passe en outre pour avoir distingué de nombreux héros mortels, parmi lesquels : La vengeance d'Aphrodite[modifier | modifier le code] La vengeance d'Aphrodite est terrible. Dans l'Iliade[modifier | modifier le code] La légende la plus connue concernant Aphrodite est peut-être celle qui raconte la cause de la guerre de Troie. Attributions[modifier | modifier le code] D'autres représentations :

Léto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Leto enlevée par Tityos (au centre) Dans la mythologie grecque, Léto (en grec ancien Λητώ / Lêtố, en latin Latona, d'où le nom romain Latone) est une maîtresse de Zeus. Étymologie[modifier | modifier le code] W. Mythologie[modifier | modifier le code] Mais Héra n'arrête pas pour autant ses tourments. Son nom est également attaché à celui de Tityos, qui tente d'abuser d'elle, mais est durement châtié. Culte[modifier | modifier le code] Évocations artistiques[modifier | modifier le code] Leto et ses enfants Apollon et Diane, par William Henry Rinehart (1874) Sculpture[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] ↑ W, Smith, ed. Sources[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Léto, sur Wikimedia Commons Portail de la mythologie grecque

Arès Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythe[modifier | modifier le code] Arès est l'un des trois (ou quatre, suivant la version) enfants de Zeus et d'Héra ; il appartient au panthéon des douze grands dieux de l'Olympe. Cependant, sa place dans le mythe est relativement limitée. Il apparaît principalement dans des récits de guerre ou de combats, au premier chef de la guerre de Troie, où il se range aux côtés des Troyens, sans raison particulière — on le voit d'ailleurs assister également des Achéens[1]. Comme les autres dieux, il exhorte son camp sous diverses apparences, notamment celle d'Acamas[2], et accompagne les héros sur le champ de bataille[3]. Amours et postérité[modifier | modifier le code] Présentés dans l’Iliade comme purement fraternels, les rapports d'Arès et d'Aphrodite deviennent dans l’Odyssée[14] à la fois amoureux et adultères, puisque la déesse de l'amour y est mariée à Héphaïstos — celui-ci étant l'époux d'une dénommée Charis dans l’Iliade.

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