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Impuissance apprise

Impuissance apprise
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Test de laboratoire sur l'apprentissage des animaux : un rat nageant dans un labyrinthe. L'impuissance apprise a été proposée en 1975 par Martin Seligman, professeur de psychologie expérimentale sous le terme de théorie de l'impuissance apprise et a été, par la suite, reformulée avec l'aide d'Abraham et de Teasdale en 1978 sous le terme d' « attribution et impuissance apprise »[2]. Cette théorie a finalement été révisée et complétée par Abramson, Metalsky et Alloy, en 1989, sous le terme de « théorie de manque d'espoir ou de désespoir »[2]. Définition[modifier | modifier le code] Il s'agit d'un état psychologique, résultat d'un apprentissage dans lequel le sujet fait l'expérience de son absence de maîtrise sur les événements survenant dans son environnement (peu importe la valence positive ou négative de l’événement). Cette expérience, tendrait à l'adoption par le sujet, animal ou humain, d'une attitude résignée ou passive. Related:  Manipulation mentaleSe déconditionnerHumain

Proteus effect This article is about an aspect of human psychology. For the statistical bias in academic publishing, see Proteus phenomenon. Overview[edit] The Proteus effect proposes that the visual characteristics and traits of an avatar are associated with specific behavioral stereotypes and expectations. Theoretical background[edit] Three psychological concepts that led to the development of the Proteus effect are behavioral confirmation, Self-perception theory, and deindividuation.[4] Behavioral confirmation[edit] Behavioral confirmation refers to the effects that a perceiver's actions can have on the resulting behavior of an individual.[2] Specifically, this concept proposes that interacting with individuals who hold preexisting stereotypes will lead the target of those stereotypes to engage in behaviors that will confirm the perceiver's expectations.[6][7] The Proteus effect differs from behavioral confirmation in that it does not consider the actions of a perceiver. Self-perception theory[edit]

Allégorie de la grenouille Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'allégorie de la grenouille se fonde sur une observation concernant le comportement d'une grenouille placée dans un récipient d'eau chauffée progressivement pour illustrer le phénomène d'accoutumance conduisant à ne pas réagir à une situation grave. Comportement de la grenouille[modifier | modifier le code] Cette thèse se fonde sur l'idée que si l'on plongeait subitement une grenouille dans de l'eau chaude, elle s'échapperait d'un bond. Applications[modifier | modifier le code] Cette allégorie cherche à illustrer des phénomènes de prises d'habitudes se révélant dans des situations de crise — récurrentes ou sous forme de continuum. L'allégorie est utilisée par Al Gore dans le film Une vérité qui dérange pour illustrer la manière dont l'humanité court à sa perte si elle ne réagit pas au lent réchauffement climatique de la planète. Origines et controverses[modifier | modifier le code] En 2002, le Dr. Voir aussi[modifier | modifier le code]

Conditionnement opérant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le conditionnement opérant (appelé aussi conditionnement instrumental, apprentissage skinnerien ou conditionnement de type II) est un concept du béhaviorisme initié par Edward Thorndike et développé par Burrhus Frederic Skinner au milieu du XXe siècle[1]. Cette théorie s'intéresse à l'apprentissage dont résulte une action et tient compte de conséquences de cette dernière rendant plus ou moins probable la reproduction dudit comportement. Skinner distingue le conditionnement opérant du conditionnement classique par le fait que la conduite humaine est conditionnée par les conséquences du comportement, avant que celui-ci n'intervienne. Concept[modifier | modifier le code] L'apprentissage skinnerien repose sur deux éléments, le renforcement et la punition, pouvant chacun être soit positif soit négatif. Un renforcement ou une punition peut être soit : Ainsi, il existe quatre types de conditionnement opérant : Limites[modifier | modifier le code]

Méthode de Singapour La méthode de Singapour (ou mathématiques de Singapour) est une méthode d'enseignement fondée sur le programme national de mathématiques de la maternelle à la sixième année à Singapour. Le terme a été inventé aux États-Unis pour décrire une approche, initialement développée à Singapour, de l'enseignement des mathématiques à l'aide de trois aspects fondamentaux : la modélisation, l'approche « concrète-imagée-abstraite » et la verbalisation[1]. Conçue au début des années 1980 par une équipe de professeurs de mathématiques mandatée par le ministère de l'Éducation de Singapour, sur la base des recherches menées par des pédagogues du monde entier (en particulier Jerome Bruner, Jean Piaget, George Pólya et Maria Montessori), la méthode a été ensuite mise en œuvre dans les écoles singapouriennes sur une longue période de quinze ans, chaque professeur ayant été formé, en formation initiale et continue, à ce nouveau cursus[2]. Les trois aspects fondamentaux[modifier | modifier le code]

Manipulation mentale Faiblesse, dépendance et crainte Résumé de Farber et alii, Brainwashing, conditioning and DDD, Sociometry, Vol 20, 1957, 271-285 (ici, en anglais). En 1957, une équipe de chercheurs en psychologie comportementale a étudié les comportements des soldats américains de retour de Corée, pendant la guerre. Étonnamment, peu suspects de sympathie communiste ou maoïste au départ, ils avaient pris fait et cause pour l'ennemi qu'ils avaient combattu.Les psychologues ont découvert les techniques utilisées à cette époque pour obtenir ce retournement de veste. Par la suite, l'armée américaine et les services secrets récupéreront ces techniques avec le succès que l'ont sait.Il s'agit des trois d en anglais:- la debility, la faiblesse: les soldats ont été soumis à rude épreuve, ils ont subi des privations et ont été coupés du monde. Emploi et DDD La logique de l'emploi obéit strictement à ces principes et déstructure de la même façon le moi de l'employé:

Effet du témoin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un homme dormant sur un trottoir au Canada. L’effet du témoin (appelé aussi « effet spectateur »), en anglais « bystander effect », est un phénomène psycho-social des situations d'urgence dans lesquelles notre comportement d’aide est inhibé par la simple présence d'autres personnes présentes sur le lieu. La probabilité de secourir une personne en détresse est alors plus élevée lorsque l’intervenant se trouve seul que lorsqu’il se trouve en présence d’une ou de plusieurs personnes. En d’autres mots, plus le nombre de personnes qui assistent à une situation exigeant un secours est important, plus les chances que l’un d’entre eux décide d’apporter son aide sont faibles. Ce phénomène contre-intuitif s’explique principalement par un processus de diffusion de la responsabilité qui se met en place à travers les personnes assistant à une même situation d'aide[2]. Origine[modifier | modifier le code] Autres expériences[modifier | modifier le code]

Loi de l'effet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi de l'effet est un des principes qui gouvernent l'apprentissage par conditionnement opérant. La loi de l'effet postule qu'une réponse est plus susceptible d'être reproduite si elle entraîne une satisfaction pour l'organisme et d'être abandonnée s'il en résulte une insatisfaction. En d'autres termes, si la connexion « situation–réponse » est suivie d’un état de satisfaction (donc la récompense) le comportement appris a plus de chance d'être reproduit. Cette loi a été formulée en 1911 par Edward Thorndike.

Neuroscience : l’enseignement de Bernard Michel Boissier – Clés De Santé Les partages de Christophe La video postée en août 2016 sur YouTube d’une conférence de plus de 2 heures sur le cerveau fait actuellement un buzz impressionnant et je suis certain que ce n’est que le début. En effet, dans cette conférence Bernard Michel Boissier (dit BMB pour les intimes ), chercheur indépendant en neurosciences, expose le fonctionnement du cerveau (surtout à la fin) et le lien qu’il y a entre le cerveau et l’esprit. Témoignage personnel Aujourd’hui samedi 4 février 2017, je sors d’un atelier pratique de sa méthode “dynamique interactive mentale et cérébrale” et je suis décidément bien intrigué, surtout après avoir échangé avec 2 personnes qui affirment voir leur vie se transformer radicalement et très positivement en quelques mois grâce à la méthode de BMB et à son accompagnement individuel et collectif. En quoi consiste la méthode ? La méthode est basée sur une méditation très particulière, durant laquelle on est invité à : etc… répéter à nouveau les phrases Coaching

Stratégies de Manipulation Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles") 3 La stratégie du dégradé Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. (cf. Sylvain Timsit

Effet placebo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Placebo. Un placebo est un traitement d'efficacité pharmacologique propre nulle mais agissant, lorsque le sujet pense recevoir un traitement actif, par un mécanisme psychologique et/ou physiologique. Le médicament placebo ne contient que des composés chimiques neutres ou n’interférant a priori pas avec l'évolution de la maladie. L'effet placebo a été constaté chez certains patients ou sujets d'expérience par les médecins et chercheurs pour un groupe varié de symptômes et maladies[1]. Les placebos sont utilisés en recherche médicale dans les groupes contrôles pour l'évaluation de traitements médicaux. Les placebos n'existent pas que pour les médicaments. Aspects historique[modifier | modifier le code] Caricature décrivant un traitement avec les « tracteurs de Perkins ». En 1955, le médecin Henry K. Déterminants de l'effet placebo[modifier | modifier le code] Coût[modifier | modifier le code]

Sérotonine Elle est majoritairement présente dans l'organisme en qualité d'autacoïde. Son activité débute dans le cerveau où elle joue le rôle de neurotransmetteur en n'y représentant que 1 % du total présent dans le corps[6], mais elle y joue un rôle essentiel[7]. Elle est notamment impliquée dans la gestion des humeurs et est associée à l'état de bonheur[8],[9] lorsqu'elle est à un taux équilibré, réduisant la prise de risque[10] et en poussant ainsi l'individu à maintenir une situation qui lui est favorable. Elle est donc indispensable à la survie des mammifères dont l'être humain[11], et a un effet antagoniste à celui de la dopamine[12] qui favorise, au contraire, la prise de risque et l'enclenchement du système de récompense. Histoire[modifier | modifier le code] La sérotonine a été identifiée en 1946, sous le nom d'entéramine[14], par le pharmacologue italien Vittorio Erspamer (1909-1999) dans les cellules entérochromaffines du tube digestif[15]. Localisation[modifier | modifier le code]

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