GMA : Gestion Mutualisée des Approvisionnements Accueil > Publications > Logiguide CGL > La gestion mutualisée des approvisionnements (GMA) fait évoluer la collaboration logistique (Volume 10 / Numéro 5) Article extrait des Logiguides de GROUPE GCL, cabinet de conseil en logistique. Depuis des années, les distributeurs ont amélioré leur qualité de service grâce à la mise en place de pratiques collaboratives avec leurs fournisseurs comme la gestion partagée des approvisionnements (GPA), le Cross-docking, ou le CPFR ( Collaborative Planning Forecasting and Replenishment). La réduction des coûts logistiques, l’optimisation du transport, la réduction des stocks, les impacts sur l’environnement, l’augmentation du prix des carburants, la rareté des transporteurs, etc. sont autant de nouveaux enjeux qui préoccupent les principaux acteurs de la grande distribution. Réduire les stocks et améliorer le taux de service La GMA consiste à confier à un groupe d’industriels la gestion de l’approvisionnement vers le distributeur. Changer les habitudes
Quels sont les canaux marketing les plus efficaces ? | Campagnes cross-canal | Selligent | Solutions de marketing interactif | Logiciel marketing Les consommateurs disposent d'un nombre croissant de canaux pour interagir avec les entreprises. C'est aussi le cas, bien sûr, pour les spécialistes du marketing à la recherche d'interactions avec les consommateurs. MarketingSherpa a publié un graphique montrant les facteurs qui influencent la décision de ces professionnels lorsqu'il s'agit de choisir leur(s) canal (canaux) marketing de prédilection. Les données proviennent du rapport de génération de leads de l'entreprise et indiquent que le niveau d'efficacité est crucial, tandis que le degré de difficulté (du canal) n'a pas d'incidence sur l'utilisation de canaux et de tactiques spécifiques. S'il est vrai qu'un nombre croissant de spécialistes du marketing adoptent les canaux numériques, les tactiques hors ligne jouent elles aussi encore un rôle important. Le canal marketing idéal pour votre entreprise et vos clients, cela n'existe pas Il faut peut-être compléter ce conseil. L'expérience client n'est pas qu'une question de message
lire-la-revolution-digitale-est-en-marche-562 Contributions Paroles d'experts Les vitrines interactives, écrans multitouch et autres tablettes tactiles envahissent nos magasins et, de surcroît, notre quotidien. Mais qu'apportent-ils de plus à l'expérience shopping ? Face à la montée du e-commerce, nombre d'enseignes se sont lancées dans l'aventure digitale avec pour ambition de contrecarrer l'avancée fulgurante des pure players. Désormais, la boutique traditionnelle n'est plus un simple lieu d'approvisionnement. Vous avez dit stratégie digitale ? Le digital est le nouvel eldorado des enseignes de la distribution. Mesurez, mesurez, mesurez ! Mettre en place ce type de stratégie est loin d'être sans douleur pour les enseignes. Le mobile : ami ou ennemi du point de vente? Avec plus de 68% des clients qui consultent le web avant de venir en magasin (source : Médiamétrie), repenser l'expérience magasin n'est désormais plus une option si l'on souhaite que le consommateur concrétise son achat sur place. L'émotion avant tout !
10 mythes sur le commerce multicanal d’après PwC Pour la 2ème année consécutive, le cabinet d’audit et de conseil PwC a mené auprès de 11 000 acheteurs sur le web dans 11 pays, une étude sur les grandes tendances du e-commerce et les comportements des cyber-acheteurs.. Dans cete étude, le cabinet de conseil décrypte 10 mythes sur la distribution multicanale : Mythe n°1 : Les réseaux sociaux sont un canal de vente incontournable Même si l’utilisation des media sociaux a explosé ces dernières années, Facebook en tête, 3/4 des utilisateurs n’achètent pas encore en ligne via les réseaux sociaux. La plupart des acheteurs multicanaux recherchent des infos et des produits en ligne mais préfèrent acheter en magasinsurtout pour certains produits tels que l’alimentation (69%), l’ameublement (58%) ou le prêt-à-porter (48%). - La raison majeure invoquée (à 73%) par ces acheteurs préférant le magasin physique au online est « l’aptitude à voir, toucher et essayer des marchandises ». Mythe n°3 : Smartphones et tablettes détrônent le PC
Clisson. La grande distribution joue la carte du producteur local Entre la grande distribution et les agriculteurs, les rapports sont souvent tendus. Et soufflent le chaud et le froid. Les seconds accusant les premiers de marges excessives. Rien de tout cela à l’hypermarché Leclerc de Clisson, vendredi dernier. Enterrée la hache de guerre. La démarche officialisée consiste à mettre en avant des produits de proximité (viandes, produits laitiers, sel, vins, miel, brioches, confitures, fruits…), issus dans un rayon de 40 à 50 km autour de Clisson. Elle est surtout plus lisible. La démarche répond à une demande du “consommacteur” à la recherche d’authenticité et qui cherche à être rassuré sur la provenance des produits qu’il achète. Doubler le chiffre d’affaires Entre l’enseigne et les producteurs, le partenariat est donnant-donnant. L’hypermarché s’engage à mieux valoriser la production. Car l’objectif n’est pas de s’arrêter en si bon chemin.
Caprice des Dieux, un petit coin de Paradis Créé en 1956, Caprice des Dieux est emblématique du patrimoine fromager français. La marque du groupe Bongrain Gérard , première marque du rayon pour son format 300 g, est riche d'une histoire d'innovation (Capricet, En cas de Caprice...) et de de communication (en 1985, débute la grande saga de la marque avec l'agence BDDP et pour signature, toujours la même aujourd'hui jouant sur le jeu de mots "érotique" : "Caprice à deux, Caprice des Dieux"). "Nous avons voulu nous rapprocher de nos consommateurs, éviter que la marque devienne trop premium", explique Ivan de Villers, directeur marketing et export de Bongrain Gérard en ajoutant : lae nouveau film exploite plusieurs registres du cinéma : des scènes d'action, de la comédie romantique mais toujours avec une pointe d'humour". Objectif L'objectif de la nouvelle plateforme de communication réalisée par Publicis et Marcel est d'accélérer le développement de la marque en France et en Europe et d'apporter plus de fantaisie et d'humour. Insight
Les Français confirment leur désamour pour le commerce physique Le commerce est un secteur que les Français adorent détester. Et lorsque le budget se contracte, ce sentiment est exacerbé. Près de 70 % des consommateurs affichent leur désamour pour les grandes surfaces, révèle la deuxième édition du baromètre Ifop/Wincor Nixdorf. À l'exception des magasins de loisirs culturels, l'achat sur Internet suscite davantage de plaisir chez les internautes. Ils attendent (voire exigent) le même niveau d'expérience (rapidité, disponibilité, personnalisation de l'offre) dans "la vraie vie" que sur le Net. L'émergence du commerce connecté répond en partie à ces attentes. Les principaux enseignements Les courses ? Seuls 30 % des Français apprécient de faire leurs courses dans les grandes surfaces, contre 60 % que cela "n’enchante pas", mais qui le font par nécessité, et 9 % qui le font à contrecœur. 49 % rechignent également à faire leurs achats dans les magasins de proximité, 5 % y vont même à contrecœur. Internet est le lieu d'achat préféré
Le cross canal au cœur des débats au Retail Les distributeurs et la grande consommation se mettent dans les pas du client, dont le comportement est devenu résolument cross canal. Un sujet aux aspects multiples, qui a focalisé les débats lors du premier Retail business technology forum (RBTF), qui s’est tenu aujourd’hui à Paris. Au menu, deux conférences plénières, réunissant distributeurs (Monoprix, But, Morgan, King jouet, Vente-privée…) et industriels (Orangina…) ; 17 ateliers thématiques, sur les sujets les plus divers qu’entraîne le cross canal : la mobilité des vendeurs en magasins, la gestion des commandes multi-canal l’évolution des métiers et des organisations. Taux de transformation encore faible dans l'e-commerce Les chiffres montrent en effet que le taux de transformation en magasin qui approchent les 10%, excèdent largement ceux du commerce « online », où le taux reste inférieur à 2%. Le magasin a plus que jamais un rôle central à jouer.
Ces sites e-commerce qui ont ouvert un magasin... Ces sites e-commerce qui ont ouvert un magasin physique en 2015 [En images] Ils ont fait le choix de ne pas se limiter aux frontières de l’e-commerce, ni de céder à la mode des boutiques éphémères. Tour d’horizon de ces pure players qui ont choisi le point de vente physique comme ouverture sur l’omnicanalité. Déjà abonné Saisissez vos identifiants Vos codes d'accès sont erronés. Veuillez saisir votre email et votre mot de passe. Pas encore abonné Découvrez nos offres d'abonnement abonnement 1 an : 249 € TTCL’hebdomadaire + les hors-séries + la newsletter quotidienne + l’accès illimité au site et aux archives Je m'abonne