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A qui appartient le savoir ?

A qui appartient le savoir ?
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Poucette, doctorante... by Christelle Fritz on Prezi Consulter DUMAS (Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance) est une base d'archives ouvertes de travaux d'étudiants de niveaux bac+4 et bac+5, validés par un jury, dans toutes les disciplines. La base DUMAS est hébergée par HAL. 1. Objectifs et contenu de l'archive DUMAS s'inscrit dans un mouvement international en faveur du libre accès. 2. DUMAS n'est pas une base d'auto-archivage. La propriété intellectuelle des documents déposés reste entièrement celle du ou des auteurs. Une « Foire aux questions » vous permettra de prendre connaissance des principales modalités de dépôt. 3.

Les nouvelles technos ne détruisent pas le cerveau, elles s’y adaptent ! Sebastian Dieguez (@twieguez) est chercheur en neuroscience à l'université de Fribourg. Lorsqu'on parle des nouvelles technologies et du cerveau, le plus souvent on évoque les effets des technologies sur le cerveau plutôt que l'inverse, estime le neuroscientifique sur la scène de Lift (vidéo). De nombreuses publications récentes nous mettent en garde contre les dangers des nouvelles technologies. Panique, psychose, dépression, dépendance, anxiété... Toute la presse ne nous parle que de cela quand elle évoque les nouvelles technologies. Image : psychoses éditoriales extraites de la présentation de Sebastian Dieguez. "Autant dire que notre société doit vraiment aller très mal à voir tous ces diagnostics psychiatriques !" Et si nous nous posions la question dans l'autre sens. Image : Sebastian Dieguez sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. C'est peut-être par cette même erreur que nous avons inventé l'écriture, estime Sebastian Dieguez. Hubert Guillaud

Creative commons Want to let people share and use your photographs, but not allow companies to sell them?Looking for access to course materials from the world’s top universities?Want to encourage readers to re-publish your blog posts, as long as they give you credit?Looking for songs that you can use and remix, royalty-free? If you answered yes to any of the questions above, then you should learn more about Creative Commons. Probably the quickest and easiest introduction to CC is to watch the following short video: What is Creative Commons? Creative Commons is a nonprofit organization that enables the sharing and use of creativity and knowledge through free legal tools. Our free, easy-to-use copyright licenses provide a simple, standardized way to give the public permission to share and use your creative work — on conditions of your choice. Creative Commons licenses are not an alternative to copyright. What can Creative Commons do for me? Our mission Our vision Why CC? What we provide Where we’re going Volunteer

Qui a peur de l'open access ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par une communauté de responsables d'universités (d’enseignants-chercheurs, d’éditeurs, de responsables de bibliothèques) Abonnez-vousà partir de 1 € Réagir Classer Partager facebook twitter google + linkedin pinterest fermer En juillet 2012, la Commission européenne a émis une recommandation relative à la publication en accès ouvert (c'est-à-dire gratuit pour le lecteur) des résultats de la recherche scientifique financée sur fonds publics (Lire Le Monde du 28 février 2013). La Commission considère en effet qu’une telle démarche est nécessaire pour renforcer la visibilité de la recherche européenne à l’horizon 2020, en levant progressivement les obstacles qui se dressent entre le lecteur et l’article scientifique, après un éventuel embargo de six à douze mois. Cet avantage, l’Amérique latine, par exemple, l’a déjà saisi depuis une décennie en lançant de puissantes plateformes de revues en accès ouvert. Qui a peur de l’accès ouvert ?

Three Things Students Can Do Now to Promote Open Access The open access movement is a long-standing campaign in the world of research to make scholarly works freely available and reusable. One of its fundamental premises is that the progress of knowledge and culture happens scholarly works of all kinds are widely shared, not hidden in ivory towers built with paywalls and shorn by harsh legal regimes. Scholarly journal publishers currently compile research done by professors (for free), send articles out to be peer reviewed (for free), and distribute the edited journals back to universities around the world (for costs anywhere up to $35,000 each). The result: students and citizens face barriers accessing information they need; professors have a harder time reviewing and teaching the state of the art; and cutting-edge research remains hidden behind paywalls, depriving it of the visibility it deserves. The good news is that the open access movement is changing all this, and you can help. If you have 10 minutes... Here's a sample tweet:

Revues.org : portail de revues en sciences humaines et sociales Sortir de la tyrannie du présent La quantité massive de données dont nous disposons sur tous les sujets, des sciences sociales aux systèmes environnementaux, nous laisse espérer la possibilité de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Mais les arbres ne cachent-ils pas la forêt ? Le mathématicien Samuel Arbesman (@arbesman) affirme dans Wired qu'il nous faut désormais compléter ces big data par les "long data" : des informations sur les phénomènes lents, se développant sur le très long terme. Un exemple de ce genre de travail, cité par Arbesman, est l'oeuvre Jared Diamond, auteur de Guns, Germs and Steel (traduit en français sous le titre De l’inégalité parmi les sociétés - Wikipédia). Si ces "long data" peuvent présenter un grand intérêt pour les historiens, sont-elles vraiment importantes pour qui cherche à envisager le futur ? De fait, se concentrer sur le présent est susceptible d'introduire certains biais dans notre analyse, notamment la "déviation du standard", (shifting baseline). Rémi Sussan

About Founded in 2011, The Public Domain Review is an online journal and not-for-profit project dedicated to the exploration of curious and compelling works from the history of art, literature, and ideas. In particular, as our name sugggests, the focus is on works which have now fallen into the public domain, that vast commons of out-of-copyright material that everyone is free to enjoy, share, and build upon without restriction. Our aim is to promote and celebrate the public domain in all its abundance and variety, and help our readers explore its rich terrain – like a small exhibition gallery at the entrance to an immense network of archives and storage rooms that lie beyond. With a focus on the surprising, the strange, and the beautiful, we hope to provide an ever-growing cabinet of curiosities for the digital age, a kind of hyperlinked Wunderkammer – an archive of content which truly celebrates the breadth and diversity of our shared cultural commons and the minds that have made it. The Shop

Londres Blog: Le musée et l'iPad: comment le Musée Grant est l'utilisation des médias sociaux pour nous faire tous les conservateurs As part of Social Media Week, Nature London talked to Jack Ashby, Manager of the Grant Museum of Zoology at UCL, about QRator, the pioneering project the Grant Museum is working on to allow the public to engage with museum collections by contributing their own interpretations. Read on for more from Jack before Thursday, when you can tune into the live stream of “Beyond a Trend: Enhancing Science Communication with Social Media.” The panel, hosted by American Museum of Natural History (AMNH), is the latest in the monthly series organized by Science Online NYC, aka SONYC. Hello Jack, welcome to the Nature London blog. QRator is a project that allows our visitors to get involved in conversations about the way that museums like ours operate and the role of science in society today. Visitors can respond on the iPads themselves, on their own smart phones by scanning a QR code (hence the name QRator), via Twitter using #GrantQR, or at home on their computers at www.qrator.org. Absolutely.

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