Observation : Qu'est-ce que c'est ? Par Lutin Bazar dans Rituels le 4 Novembre 2010 à 22:09 J'ai trouvé dans le magazine Astrapi une série de cartes très intéressantes.Il s'agit d'observer une image (un détail) et de deviner de quoi il s'agit.Au dos de la carte il y a trois propositions, il faut donc choisir la bonne.On peut aussi les utiliser sans donner les propositions (un peu dur pour des CE cependant). J'ai utilisé ces cartes en rituel.Tous les jours, sur mon affiche (plastifiée) :- J'affiche une carte dans la colonne de gauche le matin.- Je copie au velleda les 3 propositions dans la colonne centrale à midi (comme ça il peuvent réfléchir un peu librement durant la matinée).- Durant l'après-midi, les élèves doivent aller observer l'image et cocher une des trois propositions au velleda dans la colonne de droite.A la fin de la journée, on compte le nombre de croix dans chaque case pour voir la proposition dominante. Puis on lit la réponse. le jeu de cartes : un jeu de cartes supplémentaire : Je mets également en ligne :
L'organisation de la salle de classe, un moyen efficace pour .... 1) Constats : Les enseignants constatent de plus en plus chez leurs élèves : *Une grande hétérogénéité dans chaque classe (= classe souvent rangée en 3 catégories « fort/moyen/faible » ou encore « autonome, moyen, en difficulté »… ceci agrémentée de divers cas de DYS et autres découvertes en cours d’année) *Un manque d’autonomie pour la plupart (= et oui il faut palier parfois une éducation trop cocooning qui empêche les enfants de grandir et de faire seuls tout ce qui a trait au quotidien et au scolaire) *Un manque d’attention chez beaucoup (=ce qui fait de nous des acteurs perpétuels qui doivent éveiller, maintenir et focaliser cette attention sur les savoirs, les rendre intéressants, motivants, toujours innovants … avec une once d’humour permanente pour aider dans cette lourde tâche) *Le syndrome de la bougeotte chez certains (= vous savez ces vers de terre qui se tortillent au bout de notre hameçon, face à nous) *La communication (= ah ! Différentes solutions : Donc quels choix ? Comments
Taxonomie de Bloom Un article de Wiki Paris Descartes. Des clés pour comprendre l'Université numérique Qu'est-ce qu'un objectif pédagogique ? Dans le processus enseignement- apprentissage , et pour une bonne évaluation , il est important que soient définis précisément les objectifs pédagogiques poursuivis et de les formuler clairement aux apprenants . En pédagogie, un objectif est un énoncé d’intention décrivant ce que l’apprenant saura (ou saura faire) après apprentissage. Un objectif pédagogique général décrit une compétence ou un ensemble de compétences que l’apprenant doit acquérir au terme d’une séquence d’apprentissage. Les objectifs pédagogiques généraux ne peuvent donner prise à une évaluation rigoureuse que s’ils sont rendus concrets. Formuler un objectif pédagogique opérationnel/spécifique, c'est définir pour l'élève : Taxonomie des objectifs pédagogiques de Bloom Elle permet, en outre, d'identifier la nature des capacités sollicitées par un objectif de formation et son degré de complexité.
Tablettes : Des statégies de gestion de classe | Numérique Educatif Retour du sommet iPad en éducation 2014 : Thierry Karsenti précise que si les avantages sont plus nombreux que les défis pour l’utilisation de tablettes en classes, il en reste un qui arrive en tête, c’est celui de la gestion de classe. Related posts: André Faivre, andragogue et éducateur : services professionnels en gestion des organisations, des ressources humaines et des milieux éducatifs ainsi qu'en éducation des garçons en groupe et en animation des groupes de garçons Voilà une question à laquelle un andragogue éducateur, ou un éducateur andragogue, aura beaucoup de plaisir à répondre, quitte à bousculer quelques lieux communs. Mais cela pourrait demander tout un livre ! On réduit habituellement l'andragogie à l'éducation des adultes. Comme si les enfants et les jeunes n'étaient pas des personnes et que les groupes qu'ils forment n'étaient pas des groupes. Il suffit de relire ce qui précède pour se rendre compte de la pertinence de l'approche andragogique auprès des enfants, l'enfance et la jeunesse étant les périodes de la vie où on apprend le plus et pendant lesquelles l'être humain est en constante transformation ! Par contre, c'est l'andragogie qui a découvert et révélé les caractéristiques de l'apprenant adulte, qui a reconnu et établi que l'être humain ne cesse d'apprendre et de changer qu'à la dernière seconde de sa vie.
L’empreinte de l’élève que l’on a été Le métier de l’enseignant s’irrigue des traces scolaires laissées dans sa mémoire. L’élève que l’on a été donne-t-il le la de ses pratiques ? Cyril Lascassies, enseignant en technologie au collège Voltaire de Tarbes et formateur à l’ESPE Midi-Pyrénées, nous raconte comment et pourquoi il prend le soin de donner les clés à chacun du goût d’apprendre. Il explique que c’est dans son parcours d’élève qu’il a puisé son envie de devenir enseignant. L’autoritarisme l’insupporte. Pas tout de suite Enseignant, il ne le devient pas tout de suite. Et puis, il se rend compte que ce n’est pas ce qu’il désire faire. Le Graal et la boite à outils « Chaque fois que ça ne fonctionne pas, je me dis qu’il me manque quelque chose. Lors de son année de stage, il s’était rendu compte que les élèves cherchaient à le faire craquer. « Après ça s’est bien passé, signe que j’étais fait pour ce boulot. » Il garde en souvenir, en guise de marque-page, une carte postale offerte par une élève en fin d’année scolaire.
L'humour pour apprendre Lorsque toute une classe rit à gorge déployée, c'est rarement du à une intention de l'enseignant. L'humour est chose difficile à manipuler en classe, car il faut savoir en maîtriser les effets. Les élèves pour leur part, utilisent le rire comme une parade devant des cours trop ennuyeux, ou trop compliqués. Il faut bien plus que quelques blagues à un enseignant aujourd'hui pour être populaire. L'humour crée de la proximité entre les protagonistes et, quand ses effets sont maîtrisés, un climat propice à l'apprentissage. Cette semaine, Thot Cursus observe les manifestations de l'humour sur la toile et s'intéresse à l'usage de l'humour pour apprendre. photo : ehpien via photopin cc La pédagogie des morts-vivants 19 février 2012 Ils sont devenus la nouvelle coqueluche de l’horreur. L’humour sur le Web, ou la culture de l'instant Internet constitue un écosystème dans lequel s'épanouit la plante vigoureuse de l'humour. Comment utiliser l'humour en classe ? 21 février 2012 Étale ta culture
Conseils de (vieux) prof... “Ne soyons pas trop généreux de conseils ; gardons-en pour nous-mêmes.” John Locke Il y a toujours beaucoup de prétention à s’ériger en donneur de conseils. D’abord parce que le “conseilleur” n’est pas forcément lui même un modèle ni un exemple et peut avoir du mal quelquefois à appliquer ses propres conseils... Et puis ensuite parce qu’il n’y a pas une seule manière de faire et que toutes les situations sont particulières. Tout ne se joue pas lors de la première heure ! L’autorité ça s’apprend et ça se construit : une autre fausse évidence souvent entendue est celle sur l’ “autorité naturelle”. Dire ce que l’on va faire, faire ce que l’on a dit : ce qui importe pour un enseignant (et au final pour tout adulte) c’est d’être cohérent et prévisible. Cela veut dire aussi qu’il ne faut pas annoncer et promettre des choses qu’on ne peut pas tenir. Donner des repères va dans le même sens. Mais toutes les techniques et tous les dispositifs ne se valent pas.
La boite à outils du formateur innovant " Format... Gestion des élèves perturbateurs - Enseigner en élémentaire Plusieurs raisons peuvent expliquer les perturbations par un ou plusieurs élèves. En avoir conscience est un prérequis à la gestion de ces perturbations. La classe est un lieu anxiogène ◦ Un espace clos et « transparent » : tout doit être vu en son sein ◦ Un espace rigide : prédisposition des tables, du tableau, de l’estrade… ◦ Un espace Un espace de parole régulée : l’enseignant y parle beaucoup alors même que les élèves désireraient (parfois, souvent) travailler dans le silence Un déficit de sens des activités proposées ◦ L’élève ne sait pas pourquoi il doit faire ce qui est proposé. ◦ L’élève n’a rien à faire ou ne sait pas quoi faire ou comment faire. ◦ L’élève est persuadé qu’il n’a pas les capacités de réussir. ◦ L’élève est persuadé de toujours réussir sans effort. ◦ L’élève n’est pas intéressé car l’activité n’est pas signifiante pour lui : hors de portée cognitive ou non mobilisatrice cognitivement. Le temps scolaire est contraint et contraignant Des interactions sociales inadaptées