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Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée

Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée
En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs. Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Rappel des faits. « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Depuis 1996, la présence des neurones miroirs a été confirmée par nombres d’études ouvrant la voie vers une compréhension des mécanismes perceptifs ainsi que des processus cognitifs essentiels comme l’interprétation des actions perçues. Chez l’homme, on a observé la présence des neurones miroirs dans le cerveau encore immature du jeune enfant. 2. Related:  zigueCerveausyrene

- TIMIDES: UN CERVEAU HYPERACTIF! - - TROMMENSCHLAGER FRANCK -PSYCHANALYSTE ET THERAPEUTE FAMILIAL SECTEUR LUXEUIL-LES-BAINS, LURE ET REMIREMONT Samedi 2 octobre 2010 6 02 /10 /Oct /2010 11:59 Le cerveau des timides est le siège d'une activité intense qui le rend très sensible aux visages des autres. Ils se cachent dans les soirées, bafouillent lors des présentations, rougissent à la moindre occasion... Les timides n'ont pas toujours la vie facile, et ils le doivent peut-être à leur cerveau. Une étude de l'Université de Sacramento a montré que le cerveau timide est surtout un cerveau très réactif, qui s'emballe facilement lors des situations inhabituelles. Elliott Beaton et ses collègues ont fait passer des tests de timidité à une centaine d'étudiants et ont retenu les 12 les plus timides ainsi que les 12 les moins timides pour une expérience. E. Est-ce héréditaire ? Source: Pour la science.

Les chercheurs ont fait un pas de géant pour comprendre la façon dont notre cerveau génère des émotions Des chercheurs ont découvert que malgré leur diversité et leurs différentes méthodes de fonctionnement, les émotions étaient enregistrées dans le cerveau de manière très conventionnelle. C’est une grande avancée dans la compréhension de notre système cognitif que DGS vous explique en détail. Une étude menée par Adam Anderson et son équipe de l’Université de Cornell a mis en évidence le fait que les émotions étaient en fait générées par une seule partie du cerveau, contrairement à ce que les précédentes recherches avaient prouvé. « Nous avons découvert que des modèles spécifiques d’activité cérébrale dans le cortex orbitofrontal, une zone du cerveau associée aux émotions, agissaient comme un code qui capture les sentiments subjectifs d’un individu », explique Adam. Le cerveau est en fait capable de créer un large spectre d’émotions subjectives. Nous avons trouvé cette étude très intéressante. Nous en savons désormais un peu plus sur la manière dont notre cerveau génère nos émotions.

30 traits de caractère d’un empathe Être quelqu’un d’empathique, c’est lorsque vous êtes influencé par les énergies des autres, et que vous avez une capacité innée à sentir intuitivement et à percevoir les autres. Votre vie est inconsciemment influencée par les désirs, les souhaits, les pensées et les humeurs des autres. Être empathique, c’est beaucoup plus que d’être sensible et ça ne se limite pas à des émotions. Les empathiques peuvent percevoir les sensibilités physiques et les impulsions spirituelles, tout en sachant les motivations et les intentions des autres personnes. Ce n’est pas un trait de caractère que l’on apprend. Traits de caractère d’un empathe: ils ont souvent le sens de la réussite. Cependant, ils peuvent être le contraire exact:solitaires et donnant l’impression d’être insensible au meilleur des cas. Traits de caractère d’un empathe: ils ont tendance à ressentir ouvertement ce qui est en dehors d’eux plus que ce qui est à l’intérieur d’eux. Les empathes sont beaucoup à l’écoute. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Entraine ton cerveau! L’effet de l’activité physique Le lien entre l’activité physique et la prévention de maladies et de troubles comme le diabète, les maladies cardiaques et l’obésité est bien connu. Par ailleurs, les plus récentes recherches mettent en lumière les effets de l’activité physique sur le développement du cerveau de l’enfant. Ces découvertes permettent d’établir d’importants liens entre l’activité physique et l’apprentissage. Dans cet article publié par la Canadian Education Association (CEA), des chercheurs affiliés au Children’s Hospital of Eastern Ontario Research Institute, rapportent les résultats de récentes recherches qui montrent les bienfaits de l’activité physique sur le cerveau. L’activité physique entrainerait la formation de nouveaux vaisseaux sanguins (qui sont d’importants « réservoirs » de nutriments et d’oxygène) et de neurones (qui transmettent les influx nerveux) dans le cerveau. Quels types d’activité privilégier? L’adoption de comportements actifs débute tôt Les jeunes sont-ils trop branchés?

Autisme : les neurones miroirs hors de cause Les neurones miroirs forment un ensemble de cellules nerveuses qui s’activent non seulement lorsque nous effectuons un geste, mais aussi lorsque nous voyons quelqu’un exécuter ce même geste. Ils seraient impliqués dans l’empathie, la faculté de cerner et de ressentir les émotions d’autrui. Les autistes n’ayant pas cette aptitude, les neurobiologistes ont longtemps supposé que leurs neurones miroirs ne fonctionnaient pas correctement. Ilan Dinstein et ses collègues du Centre de neurosciences de l’Université de New York viennent de réfuter cette hypothèse. Plusieurs études de neuro-imagerie ont montré que les neurones miroirs des autistes ont des réponses beaucoup plus faibles que celles de sujets normaux lorsqu’ils observent puis imitent certains mouvements. Cependant, ces études ne s’intéressent pas à la façon dont ces groupes de neurones s’activent en fonction des différents mouvements reproduits.

LES GROS CAILLOUX Cette histoire, vous la connaissez probablement car elle est un "best seller" à l'occasion des formations, souvent racontée avec enthousiasme par les formateurs. Pourtant, je vous invite à l'écouter , à la lire avec un regard neuf. En vous mettant dans la peau de ce vieux professeur. Imaginer le. Qu'est ce qu'il peut bien apprendre ( à son âge) à tous ces jeunes et brillants chefs d'entreprises venant de toute la planète ? Un jour, un vieux professeur fut engagé pour faire une intervention sur la gestion du temps à l'occasion d'un colloque international réunissant les plus brillants cerveaux d'entreprises du monde entier. Le jour J est arrivé. De son cartable en cuir, il sortit un bocal ressemblant à un bocal de chimiste se terminant par un goulot puis, avec un geste lent, il y plaça à l'intérieur, un par un, des cailloux gros comme des balles de tennis. Tous répondirent sans hésitation : " Oui" et il ajouta " Vraiment ?" " Bien !" Et le vieux professeur de conclure :

Les ondes cérébrales Des chercheurs ont découvert que nos différents états de conscience correspondent à des ondes cérébrales spécifiques. La fréquence de nos ondes cérébrales change en fonction de nos états mentaux. Les ondes Bêta 13 Hz et plus : concentration, état de veille actif, affirmations et intentions spirituelles. La ondes Alpha 8 à 12 Hz : rêve éveillé, méditation, hypnose, visualisation… Les ondes Thêta 5 à 7Hz : visualisation lucide, début de la phase vibratoire, états de transe ; hypnose et méditation profondes, état hypnagogique. Les ondes Delta 0,5 à 4 Hz : Guérison, conversion de rêve et réveil onirique, sommeil profond. Les ondes bêta correspondent à notre état de veille normal. L’état thêta est aussi appelé « état crépusculaire », car il se situe entre la veille et le sommeil. Ces ondes sont encore plus lentes que les ondes thêta, leur fréquence se situant sous la barre des 4Hz. Le procédé Hemisync Sans Hemisync Avec Hemisync Source : Like this:

Hyperempathie, le doute d’être soi | Le Blog Bleu Cogiter - 17 jan 2015 - 42 commentaires Hier dans la nuit, j’ai fini de lire un livre extrêmement intéressant : Je mange donc je suis, surpoids et troubles du comportement alimentaire, de Gérard Apfeldorfer. Un livre qui se dévore En parcourant les premiers paragraphes, je me suis dit que je parlerai de ma lecture ici sur le blog, parce que c’est bien écrit, et qu’on apprend plein de choses sur notre rapport à l’alimentation (et donc au corps). Même si vous n’êtes directement concerné-es par les troubles alimentaires et/ou le surpoids, je vous conseille ce livre, qui est une vraie mine d’information. Et puis, en tournant les pages, j’ai compris que je ne pouvais pas vous faire seulement une fiche de lecture. L’hyperempathie, bénédiction ou malédiction ? Si l’empathie est la « faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui, de percevoir ce qu’il ressent » (définition Larousse), ce qui est un atout non négligeable au quotidien, l’hyperempathie est plus dur à gérer. Le mot de la fin

Neurosciences: que se passe-t-il quand on se souvient ? - 31 août 2014 Tokyo (AFP) - Les émotions associées à des souvenirs peuvent être réécrites, permettant d'adoucir des événéments douloureux du passé et à l'inverse d'assombrir des moments heureux, suggère une étude menée sur des souris au Japon et aux Etats-Unis et publiée mercredi dans la revue scientifique Nature. "Cette propriété (de renversement) de la mémoire est utilisée cliniquement pour traiter" des maladies mentales, "cependant les mécanismes neuronaux et les circuits du cerveau qui autorisent ce changement de registre émotionnel demeurent largement méconnus", soulignent les chercheurs en préambule. L'objet de l'étude est de décrypter ces procédés sous-jacents, ouvrant la voie à de nouvelles pistes pour soigner des pathologies comme la dépression ou les troubles de stress post-traumatique. Elle "valide aussi le succès de la psychothérapie actuelle", explique à l'AFP le directeur de recherche Susumu Tonegawa. - Transformer une répulsion en attirance - A l'avenir, M. Source : AFP

Les miroirs brisés de l'autisme Àpremière vue, vous pourriez ne rien remarquer d'anormal lorsque vous rencontrez un petit garçon autiste. Mais si vous essayez de lui parler, vous réaliserez rapidement que quelque chose ne va pas. Il est vraisemblable qu'il ne vous regardera jamais dans les yeux ; sans doute évitera-t-il votre regard et s'agitera-t-il, se balançant d'avant en arrière. Peut-être même se tapera-t-il la tête contre le mur. Plus déconcertant encore, il sera incapable de mener une ébauche de conversation. Au cours des années 1940, deux médecins – le psychiatre américain Leo Kanner et le pédiatre australien Hans Asperger – ont indépendamment découvert ce trouble du développement qui touche environ 0,5 pour cent des enfants. Depuis que l'autisme a été identifié, les neuroscientifiques ont tenté d'en comprendre la cause. Une constellation de symptômes indépendants Les théories qui ont été proposées pour expliquer l'autisme peuvent être classées en deux catégories : anatomique et psychologique.

Connecté à vie : notre cerveau, le meilleur des réseaux (2/3) - Thema - Museum Copyright CNRS Photothèque/Université de Strasbourg - GRIGIS Antoine, mise en évidence par IRM (imagerie par résonance magnétique) de faisceaux de substance blanche dans un cerveau humain. Au même titre que le cerveau embryonnaire se débarasse d'un surplus de neurones « non cablés », le cerveau sélectionne les synapses les plus actives et donc les plus indispensables à son activité. Une quantité excessive de synapses peut en effet nuire à la qualité de la transmission de l'information car celles qui ne sont pas porteuses de sens produisent un bruit de fond parasite et gaspillent de l'énergie. Les synapses inutiles, reépérables par leur faible activité, sont sélectivement éliminées de façon à permettre aux neurones d'établir de nouveaux contacts. A l'inverse, les synapses activées de façon régulière sont consolidées. Source : Muséum de Marseilles Elle est indispensable à l'acquisition de nouveaux apprentissages et à l'entretien de nos capacités de réflexion et d'imagination.

Les ondes cérébrales du cerveau et niveau de conscience | Portail sur les expériences avancées de Conscience Les ondes cérébrales et le cerveau… Comprendre les bases du fonctionnement cérébral nous aide à mieux nous comprendre et à utiliser à bon escient des outils tels que ceux que nous utilisons dans les expériences exceptionnelles de conscience très élargie ou d’expériences extraordinaires. Nous verrons que le niveau d’énergie et l’alignement lors d’une expérience reste important pour introduire de la conscience à des niveaux vibratoires correspondant aux différents stades ondulatoires du cerveau. Le cerveau est certes un territoire énigmatique, mais depuis une cinquantaine d’années, la science a élucidé certains de ses mystères. Ainsi, simplement en écoutant des enregistrements conçus à cet effet ou à l’aide de petits appareils émettant des signaux lumineux, semblables à des stroboscopes, on peut accélérer ou ralentir les ondes cérébrales ou encore synchroniser les ondes de l’hémisphère droit avec celles de l’hémisphère gauche. Mécanismes de la conscience Influences extérieures Association

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