Cartographies associatives Start-up collaboratives vs municipalités: le choc des cultures Les collectivités locales observent avec intérêt le développement de l'économie collaborative, et certaines sont mêmes prêts à jouer un rôle actif dans la promotion du phénomène, au-delà d'une simple rôle de régulation. Les territoires ont compris que les services urbains proposés par ces acteurs sont autant de gages d'attractivité territoriales, et qu'ils peuvent en outre permettre des économies budgétaires. A Amsterdam, le discours relatif à Airbnb a sensiblement évolué. L'article de TheNextWeb sur les contradictions de la ville d'Amsterdam illustre bien cette difficulté de positionnement. Aujourd'hui, la ville a décidé d'autoriser complétement les locations via Airbnb, reconnaissant que la plateforme contribue à la diversification de l'offre d'hébergement, stimulation de l'activité touristique, et répond à de nouveaux besoins et de nouvelles aspirations ("vivre comme un local"). Plus largement, la ville d'Amsterdam a fait du partage un axé stratégique de son développement.
Les Groupes Freecycle en France La régulation de l’économie collaborative en question En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu'il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit. Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d'être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d'amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d'appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. Des lois plus restrictives existent encore à San Francisco ou à la Nouvelle-Orléans, mais également à Paris ou Londres. Et il existe des règlementations à suivre pour devenir maison d'hôte ou Bed & Breakfast. L'économie collaborative dans la tourmente L'économie collaborative, ce nouveau perturbateur ! Hubert Guillaud
Qu’est-ce que l’économie du partage partage ? (3/3) : un capitalisme de catastrophe Susie Cagle pour Medium revenait récemment sur la Share Conference, la conférence de l’économie du partage qui se tenait il y a quelques mois aux Etats-Unis, pour faire part de son exaspération. “Le succès de l’économie du partage est inextricablement lié à la récession économique”, rappelait-elle. Nous sommes face à un “capitalisme de catastrophe”. Un capitalisme qui prospère sur la crise de l’emploi… Image : la consommation collaborative vue par Susie Cagle pour Medium. L’hyperflexibilité partout En développant des exigences professionnelles pour des particuliers qui louent leur appartements sur Airbnb, des amateurs qui fabriquent des objets sur Etsy, des covoitureurs qui sous-louent leur moyen de transport sur Blablacar, des habitants qui proposent des repas sur Cookening ou des bricoleurs leurs outils de bricolage sur Zilok… les plateformes de la consommation collaborative agissent sur la forme même des rapports sociaux. Reste à savoir combien gagnent les livreurs via ce système.
CommentReparer.com - Apprenez à tout réparer Voyager via Airbnb, c’est bon pour l’économie Les ménages y gagnent Autre élément intéressant de l’étude, le profil des hôtes parisiens d’Airbnb: on constate ici à quel point louer son logement devient un soutien financier incontestable. La très grande majorité des hôtes (83 %) louent leur logement principal, et l’hôte type perçoit, par le biais d’Airbnb, un revenu d’appoint modeste mais non négligeable: en moyenne, 297 € par mois. Le surplus d’argent ainsi gagné se répartit de la manière suivante (sachant que la somme doit être déclarée aux impôts): Notons au passage que 52% des hôtes font partie d’un ménage avec un seul revenu, 46% utilisent Airbnb pour arrondir les fins de mois et 39% assurent que ce revenu complémentaire les aide à conserver leur logement. Ces hôtes sont plutôt des trentenaires, et gagnent souvent moins que le revenu médian des ménages parisiens : Un marché réservé à la classe créative ? L’étude montre aussi que les voyageurs qui utilisent Airbnb ont un haut niveau d’étude.
Fabriquer une lampe-bouteille pour moins de 10 euros Home » Décoration & Entretien, Zoom sur ... Fabriquer une lampe avec une bouteille nécessite souvent de percer le verre. Voici une technique pour créer une lampe à partir d’une bouteille sans perceuse, sans difficulté et pour moins de 10 euros. L’idée de départ de ce tutoriel est de faire en sorte que la source lumineuse ne provienne pas de la bouteille mais de son socle, un dessous de verre lumineux. 1- Le matériel 9 dessous de verre en carton (gratuit pour toute commande de 9 bières dans votre bar favori)1 mini luminaire à LED rond (disponible ici pour 8,45 €)Un cutter 2- La découpe Placez la lampe LED sur les dessous de verre (connus également sous le nom de sous-bocks) et tracer le contour avec un feutre. Coupez 8 dessous de verre à l’aide d’un cutter en suivant les dimensions de la lampe LED. Coupez le dernier sous-bock de manière à ce que le trou soit plus petit pour s’adapter à la lampe et rendre son intégration plus discrète.
Au CO-tidien Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre. Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. Une organisation ou un particulier partage l’usage d’un bien et se fait rémunérer pour cela. Co-élaboration Certaines logiques regroupées ici sont fort anciennes, comme les projets associatifs, coopératifs et mutualistes : c’est l’échelle de valeurs et le degré d’engagement formel qui permettent de différencier les approches. Le troc Je peux échanger : Co-habitation La logique de don est remise au goût du jour : don entre personnes mais aussi au sein d’une communauté d’appartenance. ++ Pour voir d’autres listes et typologies, voir :
Du brise-glace au hackaton, le co-créatif renouvelle le brainstorming Image: Focus Lab Avez-vous déjà entendu parler de « barcamp« , de « world café« , de « forum ouvert » ou de « hold-up« ? Car il s’agit là de techniques d’animations de réunions, de rencontres ou d’ateliers qui renouvellent le format et les méthodes généralement utilisés pour discuter et stimuler la créativité collective. De quoi mettre fin au syndrome de réunionite aigüe dont souffrent certaines organisations ? Le brainstorming, c’est has been Le forum Changer d’ère qui s’est déroulé le mercredi 5 juin 2013 à la Cité des Sciences n’a cessé d’insister sur la société du « co » qui émerge aujourd’hui. En Equateur, une « Minga » est un travail collectif à des fins sociales. Leur principe est relativement simple: il s’agit de faciliter les interactions sociales et la participation de chacun en cassant les formats habituels de contribution. Une architecture ouverte de débat Transition Lab – Photo : Noveterra Une boîte à outils collaborative
Comparatif de sites de trocs, d'échanges Ce tableau comparatif liste tous les sites de trocs, d'échanges de services, de dons... entre particuliers en France. Ces plateformes d'échanges sur Internet permettent de troquer à peu près tout, que ce soit des objets (auto, moto, vélo, téléphone, jeu vidéo, livre, DVD, électroménager, meuble, billets de train, plantes...) ou services (échanges de compétences, temps: informatique..., troc de vacances: échange maison, échange appartement sur le plan international...). C'est entre autre un très bon moyen pour échanger ses affaires d'occasion et réaliser des économies en les troquant contre de nouveaux produits dont vous avez besoin. Cela fonctionne sous le principe d'annonce, on dépose sa demande ou son offre (dépôt d'annonce gratuit dans la plupart des sites). Cette liste de sites de trocs, d'échanges ou de dons est collaborative, donc vous pouvez rajouter de nouveaux sites, voire des critères de comparaison.
Ces entreprises parisiennes qui ouvrent des antennes dans le Perche - Blog Bureaux A Partager Deux entreprises parisiennes viennent d’annoncer, à quelques semaines d’intervalle, l’ouverture de “villages” dans le Perche. Il s’agit bien sûr de Simplon et de Mutinerie qui vantent les bienfaits de la région pour la créativité et l’innovation. Retour sur ces deux initiatives. Mutinerie Village Mutinerie est une jeune entreprise parisienne qui a ouvert son premier espace de coworking en 2012, dans le 19ème arrondissement de Paris. Un an plus tard, l’entreprise lance Mutinerie School, son école “pirate” où trois formations sont enseignées: tech, design et business. Mais ce n’est pas tout, Mutinerie a encore frappé la semaine dernière en annonçant l’ouverture de Mutinerie Village. Simplon Village À seulement dix kilomètres de Mutinerie Village, c’est une autre entreprise parisienne qui vient de poser ses valises ! Il y a quelques semaines, l’entreprise labellisée French Tech annonçait l’ouverture de la première école numérique en milieu rural, Simplon Village.