GÉNÉRATION Y • Besoin d'un boulot ? Inventez-le Les membres de ma génération devaient trouver un travail, les jeunes doivent désormais le créer, écrit cet éditorialiste américain. Il est urgent de réformer l’enseignement pour mettre la capacité à innover au cœur du système. Lorsque Tony Wagner, spécialiste de l’enseignement à Harvard, explique en quoi consiste son travail, il se décrit comme “l’interprète de deux tribus ennemies”. Mettre à jour les connaissances Ce n’est pas une mince affaire. Alors quelle devrait être la priorité de la réforme de l’enseignement aujourd’hui ? Enfin, les professeurs devraient être jugés sur les progrès effectifs de leurs élèves au cours de l’année et non pas sur la note obtenue à un seul test passé en mai.
Le multi-tâches : qualité ou calamité ? Dans un article publié par The New Atlantis en 2008, Christine Rosen nous alerte sur les dangers du fonctionnement en multi-tâches, qui caractérise de nombreuses personnes « dans le coup ». Qui n’est jamais resté perplexe devant un adolescent qui fait ses devoirs tout en écoutant de la musique, en regardant la télévision et en participant à un chat sur messagerie instantanée, simultanément ? Qui n’a jamais été irrité par un interlocuteur qui, tout en prétendant avoir une conversation sérieuse avec vous, répond à trois coups de fil, envoie cinq courriels et s’éclipse régulièrement pour donner des instructions à ses collaborateurs qui travaillent dans le bureau d’à côté ? L’adolescent et votre interlocuteur sont pris dans ce qu’il est convenu d’appeler « le multi-tâches ». Cette capacité à traiter plusieurs choses à la fois est célébrée comme une qualité de l’homme moderne et résulte en grande partie de l’accroissement de l’usage des technologies de l’information et de la communication.
Génération Y... Les empêcheurs de travailler en rond M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure C'est l'histoire de la directrice d'une agence de pub qui a voulu secouer un de ses salariés âgé de 28 ans pour qu'il accepte d'arriver au bureau avant 11 h 30 et qui s'est vu répondre : "C'est pas de ma faute, c'est mon biorythme." C'est l'histoire de la responsable d'un magasin de luxe qui a trouvé son employé affalé dans un fauteuil en vente, un café à la main et a entendu :"Ben quoi, je suis en pause." C'est l'histoire de la responsable des ressources humaines d'une grande entreprise de bâtiment à laquelle un jeune conducteur de travaux a demandé de cesser de prélever de sa paie les cotisations retraite, avec cet argument : "La retraite, ça ne m'intéresse pas." "Comme dans "Super Nanny", les dirigeants font appel à des personnes extérieures pour élever leurs enfants", blague à moitié Christine Charlotin, du cabinet Openmind Conseil, qui intervient dans toutes sortes d' entreprises, de Hermès à Eiffage.
Génération Y, divas : même difficultés à manager Crédits photo : Shutterstock.com Extraits du livre "Managers en quête d'auteur" de Maurice Thévenet (Manitoba / Les Belles Lettres) Si le discours managérial donne souvent beaucoup d’importance à l’équipe, la plupart des managers ont l’impression d’avoir surtout des cas individuels à traiter. Dans une étude auprès de 250 cadres d’une compagnie d’assurances, il leur était demandé de choisir le principal problème de management de proximité alors rencontré. Il s’avère que la plupart concernaient des personnalités difficiles et des agents qui n’avaient toujours pas intégré que tout salaire mérite travail. Ces personnalités difficiles ne relèvent pas le plus souvent de cas pathologiques comme la « psychopathologisation » ambiante du travail veut nous le faire croire, mais plus simplement de personnes avec lesquelles il est difficile de trouver un seul terrain de dialogue en commun ou de partager les moindres valeurs nécessaires au vivre ensemble. Les Y, une génération de divas ?
Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveau Par Hubert Guillaud le 01/12/08 | 25 commentaires | 24,649 lectures | Impression La Fondation Mac Arthur vient de livrer les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes. Selon les conclusions de l’étude Vivre et apprendre avec les nouveaux médias, le temps que les adolescents et les jeunes adultes passent en ligne, sur MySpace ou sur leur messagerie instantanée, n’est pas une perte de temps, mais leur permet de grandir, de mûrir. “En passant du temps en ligne, les jeunes acquièrent des savoir-faire sociaux et techniques qui leur sont nécessaires pour participer à la société contemporaine”, explique au New York Times la sociologue Mizuko Ito qui a dirigé l’étude (blog). Typologie des pratiques des jeunes Les jeunes sont-ils vraiment des “digital natives” ?
Generation Cry Baby: Why Millennials Are a F**king Joke | The Oxytocin Chronicles We’re raising a generation of pussies. There. I said it. When I was a junior in high school, I had the most amazing AP English teacher. Her name was Ms. “I get that you and your parents all think you all are ‘special snowflakes,’ but I will grade you based on your writing, and if your parents email me complaining about these grades, I will ignore them.” Now Ms. Millennials: your parents won’t say it, and your peers won’t say it because it seems every little thing is sending you all to a therapist because you’re just sooooooo victimized, but Get. I won’t even say pardon my French, because you know what? And this isn’t just some backless rant. I was a camp counselor this summer, and the next generation is worse than ours. Newsflash: Not every single criticism is an attack on your character. Now, I get college is stressful. Please, shut up. Most likely, you are not a victim. But Rachel, everyone reacts and feels things differently. No, no, no. Like this: Like Loading...
Les 5 applications qui vont vous sauver la vie On parle souvent des applications qui nous divertissent dans les transports en commun ou à la pause café. De Candy Crush à Doodle Jump en passant par Temple Run, nombreuses sont les applications funs qui ont rencontré un vif succès, sans pour autant apporter de réelle utilité à la communauté. Aujourd’hui, FraisFrais se charge de rétablir cette injustice en vous présentant 5 applications pas forcément très connues, mais qui vous sauveront peut-être bien la vie! Withings Cette application a été développée par une entreprise française et permet à ses utilisateurs de mesurer leur tension grâce à un brassard et une application gratuite. Un outil indispensable pour les personnes concernées, disponible sur le site de Withings, et accompagné de l’application gratuite sur l’App Store et Google Play. Allianz Conduite Allianz Conduite est un outil qui va s’avérer indispensable pour de nombreux automobilistes. MySoS Cette application gratuite a pour objectif de se protéger et de protéger les autres.
“Le concept de ‘Génération Y’ dessert les jeunes dans le monde du travail” | Le blog de Lilia Hassaine Selon les derniers chiffres de l’Insee, plus d’un quart des jeunes actifs seraient au chômage en France. Ces derniers peinent à accéder au marché de l’emploi, et ce, pour plusieurs raisons : manque d’expérience pour les uns, de qualification pour les autres, les emplois “précaires” sont le lot de la dite “génération Y”. De fait, le concept même de “génération Y” est de plus en plus décrié. Génération Y, une aubaine pour l’entreprise ? On la décrit comme une “chance” pour les entreprises : la génération Y, c’est d’abord la génération qui succède à la génération X. A la différence de leurs aînés, les 18-30 ans sacrifieraient du temps de télévision pour créer des blogs ou partager leurs idées sur les réseaux sociaux. Ce discours est notamment celui de “consultants en management” qui ont fait de la génération Y leur domaine d’expertise. “La génération Y n’existe pas” Une invention de la génération X Et les jeunes dans tout ça ? Signaler ce contenu comme inapproprié
Glissez-vous dans la peau d'un Facilitateur ! | BLOCULUS Lorsqu’on me demande ce que je fais dans la vie, je réponds souvent que je fais du « coaching et de la facilitation ». Et pour éviter les confusions classiques (où j’oscille dans la tête de mon interlocuteur entre coach sportif et consultant-marabout), j’ai pris l’habitude de définir sincèrement et en une phrase mon activité : « J’aide des personnes et des équipes à trouver les solutions à leurs problèmes en leur posant des questions » Résoudre des problèmes en posant des questions plutôt qu’en donnant des conseils/réponses ? Vraiment ? Comment faire pour stimuler ainsi l’intelligence collective ? Les coulisses de la Facilitation de groupe… Commençons par un peu de théorie en répondant à la question… Agir à un autre niveau pour autonomiser Vous l’avez compris, le facilitateur ne participe pas à la construction du résultat au même titre que les participants. J’ai depuis complètement acquis la posture de facilitateur/coach qui laisse la main, ce qui amène des résultats très différents :