Le bio nourrit bien la polémique Elle n’est plus bonne ma patate bio ? Et ma carotte bio, elle ne fournit pas assez de vitamines ? Depuis vendredi, le petit monde de l’agriculture biologique bouillonne. Une étude, publiée mercredi dans l’American Journal of Clinical Nutrition, révèle que les qualités nutritionnelles des produits issus de l’agriculture biologique n’ont rien de significativement supérieur à celles des légumes et fruits cultivés de manière conventionnelle. De quoi faire sortir du bois les promoteurs de l’agriculture biologique en France. Partant «sans aucun a priori», assurent-ils, les chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medecine ont réalisé une méta-analyse, c’est-à-dire une étude d’études publiées au cours des cinquante dernières années. Résidus. «C’est très bien qu’il existe un débat mais, chaque année ou presque, on nous ressert la même étude sur les qualités nutritionnelles», s’étonne Mickaël Poillion, secrétaire général adjoint du syndicat Jeunes agriculteurs. Essor.
Why I'm A Vegetarian, Dammit I’ve been a vegetarian for almost 25 years, which means I’ve probably answered the question “Why are you a vegetarian?” about 25 million times. Usually it is in a situation where only a sentence or two is wanted as an answer, so I’ll say “because I wouldn’t like to kill an animal, and it doesn’t make sense to me to have someone else do it for me.” Which is completely true, but doesn’t really convey the complexity of my thoughts on the subject. On this blog, I’ve primarily focused on recipes, with a smattering of book and product reviews. Let me start with a couple of reasons that aren’t my reason. Then there are people that go veg because of the environment. I’m much closer in philosophy to those who are vegetarian for animal welfare reasons. In recent years, there has been a huge upsurge in demand for and availability of ethically raised animals. For me, the choice is even more personal and visceral. I remember feeling this way even as a kid. I don’t judge other folks.
Eau virtuelle Un article de Encyclo-ecolo.com. eau La notion d'eau virtuelle La notion, un peu abstraite, d'eau virtuelle n'est pas sans rapport avec celle d'empreinte écologique ou de bilan carbone. Le concept d'eau virtuelle aide à connaitre l'impact d'un produit ou d'une culture en terme de consommation d'eau. L'eau nécessaire à la production d'un produit Tous les produits de consommation sont concernés car tout nécessite de l'eau. La principale consommation d'eau en France et dans le monde est consacrée à l'agriculture. l'eau et à la production de produits pour l'alimentation humaine ou animale (l'élevage notamment). L'eau virtuelle, un indicateur indirect du développement Les calculs d'eau virtuelle montre qu'on peut relier les différents types d'alimentation aux différents niveaux de vie des pays étudiés. Le régime alimentaire des Américains qui comprend beaucoup de viande (les protéines animales) impliquent une importante consommation d'eau : environ 5,4 mètres cubes par jour. Source: CNRS
Sel caché dans les aliments : des morts, aucune mesure Le sel caché dans les aliments industrialisés tuerait 25 000 français par an ! L’information est de taille. Pourtant, une grande partie de l’opinion ignore encore que le chlorure de sodium, c’est à dire le sel ajouté par l’industrie agro-alimentaire dans ses innocents petits plats cuisinés, sauces tomates, céréales et gâteaux alléchants pour leur donner du volume ou du goût, serait responsable chaque année d’au moins 75 000 accidents cardio-vasculaires ! Depuis plus de dix ans, un chercheur de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) alerte les pouvoirs publics sur ce danger du sel caché dans nos aliments. A-t-il été remercié ? Pierre Meneton, cliquez sur lui, a bien voulu raconter à Bakchich comment l’industrie du sel a essayé de l’empêcher de parler. Et si en conclusion, vous vous demandez comment agissent nos autorités de santé pour nous protéger des dangers du sel caché, vous aurez la réponse…
Les éclopés de la viande "Quand nous tuons les animaux pour les manger, ce sont eux qui finissent par nous tuer car leur viande (…) n’a jamais été destinée à l’être humain", estimait le Dr William C. Roberts, rédacteur en chef de l’American Journal of Cardiology. Une étude britannique de 1986 a en effet démontré que sur une vie entière, les végétariens coûtaient aux services de santé environ cinq fois moins, en termes de coûts de traitements, que les consommateurs de viande. Surcharge pondérale du modèle nord-américain C'est probablement la qualité de son régime végétarien qui fit de Christian Mortensen (16 août 1882 - 25 avril 1998), Américano-danois, un super centenaire et le doyen de l'humanité de 1994 à 1998, mort à l’âge de 115 ans et 252 jours. Reprenant bien des statistiques, John Robbins confirme dans son ouvrage The Food Revolution que les végéta*iens vivraient en moyenne 6 à 10 ans de plus que le reste de la population. "Vous mettez un bébé dans son lit avec une pomme et un lapin.
La nature de l'eau: Empreinte en eau et eau virtuelle La centaine de litres de notre consommation domestique quotidienne d’eau du réseau ne représente que la pointe de l’iceberg de nos usages, soit 2% environ. En effet, la quasi-totalité de l’eau (98%) que nous utilisons chaque jour n’est pas visible ; c’est de l’eau virtuelle. Ce concept défini par Tony Allan en 1988 représente l’eau utilisée pour créer un bien quel qu’il soit (aliments, vêtements, voitures…). NB : la "palme" de la consommation d'eau virtuelle semble revenir à la fabrication d'antibiotiques; soit 4 millions de litres pour en produire 1 kg ! La majeure partie de cette eau virtuelle est utilisée pour produire nos aliments étant donné qu’environ 70 % de l’eau utilisée par les activités humaines sont consacrés à cette fin. L’essentiel de notre empreinte en eau est ainsi constituée par notre consommation alimentaire en eau virtuelle. Documents complémentaires sur la production de viande : Viandes et eaux virtuelles
Le nucléaire a déjà un pied dans l’agroalimentaire Officiellement appelée « ionisation » (moins péjoratif), l’irradiation des aliments est l’une des trouvailles de l’industrie nucléaire pour les applications civiles de l’atome. Cette technique utilisée par l’industrie agroalimentaire depuis une cinquantaine d’année a pour objectif d’augmenter la durée de conservation des aliments en leur infligeant une dose radioactive « légère ». Cette dose ne produit pas d’aliments « contaminés », c’est-à-dire radioactifs. Mais est-ce vraiment une garantie d’innocuité ? La question, qui fait débat depuis le début de cette pratique, a été évacuées par les agences sanitaires. Les consommateurs, eux, se montrent beaucoup plus méfiants. En Europe, l’irradiation est autorisée, en principe, pour un nombre limité de denrées : les herbes aromatiques séchées, les condiments et les épices (directive 1999/3/CE du Parlement européen et du Conseil du 22 février 1999). La France approuve l’irradiation Laxisme. Pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Incertaines.
Oui ! Je suis une végétarienne heureuse Voilà deux ans, j’annonçais ici même que je renonçais à manger toute chair animale après avoir achevé la lecture de l’ouvrage de Jonathan Foer, Faut-il manger les animaux ? Avec ces deux années de recul, je réalise que mon choix est plutôt assez bien accueilli et même respecté, que je n’ai jamais eu à me confronter à des réactions hostiles et que mon exemple a aussi été inspirant pour d’autres. Source : Zazzle.fr Au sein de mon foyer Rapidement après avoir décidé de ne plus consommer aucune chair animale (viande, poisson, crustacés…), il m’est apparu incohérent de continuer à préparer des plats incluant de la chair animale. Très vite je n’ai plus préparé aucun menu à base de chair animale, mais les miens ont continué à en manger, se concoctant eux-mêmes leurs (rares) plats carnés. Aimant véritablement cuisiner et curieuse de découvrir ce nouveau monde qui s’ouvrait à moi, j’ai beaucoup fouiné sur les sites végétariens, lu quantités d’ouvrages et commencé à accumuler les recettes.
empreinte eau 365 pesticides dans les fruits et légumes Des résidus de 365 pesticides différents ont été identifiés dans les fruits et légumes consommés en Europe, dont 76 dans les céréales, selon une étude de l'Agence européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) communiquée lundi 12 juillet. Toutefois, d'après cette étude effectuée selon les nouvelles normes entrées en vigueur mi-2008, seuls 3,5% des échantillons présentaient des traces de pesticides dépassant les limites maximales en résidus (LMR) autorisées. "Le rapport montre que 96,5% des échantillons analysés sont conformes aux MRL de pesticides autorisés au sein de l'UE", note l'EFSA dans un communiqué accompagnant l'étude. Il s'appuie sur plus de 11.000 échantillons de neuf productions différentes (oranges, mandarines, poires, pommes de terre, carottes, concombres, épinards, haricots sans cosse et riz) analysés en 2008 dans les 27 Etats membres (plus l'Islande et la Norvège). Harmonisation européenne (Nouvelobs.com avec AFP)
VEGPLANETE - 400 raisons de devenir végétarien - Gaspillage : chaque Français jette 20 kilos de nourriture par an Chaque Français jette en moyenne 20 kilos de nourriture par an, un gaspillage inadmissible, selon les écologistes, qui multiplient les campagnes de sensibilisation pour y mettre un terme, par exemple en remettant en cause les dates de péremption. "Il y a une grande responsabilité des consommateurs qui jettent chacun 7 kilos par an de produits alimentaires encore emballés", explique à l'AFP Benoît Hartmann, porte-parole de France Nature Environnement (FNE). Alléchés par de "super promotions", les consommateurs se laissent séduire, précise-t-il. D'autres optent souvent pour des portions de plats préparés "bien trop grandes pour leur consommation individuelle et finissent par les jeter". À ces 7 kilos emballés, selon les chiffres de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), s'ajoutent 13 kilos de restes de repas, de fruits et de légumes abîmés et non consommés. Date de péremption Mais la responsabilité n'incombe pas qu'au consommateur.
Les trains Thalys mettent deux menus végétariens à l'honneur A l'occasion de la Journée mondiale de l’environnement le 5 juin prichain, Thalys proposera, du 4 au 7 juin, une offre de restauration 100 % végétarienne à bord de ses trains. Cette action s’inscrit dans le cadre de la démarche de restauration durable que mène l’entreprise depuis 2007. Durant cette opération, les clients auront le choix entre 2 propositions végétariennes. Les menus varieront en fonction de la provenance ou de la destination des trains. Pour limiter l’impact des protéines animales sur l’environnement, Thalys offre toute l’année 40% de menus sans viande ni poisson, dans ses repas servis à la place en Comfort 1.Avec plus de 2,3 millions de repas servis par an, la restauration représente 54 % de l’empreinte carbone du service à bord.