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505 Mieux apprendre par la coopération

505 Mieux apprendre par la coopération
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10 questions à poser aux enfants et adolescents pour apprendre à apprendre (métacognition) Commencer très tôt à dire ce qu’on a fait, ce qu’on fait, ce qu’on va faire (la métacognition) est un incontournable de la prévention de l’échec scolaire. La métacognition recouvre plusieurs aspects : la connaissance qu’on peut avoir de processus cognitifs, d’opérations mentales nécessaires pour accomplir une tâche ;la capacité à utiliser cette connaissance lors de l’accomplissement de la tâche La métacognition est plus difficile avec des élèves qui maîtrisent mal la langue (parlée et écrite), qui ont des lacunes scolaires et qui sont peu efficaces dans leur travail. Jean-Michel ZAKHARTCHOUK, auteur de Apprendre à apprendre, propose plusieurs conditions pour amener les élèves à pratiquer la métacognition en classe : ……………………………………….. de Jean-Michel ZAKHARTCHOUK (éditions Réseau Canopé) Articles similaires Pédagogie, neurosciences, psychologie positive, métacognition : 10 questions pour développer les apprentissages des enfants 22 septembre 2016 Dans "Ecole et apprentissage" 12 avril 2016

mieux-apprendre - Bienvenue dans l'Univers du mieux-apprendre La taxonomie de Bloom pour éviter l'illusion de maîtrise chez les étudiants et évaluer les niveaux de maîtrise des élèves La taxonomie de Bloom permet la classification des niveaux d’acquisition des connaissances. Elle permet d’identifier l’activité intellectuelle sollicitée chez un apprenant quand on l’évalue sur une compétence. La taxonomie classe l’acte mental en plusieurs niveaux de complexité, du plus simple au plus complexe sur des critères génériques (applicables à n’importe quelle discipline et n’importe quel niveau des apprenants). En 2002, deux professeurs américains, Anderson et Krathwohl, ont proposé une révision de la taxonomie de Bloom pour intégrer les avancées de la psychologie et des sciences cognitives. La nouvelle taxonomie de Bloom est composée de six niveaux : se rappelercomprendreappliqueranalyser évaluer créer 1.Se rappeler L’apprenant est capable de restituer ce qu’il a appris précédemment. 2.Comprendre L’apprenant est capable de tisser des liens explicites entre ce qu’il a appris et un nouvel apprentissage ou un exercice déjà pratiqué. 3.Appliquer 4.Analyser 5.Evaluer 6.Créer Sources : Related

Les 4 piliers de l’apprentissage d’après les neurosciences – Apprendre à éduquer D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

Des stratégies pour favoriser la métacognition et la conscience de soi chez les élèves La recherche montre que les habiletés métacognitives se développent considérablement entre 12 et 15 ans. Comment favoriser le développement de ces habiletés chez les élèves? Cet article de la psychologue, chercheuse et auteure Marilyn Price-Mitchell porte sur la conscience de soi et la façon dont cette conscience est liée aux habiletés métacognitives. La conscience de soi, associée au système paralimbique du cerveau, permet à l’individu d’ajuster ses conceptions du monde ; sa conception de soi et des personnes qui l’entourent. La conscience de soi […] aide les élèves à apprendre plus efficacement en focalisant sur ce qu’ils ont besoin d’apprendre. Selon l’auteure, il est important de cultiver l’habileté des élèves à réfléchir à leurs stratégies d’apprentissage ainsi qu’à l’efficacité de ces stratégies. 1. Les croyances des élèves à l’égard de leurs capacités à apprendre influencent leur motivation et leurs résultats scolaires. 2. 3. 4. 5. 6. 7. [Consultez l’article] Waynewhuang

Pourquoi juste relire pour apprendre et réviser est inefficace (et que faire à la place) Dans le livre Mets-toi ça dans la tête, Brown, Roediger et McDaniel expliquent que la simple relecture pour apprendre et réviser des cours ou leçons a plusieurs arguments décisifs en sa défaveur : elle prend beaucoup de temps (faire des lectures répétées à intervalles courts est coûteuse en temps et produit des effets négligeables sur les apprentissages);elle ne produit pas de mémoire à long terme (la relecture et la répétition ne fonctionnent pas pour un apprentissage durable. En revanche, il est pertinent de relire un texte si un temps suffisant s’est écoulé depuis la première lecture. Le seul contexte dans-lequel des relectures peuvent être efficace est dans le cas de relectures espacées dans le temps et régulièrement réactivées.) Toutes ces stratégies ont en commun de : -s’entraîner à se remémorer les nouveaux apprentissages grâce à une auto évaluation -espacer les séquences d’entraînement Il s’agit de ne pas cesser de s’interroger sur les notions qu’on a l’impression de maîtriser.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene 1.

Les étages du cerveau pour améliorer la gestion des comportements en classe Daniel Siegel est un neuroscientifique spécialisé dans le cerveau des enfants. Il a conçu le modèle des étages du cerveau pour expliquer comment fonctionne le cerveau des enfants et permettre aux adultes de mieux les comprendre et les accompagner. Ce modèle peut être utile pour gérer les comportements des élèves en classe. Ce modèle utilise une métaphore : le cerveau est comme une maison à 3 étages. Le premier étage est la cave qui correspond au cerveau des réflexes ou cerveau dit reptilien (qui contrôle par exemple la pression artérielle, les battements du coeur ou encore la respiration). Le deuxième étage est celui du rez de chaussée dans lequel est logé l’amygdale, centre des émotions. Le troisième étage est l’étage du cerveau rationnel, celui qui réfléchit, prend des décisions, analyse, met en perspective, anticipe et fait preuve de logique. Ce modèle permet de comprendre certaines réactions qui semblent irrationnelles (et à juste titre) des élèves. étages du cerveau Related

10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ?comment éviter de bachoter ?comment mémoriser durablement ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. 3. Le fait d’associer un mot ou une phrase à une image permet de mieux s’en rappeler. 4. Le lapbook

Intelligences multiples - Idées ASH Le contenu de ces pages est issu essentiellement de mes notes personnelles d'une intervention très enrichissante de Bruno HOURST, lors d'une conférence pédagogique. Professeur de mathématiques, Bruno Hourst a cherché une approche pédagogique qui permette aux élèves en difficulté scolaire - mais qui ont tous des richesses - de pouvoir apprendre en exploitant ces richesses. Cette approche pédagogique vient d’un mouvement anglo-saxon qui s’est posé la question de savoir pourquoi certains mémorisent très vite. « La suggestopédie » du bulgare Georgi Lozanov. Cela n’a pas pris en France. L’approche pédagogique du mieux-apprendre s’appuie sur quelques principes clés : L’importance de l’environnement d’apprentissage (environnement physique, mental, émotionnel, social). La notion de plaisir : L’effort imposé doit être évité. Les images mentales : Elles sont un outil très puissant que les enfants perdent de nos jours du fait qu’on leur apporte trop d’images. Les pauses : Attention ! Yoga d'école :

10 stratégies pour apprendre vite Certains ont des facilités pour apprendre rapidement. Si vous ne faites pas partie de cette catégorie, il est possible de travailler cette compétence. L'apprentissage est un processus que nous devons maîtriser. En effet, les outils que nous utilisons pour travailler changent régulièrement. Dans un récent fil de discussion sur le forum Quora, les utilisateurs ont répondu à la question : quelles stratégies suivent les personnes qui apprennent vite ? Nous avons listé les 10 meilleures idées pour optimiser votre processus d'apprentissage. Pour comprendre un problème, répondez cinq fois à la question "pourquoi" Dans son livre "The Lean Startup", Eric Ries propose la technique des "cinq pourquoi" pour atteindre le cœur d'un problème. Pour comprendre la technique d'Eric Ries, prenons un exemple : La nouvelle version d'un produit empêche les utilisateurs d'utiliser une fonctionnalité. Gardez une attitude positive Ne vous contentez pas de la théorie, entraînez-vous Trouvez un compagnon de route

La méthode du "stylo vert" pour booster l'apprentissage et l'optimisme des enfants ! Tatyana Ivanko a fait une découverte étonnante en donnant des cours à la maison à sa fille. Au lieu d’utiliser un stylo rouge pour corriger les erreurs, elle a utilisé un stylo vert pour entourer ce qui était correct . Ce choix à augmenté considérablement la motivation de sa fille ! Et ce pour plusieurs raisons : le cerveau enregistre en priorité ce qui est mis en évidence (en entourant ou soulignant par exemple) et transforme cela en objectif. Notez que ci cette méthode est idéale dans le cadre de l’apprentissage, le concept général trouve parfaitement sa place au quotidien. Décrivons ce que nous apprécions en observant nos enfants. Plutôt que de souligner ce qui ne va pas, mettons en évidence ce qui fonctionne afin que les enfants le reproduisent ! Source Sur le même thème Les 7 compétences de vie essentielles à chaque enfant (+activités pour les développer) Ellen Galinsky nous donne les 7 compétences essentielles à l'épanouissement de chaque enfant dans son livre "Mind in the making".

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