Présentation huit intelligences selon Gardner
présentation Parmi les nombreuses grilles d'intelligences qui ont été élaborées, la théorie des Intelligences Multiples d'Howard Gardner a le mérite d'être particulièrement simple à comprendre (car parlant bien à l'intuition) et pratique à utiliser dans une quelconque situation d'apprentissage. Son succès dans le monde anglo-saxon depuis sa parution en 1983 a été considérable, en particulier dans les champs de l'éducation et de la formation permanente. Selon Gardner, on peut distinguer huit intelligences : Les huit intelligences, selon Howard Gardner l'intelligence verbale / linguistique C'est la capacité à être sensible aux structures linguistiques sous toutes ses formes. On reconnaît particulièrement cette intelligence chez quelqu'un qui aime lire, qui parle facilement, aime raconter des histoires et aime en entendre, qui aime les jeux avec des mots (mots croisés, Scrabble, etc.), les jeux de mots, les calembours. l'intelligence visuelle / spatiale l'intelligence musicale / rythmique
7 principes motivation (Pedagopsy)
Principe 1: La motivation a besoin de sécurité et d'espace de liberté Principe 2: La motivation s'installe si le thème étudié a un rapport plus ou moins direct avec certains des intérêts de l'élève. Le métier d'enseignant ne consiste pas à appliquer de "bonnes pratiques" définies une fois pour toutes mais relève davantage d'un art qui se travaille et se cultive, d'une capacité d'écoute du groupe et des élèves qui permet, par expérience, de poser l'hypothèse que pour cet élève ou cette classe il est préférable de pratiquer ainsi. Principe 3: La motivation peut être aidée par la mise en place d'un cadre construit autour d' un "objectif commun" Il faut qu'ils puissent mettre en acte, sous une forme sublimée, ces désirs à la base de leur motivation interne, (on peut retrouver, par exemple, Jean Pierre qui a l'impression de détruire un mur quand il fait un problème ( voir: Jean Pierre ). Principe 4: La motivation peut être suscitée par certaines techniques: le jeu, la compétition...
Plasticité neuronale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La plasticité neuronale, neuroplasticité ou encore plasticité cérébrale sont des termes génériques qui décrivent les mécanismes par lesquels le cerveau est capable de se modifier lors des processus de neurogenèse dès la phase embryonnaire ou lors d'apprentissage. Elle s’exprime par la capacité du cerveau de créer, défaire ou réorganiser les réseaux de neurones et les connexions de ces neurones.Le cerveau est ainsi qualifié de "plastique" ou de "malléable". Ce phénomène intervient durant le développement embryonnaire, l'enfance, la vie adulte et les conditions pathologiques (lésions et maladies). Il est responsable de la diversité de l'organisation fine du cerveau parmi les individus (l'organisation générale étant, elle, régie par le bagage génétique de l'espèce) et des mécanismes de l'apprentissage et de la mémorisation chez l'enfant et l'adulte. La plasticité, une propriété complexe[modifier | modifier le code]
Un thé au gingembre et au curcuma et perte de poids
Les ingrédients de ce jus contiennent de quoi vous donner du punch et agissent comme des anti-inflammatoires, des antioxydants, des nettoyants du système lymphatique et plus encore. Le citron en lui-même a d’énormes bienfaits sur la santé mais voici plus de bienfaits grâce au gingembre, au curcuma et au poivre de Cayenne : Anti-inflammatoirePrévient le cancerAide la digestion et favorise la perte de poidsCombat le rhume et la grippeAide avec les symptômes du diabète Ingrédients 5 centimètres de racine de gingembre 2 cuillères à thé de curcuma 1 à deux pincées de poivre de Cayenne 4 citrons (3 pour le jus et 1 pour trancher et garnir) 3 gouttes de vanille Stévia 2 litres d’eau Méthode Dans une centrifugeuse mettez le gingembre et les 3 citrons. Dans un pichet mettez le jus, l’eau, la vanille, le curcuma, le poivre de Cayenne et les tranches de citron. Ce thé est doux et très épicé en même temps et il vous aidera à avoir un petit coup de peps lorsque vous en aurez besoin.
L'étonnante plasticité du cerveau humain
Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur. Si connexions, mémoire et langage il y a, ceux-ci sont faits de chair vive: matière changeante construite pour le changement et qui n'existe elle-même que par le changement. Cela veut dire que cet organe incarne un devenir: il confère la faculté d'accomplir demain des opérations que nous sommes incapables de réaliser aujourd'hui. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre » Le cerveau humain a rétréci depuis Cro-Magnon
Les hommes et les femmes ont-ils des cerveaux différents ?
"Il est impossible de deviner, en regardant un cerveau adulte, s'il appartient à un homme ou une femme", explique la neurobiologiste Catherine Vidal. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Lucie Soullier En distinguant l'identité sexuelle du sexe biologique, les études de genre affirment que la nature ne suffit pas à faire des hommes et des femmes. Catherine Vidal, neurobiologiste et directrice de recherche à l'Institut Pasteur a travaillé sur la plasticité du cerveau. Le cerveau du fœtus se forme-t-il différemment, au cours de la grossesse, selon que l'enfant à naître est une fille ou un garçon ? Catherine Vidal : Non, il n'y a pas de différence anatomique entre les cerveaux des fœtus filles et garçons. La seule différence que l'on peut relever concerne le contrôle des fonctions physiologiques de la reproduction. Le cerveau continue donc de se former après la naissance de l'enfant ? En grande partie, oui. C'est donc la socialisation qui forge nos cerveaux ? Absolument pas.
L'origan, source d'antioxydants
Noms communs : marjolaine, marjolaine sauvage, à coquilles, bâtarde; origan vulgaire, origan de Crète, grand origan; dictame, thym de berger, thé rouge. Noms scientifiques : Origanum vulgare, Origanum vulgare subsp. hirtum, Origanum majorana (synonyme Majorana hortensis). Famille : labiées (synonyme : lamiacées). Profil santé Principes actifs et propriétés Les fines herbes ne sont habituellement pas consommées en grande quantité. La majorité des études sur les fines herbes ont été réalisées chez l’animal à partir d’extraits de la plante. Antioxydants. Plusieurs chercheurs ont démontré que l’origan possède une grande capacité antioxydante in vitro3-5. Diabète. Cancer. Autres propriétés Nutriments les plus importants Vitamine K. Fer. Calcium. Manganèse. Vitamine E. Source : Santé Canada. Précautions La marjolaine et l’origan contiennent de la vitamine K. La marjolaine et l’origan au fil du temps La marjolaine et l’origan appartiennent au même genre botanique, qui comprend plus de 50 espèces.
Les neuromythes constituent un obstacle au changement dans le domaine de l’éducation
Qu’est-ce qui fait obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation? Je crois qu’un des obstacles est lié au fait que les enseignants possèdent souvent de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Ces idées fausses (souvent appelées des neuromythes) représentent un obstacle au changement et à l’amélioration de l’éducation, parce que, lorsqu’un changement s’oppose à une conception bien établie, il y a toujours une tendance naturelle et compréhensible à résister à ce changement. Je crois également qu’une des façons de surmonter cet obstacle est d’intégrer, dans la formation des enseignants, un cours de neuroéducation, un domaine en émergence dont le but est d’améliorer l’enseignement en comprenant mieux le fonctionnement du cerveau des élèves. Un des obstacles au changement : les neuromythes Parlons d’abord des neuromythes. Comme vous l’avez peut-être deviné, toutes ces affirmations ne sont en réalité que des neuromythes.