Un MOOC pour mes élèves ? Comment faire ? Le saviez-vous ? Les élèves de collège et de lycée révisent avec des vidéos. Pas tous peut-être, mais un grand nombre c’est certain. Avant un devoir d’histoire ou de philosophie, les voilà qui vont sur YouTube, section Les Bons profs et si la notion n’est pas abordée par cette chaine YouTube, ils cherchent comment réviser autrement qu’avec le cours que leur enseignant leur a donné. Rageant ? L’activité Un MOOC (pour Massive Open Online Course) ou formation en ligne ouverte à tous (FLOT est une formation à distance capable d'accueillir un grand nombre de participants. Avec Adobe Spark Vidéo le logiciel gratuit d’Adobe, c’est vraiment facile. A l’idéal, le MOOC propose donc une vidéo (le cours), les documents pédagogiques associés (textes, documents, présentation). Que peut-on faire avec Adobe Spark Vidéo ? Dans tous les cas, quelques règles permettent de ne pas perdre de temps et d’être efficace : Rédiger un script précis de ce qu’on veut dire en veillant à être court. J’ai fini !
03/2012 De qui se MOOC-t-on? par Thierry Klein Que tu t’intéresses ou pas aux technologies de l’éducation, il est difficilement concevable que tu n’aies pas entendu parler des MOOC dans les dernières semaines. Elles ont été partout. Dans le Monde, qui les annonce à Polytechnique , sur la 5 la semaine dernière sans compter les sujets divers et variés à la télé (C dans l’air), en bonne placedans la feuille de route numérique du gouvernement et sur les blogs de tout un chacun (sauf celui que tu es précisément en train de lire, cher lecteur, ce qui constituait certainement, jusqu’à présent, un retard inexcusable que je te prie néanmoins de bien vouloir excuser). Un petit tour sur Wikipedia t’apprendra que le peu gracieux acronyme MOOC signifie « Cours en ligne ouvert et massif », le terme « massif » n’ayant bizarrement rien à voir avec l’importance délirante des moyens de communication visiblement mis au service du concept mais signifiant simplement qu’un grand nombre d’élèves peuvent suivre le cours. lu : 1626 fois
MOOCs, entre fantasmes et réalité, quel impact sur l’éducation en Afrique ? (Ecofin Hebdo) - En Afrique, l’éducation supérieure voit ses effectifs progresser de plus de 8% chaque année. Alors que le continent devrait abriter 20% de la population mondiale d’ici 2040 et que 2/3 des Africains ont moins de 25 ans, le problème de la qualité de l’éducation devrait se poser avec plus d’acuité à un secteur qui rencontre déjà des difficultés en raison, entre autres, de la qualité de son enseignement et de la faiblesse de ses infrastructures. Dans ses efforts pour relever le niveau de son enseignement supérieur, le continent pourrait trouver dans les « cours en ligne ouverts et massifs » (en anglais MOOC), un allié de choix. Néanmoins, à ce jour, cette solution est loin d’être la panacée qui nous est vendue. Une nouvelle méthode pour révolutionner l’enseignement Lancés au tournant de l’année 2010, les MOOCs sont les dernier-nés dans la série des solutions destinées à universaliser l’accès à une éducation supérieure. Un transfert de connaissance à sens unique.
05/2013 Les MOOCs vont-ils tuer la FAD? La question qui sert de titre à cet article peut sembler absurde : les MOOCs sont des produits de formation à distance et ne pourraient exister sans les moyens numériques de diffusion de contenu et de communication. Mais si nous posons cette question, c'est qu'entre les MOOCs et la formation à distance telle que nous la connaissons, la pratiquons et la défendons depuis près de 20 ans, il y a des différences importantes. Et l'engouement actuel pour les MOOCs étouffe la voix de ceux qui ont patiemment construit la formation en ligne et n'ont jamais cessé de répondre aux critiques dont elle faisait l'objet. Les MOOCs, de la formation en ligne au rabais ? Les plus enthousiastes défenseurs des MOOCs ne sont pas les acteurs aguerris de la formation à distance. Dans la première enquête sur les concepteurs de MOOCs, réalisée par The Chronicle of Higher Education , on constate que les enseignants qui se sont lancés les premiers dans les MOOCs n'étaient auparavant pas favorables au e-learning.
Pourquoi les MOOC ne tiennent pas leurs promesses La transformation numérique du secteur de l’éducation se fait attendre. La plupart des initiatives digitales visant à compléter ou à substituer les enseignements traditionnels par des cours en ligne restent expérimentales. Elles peinent en réalité à établir la preuve formelle de leur intérêt pour l’ensemble des acteurs impliqués de l’écosystème : apprenants, professeurs et institutions d’enseignement supérieur. Elles passent donc rarement à l’échelle. Des espoirs déçus Les cours en ligne ont initialement suscité un grand nombre d’espoirs auprès d’une partie significative des acteurs du monde de l’éducation. La promesse était alléchante. Des chiffres révélateurs Pour apporter la démonstration du revers rencontré par les MOOC, il suffit d’avancer quelques chiffres. Par ailleurs, certaines enquêtes réalisées sur les apprenants ayant suivi des MOOC jusqu’à la fin montrent que la moitié d’entre eux n’ont pas l’impression d’avoir acquis les savoirs qu’ils venaient chercher initialement.
oct 2012 MOOCs : moins de communication et + de pédago, SVP L'insolent succès des Moocs (Massive open online course) doit sembler bien amer à tous ceux qui s'évertuent depuis des dizaines d'années à produire des cours à distance de grande qualité. D'un seul coup d'un seul, les plus prestigieuses des universités nord-américaine ouvrent l'accès à des milliers de cours en ligne, gratuitement, sur des plateformes dédiées, et annoncent triomphalement qu'elles visent le milliard d'apprenants. Ces universités ne se préoccupent pas de la rétention des participants; peu leur importe que 5 à 10 % d'entre eux seulement parviennent à la fin du cours. Elles ne se préoccupent pas non plus de reconnaître l'effort d'apprentissage réalisé au travers du cours, puisqu'elles ne délivrent pas de crédits universitaires en échange d'un succès à l'examen final, mais seulement un certificat que les plus chanceux ou les plus fortunés pourront échanger contre de vrais crédits dans les universités qui acceptent les certificats délivrés par EdX ou Coursera.
Massive open online course (MOOC) 1 Définition Un MOOC (Massive Open Online Course) est un cours en ligne, accessible à travers le web et ouvert à un nombre illimité de participants. C’est une forme d’apprentissage à distance permettant à n'importe quelle personne avec un accès internet de se former depuis partout dans le monde. L’une des caractéristiques du MOOC est qu’il est libre et ouvert à un grand nombre de participants d’où l’adjectif de massive. 2 Historique Les premiers MOOCs sont apparus à la fin des années 2000 dans aux Etats-Unis, principalement dans les grandes universités américaines. 3 Types de MOOC On peut distinguer différents types de contenu mis en ligne, d'approches pédagogiques et de types de certification proposée: Types de contenu: Types d'approche pédagogique: Types de certification: AucuneCertificats informels une fois le cours terminéRéutilisation des contenus du MOOC dans l'éducation formelle (celles fournies par des grandes universités pour leurs étudiants). 4 Usage des MOOCs 5 Certification
(Ouverture) Écologie des MOOC, une belle diversité Certains auteurs regrettent une standardisation des cours en ligne dans cette course à copier le modèle MOOC des universités américaines . Et pourtant dès la reprise de l’acronyme par les universités américaines, il y a eu deux modèles très différents entre la mise en ligne de cours d’universités (que l’on a appelé des xMOOCs) et la formule pronée par les canadiens autour de la notion de connectivisme basé sur l’idée que l’apprentissage est un parcours social au cœur d’une abondance de ressources sur Internet (dit aussi cMOOC). Le seul caractère commun entre ces deux manières d’apprendre étant que les cours sont ouverts et sans limitation de nombre d’inscrits (d’où l’idée de masse). Et depuis cela, chaque chercheur, chaque concepteur de cours ouvert cherche à qualifier des variantes de cours. Que se passe-t-il en fait ? En conclusion de ITyPA, nous avions identifié plusieurs dimensions dites d’ouverture : Essayons, corrigeons, et comparons sans a priori. Like this: J'aime chargement…
Différents types de MOOCs Le terme MOOC : Massive Online Open Course, ou cours ouvert massivement multi-apprenants, a été proposé en 2008 et popularisé par quelques universités américaines l’année dernière. La première caractéristique de ces cours est qu’ils sont ouverts à tous, chacun pouvant s’inscrire à son gré. La deuxième dimension est que le nombre d’inscrits fait que les échanges entre participants (on parle aussi de pairs) sont encouragés, voire deviennent la forme primaire de l’apprentissage, ou de l’accompagnement. On assiste donc bien à un phénomène nouveau coté cours en ligne : des cours ouverts, non limités en nombre de participants (et c’est sans doute la caractéristique la plus innovante), et dont certains regroupent effectivement un grand nombre de participants. Par contre, entre le premier MOOC de 2008 (CCK08) et le premier cours proposé par le MIT dans le cadre de son initiative commune avec Harvard, l’approche est visiblement différente. Il y a la question de la certification. J'aime :
La révolution MOOC- un Blog educpros sur les MOOC Intégration de plateformes de cours en ligne dans les cursus : la taille critique atteinte par endroits Depuis quelques billets, je vous parle de digitalisation au sein de mon établissement d’exercice. Nous menons à Cergy des expérimentations avec Datacamp, où nos étudiants se sont inscrits à une plateforme de cours complets, assez riche, qui permet de se former à différentes techniques dans des langages de programmation comme R ou Python. En parallèle, j’ai exploré un peu l’offre de Coursera Campus à l’occasion de la réflexion sur le confinement, qui permet d’avoir accès, pour des sommes équivalentes, à des offres de cours dans des disciplines variées. Continue reading Pourquoi l’on ne peut pas « cartographier » l’esprit des apprenants grâce aux learning analytics Continue reading Plateformes à la Datacamp : les promesses initiales des MOOC enfin tenues ? Continue reading Mobiliser des sites de cours en ligne privés dans les cursus universitaires ? Continue reading Continue reading
SPOC Cours en ligne: pour réenchanter la révolution Mooc, passez aux Spoc Temps de lecture: 6 min Durant un an ou deux, les cours gratuits en ligne ont semblé être l’avenir tout tracé de l’enseignement supérieur. Pourquoi, s’étaient demandé plusieurs spécialistes influents de l’informatique, avoir des milliers de lycées et d’universités donnant tous le même cours à de petits groupes d’étudiants à travers le pays, lorsqu’il est possible de voir le même cours dispensé au monde entier par un seul enseignant particulièrement brillant via Internet? Dans un article de Wired paru en mars 2012 à ce propos, Sebastian Thrun, fondateur d’Udacity et spécialiste en intelligence artificielle de l’université de Stanford, prévoyait qu’il ne resterait plus dans dix ans qu’une dizaine d’institutions d’enseignement supérieur au monde. Et Udacity, estimait-il, pourrait en faire partie. Toutefois, cette prédiction semble aujourd’hui grandement exagérée. Et si ces cours complétaient les autres? Anant Agarwal, président d’EdX, pense que c’est possible. L'exemple de Salman Khan