Dyslexie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dyslexie est un trouble spécifique de la lecture. On distingue classiquement les dyslexies acquises des dyslexies développementales. On parle de dyslexie acquise (ou alexie) pour caractériser les déficits de lecture qui apparaissent à la suite d'une lésion cérébrale chez des personnes qui lisaient tout à fait normalement avant cette atteinte du système nerveux central. Le terme de dyslexie développementale renvoie, quant à lui, aux difficultés spécifiques qui se manifestent chez l'enfant au moment de l'apprentissage de la lecture. La dyslexie développementale est un trouble neurodéveloppemental qui se manifeste indépendamment du contexte éducatif, social, ou psycho-affectif de l'enfant. De nombreuses études scientifiques ont permis d'identifier des facteurs génétiques impliqués dans l'étiologie de la dyslexie. Pourtant, la notion de dyslexie de l'enfant reste toujours en débat. Critères diagnostiques[modifier | modifier le code]
Pourquoi peut-on être surdoué et dyslexique ? La dyslexie est un trouble d’apprentissage qui porte sur l’apprentissage et l’automatisation de la lecture. Elle est indépendante de l’intelligence. On peut être intelligent et dyslexique. Il faut d’ailleurs être intelligent pour être diagnostiqué « dyslexique ». En effet, la dyslexie est un trouble qui suppose qu’un manque d’intelligence ne peut pas expliquer les grandes difficultés en lecture. La dyslexie est imputable en partie au mauvais fonctionnement de l’hémisphère gauche, celui qui est dédié au langage (oral mais aussi écrit) et au traitement séquentiel. L’enfant précoce utilise préférentiellement son hémisphère droit, parfois aux dépens du gauche. De nombreux enfants précoces sont dyslexiques sans avoir été diagnostiqués comme tels.
Dysgraphie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dysgraphie est un terme désignant des difficultés à accomplir des gestes graphiques[1], contrairement à l'agraphie qui est une perte complète de la capacité à écrire. Ces troubles surviennent indépendamment des capacités à lire et ne sont pas liés à un un trouble psychologique[2]. La dysgraphie est un handicap de transcription, ce qui signifie que c'est un trouble graphique associé à des gestes graphiques handicapants, au codage orthographique (orthographe), et au mouvement des doigts lors de l'écriture[2]. Ce trouble peut s'accompagner d'autres troubles comme le trouble de la parole, de déficit de l'attention, ou dyspraxie développementale[3]. Selon le neuropsychiatre français Julian de Ajuriaguerra, est dysgraphique « un enfant chez qui la qualité de l’écriture est déficiente alors qu’aucun déficit neurologique ou intellectuel n’explique cette déficience[4]. » Classification[modifier | modifier le code] ↑ (en) Chivers, M. (1991).
Dictionnaire visuo-sémantique - Mélanie Brunelle Bonjour, À la suite de mon article publié plus tôt cette semaine concernant L’Orthographe illustrée, on m’a suggéré un autre outil gratuit utilisant la stratégie visuo-sémantique pour l’apprentissage de l’orthographe : le Dictionnaire visuo-sémantique du groupement romand pour enfants «dys» (GRE10). Les deux outils ne comprenant pas les mêmes mots, ils peuvent facilement être complémentaires. Toutefois, celui que je vous présente aujourd’hui est plus complet que le précédent, car il contient davantage de mots (plus du double). Pour avoir accès à toutes les images, rendez-vous ici. Le site présente aussi d’autres outils concernant l’apprentissage de l’orthographe. Les liens de téléchargement pour le dictionnaire visuo-sémantique Utilisation d’un dictionnaire visuo-sémantique La stratégie visuo-sémantique est excellente pour l’apprentissage de l’orthographe des mots irréguliers. Gre10 Pendant que vous être sur le site du Gre10, je vous invite à parcourir les différentes sections. WordPress:
Truth About Dyslexia - Adult Dyslexia Community Dys, TDAH: Les salariés neuro-atypiques vont-ils transformer le monde du travail? – Courrier Cadres Les troubles cognitifs touchent 10 à 20 % des salariés européens, mais peu en parlent au travail. Car cela reste un handicap discriminant, lors du recrutement et ensuite. Mais les entreprises commencent à s’adapter à ces salariés particuliers, mais précieux. Avec une interview de Vincent Lochmann, vice-président de la Fédération Française des Dys. Selon l’ONG Dyslexia and Literacy International, une personne sur dix serait dyslexique dans le monde, soit 700 millions de personnes ; et 20 % d’une population est neuro-atypique, c’est-à-dire présentant des troubles dys, ou un déficit de l’attention. “Ces troubles du neuro-développement perturbent l’apprentissage à l’école, mais perdurent à l’âge adulte, avec des freins d’ordre cognitifs : des difficultés pour lire ou écrire, pour comprendre des consignes orales, pour coordonner ses mouvements, ou encore pour fixer son attention…”, résume Vincent Lochmann, vice-président de la Fédération Française des Dys (FFDys).
Troubles DYS On regroupe sous “troubles Dys” les troubles cognitifs spécifiques et les troubles des apprentissages qu’ils induisent. Les troubles cognitifs spécifiques apparaissent au cours du développement de l’enfant, avant ou lors des premiers apprentissages, et persistent à l’âge adulte. Ils ont des répercussions sur la vie scolaire, professionnelle et sociale, et peuvent provoquer un déséquilibre psycho-affectif. Leur repérage, leur dépistage et leur diagnostic sont déterminants. Certains de ces troubles affectent les apprentissages précoces : langage, geste…D’autres affectent plus spécifiquement les apprentissages scolaires comme le langage écrit, le calcul. Ces troubles sont innés, mais certains enfants victimes d’un traumatisme crânien ou opérés et soignés pour une tumeur cérébrale peuvent également présenter des troubles cognitifs spécifiques gênant la poursuite de leurs apprentissages. Combien sont les DYS?
Halte aux préjugés: 4 situations de handicap nécessitant une RQTH! Contrairement aux idées reçues, 85 % des handicaps sont invisibles. Eh oui, le fauteuil roulant représente à peine 3 % de la population concernée. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas proposer d’aménagements pour les Personnes à Mobilité Réduite (PMR), mais qu’il existe d’autres moyens de compenser certaines pathologies. D’ailleurs, jusqu’où s’étend le champ du handicap ? Dans quelles situations peut-on demander une RQTH (Reconnaissance de Qualité de Travailleur Handicapé) ? Talentéo vous propose 4 cas concrets qui, malgré les stéréotypes, peuvent permettre une reconnaissance. Bien entendu, cette liste n’est ni exhaustive, ni hiérarchisée. La hernie-discale Considéré comme l’un des maux du siècle du fait de la sédentarisation des postes de travail, la hernie-discale est un handicap beaucoup plus courant qu’on ne le pense. En effet, si la hernie-discale se situe généralement au niveau des lombaires, c’est l’ensemble des muscles du dos qui vont compenser la faiblesse qu’elle cause.
Intégrer dans une équipe de travail un collaborateur dyslexique Le contexte de la dyslexie : La dyslexie fait partie des troubles cognitifs de la famille des Dys. Derrière ces trois lettres sont regroupés différents troubles tels que la dyslexie, la dysphasie, la dyspraxie, la dysorthographie et les troubles de l’attention. Selon la Fédération Française des Dys, 6 à 8% des français sont concernés. Qu’est-ce que la dyslexie (guide d’accompagnement et de pédagogie innovante handicaps cognitifs et psychiques – Sciences Po) ? La dyslexie est un trouble spécifique de l'acquisition du langage écrit qui se traduit par des problèmes d'apprentissage et de maîtrise de la lecture. C'est le trouble cognitif spécifique du développement le plus fréquent. La dyslexie et le travail : Une personne dyslexique peut rencontrer plusieurs formes de préjugés liés à une méconnaissance de ce handicap invisible. Quels sont les symptômes courants que l’on retrouve dans le monde du travail? La dyslexie et le statut de Travailleur Handicapé : Focus sur les aides à la compensation :
Les salariés neuroatypiques sont un vivier de talents pour l’entreprise Stigmatisées pour leur manque de sociabilité ou leurs différences comportementales, les personnes neuroatypiques, haut potentiel intellectuel (HPI), Asperger, DYS et souffrant d’autres troubles déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) sont des candidats que les recruteurs accueillent avec une certaine frilosité. Elles constituent pourtant un vivier de talents pour les entreprises, à condition que ces dernières s’adaptent à elles et les emploient aux postes dans lesquels elles excellent. Après des études d’ingénieur à l’Institut national des sciences appliquées de Rouen, Arnaud Khun a commencé à travailler sur la sécurité et l’environnement pour une entreprise du bâtiment. Cette première expérience professionnelle s’est terminée au bout d’un an. « J’avais beaucoup de difficultés de communication avec mes collègues, on m’a dit que je ne montrais pas assez mes émotions », explique-t-il.