?kh=-1&uddg=http%3A%2F%2Fwww.biomasse ?kh=-1&uddg=http%3A%2F%2Fwww.connaissancedesenergies Définition et catégories La biomasse désigne l’ensemble des matières organiques pouvant se transformer en énergie. On entend par matière organique aussi bien les matières d’origine végétale (résidus alimentaires, bois, feuilles) que celles d’origine animale (cadavres d’animaux, êtres vivants du sol). Il existe trois formes de biomasse présentant des caractéristiques physiques très variées : les solides (ex : paille, copeaux, bûches) ; les liquides (ex : huiles végétales, bioalcools) ; les gazeux (ex : biogaz). La biomasse est une réserve d'énergie considérable née de l’action du soleil grâce à la photosynthèse. La biomasse n'est considérée comme une source d'énergie renouvelable que si sa régénération est au moins égale à sa consommation. La valorisation énergétique de la biomasse peut produire trois formes d'énergie utile, en fonction du type de biomasse et des techniques mises en œuvre : de la chaleur ; de l'électricité ; une force motrice de déplacement. La voie sèche La voie humide Passé
Energielandschaft Morbach: Principes de la biomasse Comme les matériaux repoussent, la biomasse peut être utilisée non seulement comme matière première mais encore comme énergie. Déjà, les matières organiques assimilées, qui ne sont plus utiles dans le processus, peuvent être utilisées en règle générale comme ressources de bioénergie pour la fabrication de chaleur, de courant électrique et de carburant. Si la biomasse est utilisée ultérieurement comme source énergétique, alors les hydrocarbures riches en énergie sont transformées en un nombre approximativement égal de dioxide de carbone (molécules) et de molécules d’eau, qui étaient à l’origine indispensables à la composition de la biomasse. Comme en plus, renoncer à la préparation logistique ne produit aucune émission supplémentaire de CO, l’exploitation énergétique de la biomasse est approximativement neutre en CO2 et effectue ainsi une contribution importante à la préservation du climat. La production décentralisée et les différentes possibilités d’utilisation sont sur le dessin 3.
Manifestation contre la désastreuse centrale à biomasse de Gardanne Gardanne, reportage Ce dimanche matin, encerclés par l’imposant marché hebdomadaire de la ville ouvrière, quatre cents manifestants sont venus dénoncer une « biomascarade ». Elus, responsables d’associations, syndicalistes, citoyens, ils viennent des territoires concernés par l’aire d’approvisionnement en bois de la centrale et par les nuisances de son fonctionnement : Cévennes, Luberon, Pays de Forcalquier, Hautes-Alpes, Baronnies Provençales, Pays d’Aix, Gardanne, Marseille. Durant une heure et demie, les prises de parole se succèdent sur le parvis de la mairie. Claude Calvet, du Collectif vigilance citoyenne sur la biomasse de Gardanne, dénonce la spéculation financière menée par E.ON, avec l’aide des subventions publiques. Selon Nicholas Bell, du Collectif SOS forêt du sud, « l’appétit démentiel du mastodonte E.ON » n’est pas un cas isolé. Bataille pour l’emploi La centrale thermique a été pensée pour brûler le charbon sorti de terre localement. Des ouvriers sous pression
Centrale de «Cogénération»: bientôt le mariage en grand du bois et de l'énergie? Rien n’est encore certain. Et il faut encore être prudent. Mais depuis 2008, le projet a bien avancé. Il s’agit de construire, à Saint-Paul-de-Jarrat, une centrale dite de «cogénération» à la fois pour produire de l’électricité revendue à EDF, mais aussi pour alimenter un réseau de chaleur (qui chaufferait un certain nombre de bâtiments publics à Foix et dont les collectivités locales seraient les principaux clients). Tout cela grâce au bois, dont on ne manque pas en Ariège. Martin Malvy (président du Conseil Régional de Midi-Pyrénées) de passage en Ariège a visité le site du projet, aux côtés d’Augustin Bonrepaux (président du Conseil général de l’Ariège) ou encore de Frédérique Massat (députée). Derrière cette idée: deux sociétés ariégeoises, dont les compétences se complètent à la perfection. «Cem», basée à Tarascon, est spécialisée dans les énergies renouvelables. Le coût du projet est important: plus de 18 millions d’euros pour construire la centrale (à la charge du privé). ariège
Energie : Un projet de Pôle Bois Energie avec cogénération en Ariège Un projet de cogénération à partir de biomasse à Saint Paul de Jarrat avait été retenu en 2010 à la suite d'un appel à projets de l'Etat pour la réalisation de centrales de cogénération biomasse, dit"CRE3". Le porteur de projet en est ABC (Ariège Biomasse Cogénération), émanation de la scierie Barbe (scierie Bois Ariégeois et holding Forestis Industries) située de Saint Paul de Jarrat. Toutefois, ce projet était à l'arrêt, car il était lié à un projet de réseau de chaleur à créer pour alimenter la ville de Foix, or ce second projet s'est heurté à des obstacles majeurs. Une usine de cogénération a besoin d'un ou plusieurs client(s) pour valoriser la chaleur qui est forcément produite en même temps que l'électricité. Aujourd'hui, le projet repart avec de nouveaux clients pour la chaleur, industriels cette fois-ci : «Cela nous a amené à prévoir la réalisation d'une unité de fabrication de granulés bois et l'implantation d'une unité de panneaux nécessaire à notre activité funéraire. (...)
Forestis Industries et CEM s’associent pour un investissement de 22 millions d’euros - L'Usine de l'Energie Les deux sociétés ariégeoises, Forestis Industries et CEM, impliquées respectivement dans les filières bois et énergie, ont décidé de lancer un projet commun, comprenant la construction d’une usine de pellets et d’une unité de cogénération. C’est un double projet d’investissement qui vient d’être présenté à Saint-Paul-de-Jarrat, en Ariège, par deux groupes familiaux locaux, pour la création d’un nouveau pôle "énergie bois". Les sociétés Forestis Industries et CEM vont lancer ensemble la société Bois Génération Avenir. Forestis Industries (230 salariés, 41 millions de chiffre d’affaires), présidée par Alain Barbe, est spécialisée dans l’exploitation forestière et la transformation du bois (scierie, atelier de charpentes et unité de production de cercueils). CEM (122 salariés, 23 millions d’euros de chiffre d’affaires), dirigé par Jean-Michel Estebe, exploite des centrales de production d’énergie (petites centrales hydrauliques et photovoltaïques). Marina Angel
What a 20-year biomass battle tells us about environmental justice policy It’s well-established that the Environmental Protection Agency has been quite flaccid when it comes to enforcing civil rights issues. The online news outlet E&E recently took the time to remind us how bad it is last week, reporting from Flint, Mich., where environmental justice complaints about a biomass energy plant built in a low-income, black community have gone ignored since the early 1990s. “In that corner of Flint, there is just a lot of polluting stuff that’s either in Genesee Township or the northeast side of Flint, and nothing has ever really been done about that,” Rev. Phil Schmitter told E&E reporter Robin Bravender. “The plant is about a mile from an elementary school and a low-income housing complex.” Back in 1994, environmental justice activists in Flint asked the EPA to block construction of the biomass plant, arguing that low-income African Americans have already suffered enough from the concentration of pollution and poverty in the northeastern quarter. Gov.
Michigan thinks burning tires counts as renewable energy A Michigan bill aims to classify fuel made by burning tires and hazardous industrial waste as renewable energy, but environmentalists say that’s setting a dangerous precedent. Under the state’s Clean, Renewable and Efficient Energy Act of 2008, Michigan utility companies are required to derive 10 percent of their energy from sources like wind and solar power by 2015; the new House Bill 5205 would make it easier for them to hit the target by expanding the definition of renewable energy to include types of solid waste. Introduced by Rep. “I think this provides Michigan a stepping stone to being a leader in both clean energy and landfill diversion,” he told The Huffington Post. But environmental groups have soundly rejected the idea that incinerating hazardous waste should count as a renewable fuel source, saying it would be a step in the wrong direction for the state’s energy policy. “We have to do something with the piles, the mountains of waste tires we have in this country,” he said.
Louisiana forests being sacrificed to fuel Europe's biomass boom Scot Quaranda/The Dogwood Alliance But even if burning wood in biomass facilities were carbon-neutral (and some argue it is actually worse than coal), Southern environmentalists say they still wouldn’t support it because of the damage they’ve seen to forests in the Southeastern U.S. over the last several years. “It’s ludicrous that we’re chopping down our forests and shipping them to Europe to help meet their energy goals,” said Scot Quaranda, the campaign director for the Dogwood Alliance, a forest watchdog group. “But in the South, on private land, you can basically get away with anything.” Quaranda said his group has documented several cases of forests clear-cut for biomass fuel. A Wall Street Journal report also found clear-cutting in North Carolina. Seth Ginther, a lawyer with the U.S. And in the South, where nearly 90 percent of land is privately owned, there is no law on the books requiring landowners to grow those trees back.
Is Biomass Really Renewable? A woody biomass harvest site in MN. Photo credit: Eli Sagor Biomass, a renewable energy source derived from organic matter such as wood, crop waste, or garbage, makes up 50% of all U.S. renewable energy. Ninety percent of all existing biomass power plants use wood residue and there are currently 115 power plants in development that will burn biomass to generate electricity. The Seattle Steam Company uses woody waste. There are several ways to produce energy from biomass including burning biomass to generate heat or run steam turbines that produce electricity, turning feedstocks into liquid biofuels, and harvesting gas from landfills or anaerobic digesters. The U.S. Biomass is considered a renewable energy source because the carbon in biomass is regarded as part of the natural carbon cycle: trees take in carbon dioxide from the atmosphere and convert it into biomass and when they die, it is released back into the atmosphere. In fact, the reality is a lot more complicated.
Europe is burning our forests for “renewable” energy. Wait, what? If you’re driving through the South and you see a denuded field filled with stubby new plantings where lush forest once stood, the blame might lie with an unlikely culprit: the European Union and its well-intentioned clean energy rules. In March 2007, the E.U. adopted climate and energy goals for 2010 to 2020. The 27 member countries set a goal of reducing carbon emissions 20 percent by 2020 and increasing renewables to 20 percent of their energy portfolio. Unfortunately, they underestimated the carbon intensity of burning wood (a.k.a. The result: E.U. countries with smaller renewable sectors turned to wood to replace coal. Of course, wood is in some sense renewable: Trees can be regrown. Wood accounts for a majority of renewable energy generation in Poland and Finland, and nearly 40 percent in Germany. Drax, a major British utility, announced last year that they will convert three coal-burning plants to wood. More recent studies, however, have shown that to be much too optimistic.