La laïcité : principes et enjeux (3ème) La notion de laïcité au cœur du programme d'EMC de collège, et particulièrement du programme retenu pour le DNB 2016. De façon significative, l'inscription la plus claire du principe de laïcité le situe dans la "culture du jugement" : il s'agira de montrer que la laïcité permet de "penser par soi-même, penser avec les autres". I. Une séquence portant sur la laïcité en classe de Troisième Articuler valeurs, savoirs, et mise en pratique de la laïcité. ⇒ La démarche choisie ici est celle d'une mise en situation (ou tâche complexe). 1. «Vous êtes principal du collège X. L’extrait du manuel proposé par le professeur « Résumé de la leçon : Les Etats-Unis ont toujours condamné les nombreuses atteintes aux droits de l'homme commises par le régime soviétique, et notamment l'interdiction des pratiques religieuses. Extrait (fictif) d’un manuel (fictif) qu’on pourrait appeler The United States, leader of the free world, et dater de 1951. 2. 3. 4. II. 1. En EMC, on peut travailler sur : 2. 3.
De nouvelles ressources pour enseigner la défense et la sécurité nationale - Histoire-géographie - Éduscol Retrouvez toute l'information sur le site education.gouv.fr Accueil Actualités De nouvelles ressources pour enseigner la défense et la sécurité nationale Actualités De nouvelles ressources pour enseigner la défense et la sécurité nationale De nouvelles ressources ont été publiées pour enseigner la défense et la sécurité nationale. L'enseignement de la culture de la défense et de la sécurité est au cœur du Parcours citoyen qui doit être mis en œuvre au cours de la scolarité, adossé à la grande mobilisation de l'École pour les valeurs de la République et aux programmes scolaires.C'est pourquoi l’outil « Enseigner la défense » (PDF, environ 1,9 Mo) a été conçu, construit et coordonné par l’inspecteur général Tristan Lecoq en lien avec les équipes de la Direction des patrimoines, de la mémoire et des archives du ministère des Armées. Autres actualités en lien : Voir aussi sur le portail : Enseigner / Ressources par dispositif et enseignement / Éducation à la défense Publié le 10.12.2018
Est-il vrai que 40% des Français seraient favorables à un régime autoritaire? Question posée par Jérôme le 31/10/2018 Bonjour, nous avons raccourci votre question, la voici dans son intégralité: «Une chaîne d’info annonce que d’après un sondage, 40% des Français seraient favorables à un régime autoritaire. Ce sondage est-il fiable ? N’y a-t-il pas confusion entre deux notions fondamentalement différentes, à savoir "régime autoritaire" et "autorité de l’Etat?"» Vous faites référence à un sondage publié ce jeudi par l’Ifop sur «Les Français et le pouvoir». Au-delà du résultat global sur cette question, les résultats détaillés par famille politique sont tout aussi étonnants: 23% des sondés proches des Insoumis se disent d'accord, 29% des Verts et 32% des socialistes. La question, néanmoins, n’est pas directe. Ainsi, et alors que la plupart des médias ont repris les résultats de cette enquête en expliquant que 41% des Français étaient pour un «pouvoir politique autoritaire», les sondés, eux, ont répondu à une question bien plus conséquente: Luc Peillon
sup-numerique.gouv.fr | Ressource en auto-formation : Introduction à l’égalité réelle entre les femmes et les hommes (Se former à l’égalité femmes-hommes - Séquence 1/7) Présentation de: Introduction à l’égalité réelle entre les femmes et les hommes (Se former à l’égalité femmes-hommes - Séquence 1/7) Informations pratiques sur cette ressource Type : cours / présentation Niveau : licence, enseignement supérieur Langues : Français Contenu : ressource interactive, texte Droits d'auteur : pas libre de droits, gratuitGestion des droits réservée aux éditeurs Description de la ressource en auto-formation Résumé Cette séquence, intitulée « Introduction à l'égalité réelle entre les femmes et les hommes », est la première d'une série de sept. Granularité : grainStructure : collection "Domaine(s)" et indice(s) Dewey Processus sociaux (303) Sociologie et anthropologie (301) Description Rameau Égalité des sexesResponsabilitéRelations hommes-femmes Domaine(s) Informations pédagogiques Intervenants, édition et diffusion Intervenants Concepteur(s) pédagogique(s) : VAN DE WIELE Nathalie Créateur(s) de la métadonnée : Marchal Juliette Édition sillages.info Diffusion
Figures du féminisme: Révoltée, suffragette, sens du happening... Qui était Hubertine Auclert? Cet été, 20 Minutes, en partenariat avec Retronews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France, propose une série de portraits de figures féministes souvent oubliées. Aujourd’hui, rencontrez la suffragette Hubertine Auclert… Le Vote des femmes. C’est l’un des ouvrages d’Hubertine Auclert (1848-1914). Révolte dans une famille bourgeoise Hubertine Auclert naît au lendemain de la révolution de 1848 et de l’avènement de la Seconde République, dans une famille aisée « où elle aura des exemples de révolte à l’autorité établie », précise Edith Taïeb, enseignante à The American University of Paris et auteure d’une thèse sur Hubertine Auclert. « Son père, fervent républicain, maire sous la Seconde République, a refusé de servir l’Empire. Vote et éligibilité On lui doit d’avoir donné au terme « féminisme » son acception actuelle. Journal et coups d’éclat Et, pour se faire connaître, elle utilisera sa plume. Mais elle se fait connaître également par quelques coups d’éclat.
Comment les classes favorisées ont rompu avec le reste du pays Article réservé aux abonnés Les riches ont-ils cessé de « faire nation » ? Se sont-ils progressivement coupés du reste de la population au point de se vivre en dehors de la communauté nationale, comme exemptés de leurs responsabilités sociales ? Si la conclusion de l’étude est discutable, faute de preuves suffisamment tangibles, le cheminement qui y conduit agrège des éléments tout à fait indéniables. S’appuyant sur les travaux de nombreux chercheurs tels Eric Maurin et Christophe Guilluy, Jérôme Fourquet insiste sur ce paradoxe propre à la France : alors que le pays est champion européen de la dépense publique, affiche un niveau de prélèvements obligatoires parmi les plus hauts du monde, limite plus qu’ailleurs les inégalités de revenus, le recul de la mixité sociale ronge le modèle républicain. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Ségrégation sociale : les villes-centres sont plutôt mixtes
« La laïcité n’a pas pour fin la neutralisation du religieux dans la sphère publique » Tribune. Publiée dans Le Monde du 26 octobre, la tribune de Souâd Ayada, présidente du Conseil supérieur des programmes (CSP) de l’éducation nationale, présente une défense argumentée de propos récents du ministre, Jean-Michel Blanquer. Comme l’auteure, j’estime que limiter la référence à la laïcité à « la production de lois » en réduirait la « signification ». Cette assertion se vérifie dès les lois laïques fondatrices où divers discours républicains se sont confrontés. La signification du mot « laïcité » a toujours constitué un enjeu politico-social. Cependant, celui-ci a été étroitement associé à une production juridique. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Souâd Ayada : « Aujourd’hui, le visible de l’islam en France est saturé par le voile et le djihad » Au début du XXe siècle, des maires interdisaient aux prêtres le port de la soutane, cette « robe » constituant une atteinte à la dignité masculine
Patrick Weil : « La laïcité, c’est d’abord la liberté de conscience » Dans une tribune au « Monde », l’historien estime que la liberté de conscience de chacun, au cœur de la loi de 1905, est, aujourd’hui encore, le meilleur moyen de lutter contre la radicalisation religieuse. Le Monde | 14.05.2018 à 11h08 | Par Patrick Weil (Historien et politologue, directeur de recherche au CNRS) Tribune. Ces dernières semaines, les affrontements sur la religion et la laïcité ont repris de plus belle. « Cette union de tous les Français, non-croyants et croyants, est urgente » Eh bien, ces coupeurs de laïcité en deux, en trois ou en quatre ont tous tort et c’est dramatique. D’abord la loi a été pensée dès l’origine comme universelle, s’appliquant à la métropole et à l’Algérie, aux croyants de toutes confessions, chrétiens, juifs, musulmans, et bien sûr aux non-croyants.