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Comment les grandes marques influent sur nos cerveaux

Comment les grandes marques influent sur nos cerveaux
Tellement brutale, mais tellement vraie, la sortie de Patrick Le Lay, alors PDG de TF1, avait fait grand bruit : « Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible. » Ce que Patrick Le Lay n’imaginait sûrement pas, c’est à quel point ce rapprochement entre cerveau et grandes enseignes commerciales était pertinent et profond. Certains chercheurs pensent que l’empreinte des grandes marques dans nos têtes est si forte qu’elle va jusqu’à influencer notre perception, à transformer l’expérience que nous faisons quand nous consommons les produits en question. En fait, T-Cola n’était qu’une invention : l’idée consistait à proposer une boisson totalement inconnue, d’une marque non identifiable. Related:  magaliesalvadorkonya

Comment le cerveau décide quand on doit faire une pause Neurosciences, sciences cognitives, neurologie, psychiatrie Avant de nous engager dans un effort, notre cerveau décide de son opportunité en évaluant les coûts qu’il implique et les bénéfices qu’on peut en tirer. Une question reste cependant peu explorée : comment, au cours d’un effort, le cerveau décide-t-il qu’il est temps de faire une pause ? Florent Meyniel & Mathias Pessiglione, de l’unité Inserm 975 ” Centre de recherche en neurosciences de la pitié salpétrière”, ont proposé que l’accumulation et la dissipation d’un signal cérébral de fatigue déclenchent respectivement la décision d’arrêter ou de reprendre un travail en cours. Pour tester cette hypothèse, les auteurs ont développé un test dans lequel 39 participants ont été invités à serrer une poignée de force en échange d’un paiement qui était proportionnel à la durée de leur effort. ©fotolia En savoir plus Contact Chercheur Mathias Pessiglione mathias.pessiglione@gmail.com Florent Meyniel florent.meyniel@gmail.com Sources Les plus lus

Improveeze : Architectes du Phygital Commerce Manipulation & couleurs: influence psychologique des marques Voici un guide des couleurs basé sur des recherches réalisées par Karen Haller, experte dans les couleurs et leur influence sur votre business. Voyons comment les différentes couleurs peuvent provoquer une certaine manipulation de vos clients. Comment les marques utilisent-elles les couleurs pour la « manipulation » de leurs clients? Jaune : amusement et amitié Le jaune signifie … Les marques utilisant le jaune veulent exprimer la joie, l’optimisme et l’amitié. Marques utilisant le jaune IKEA (voir Analyse SWOT IKEA) utilise du jaune dans son logo, ses dépliants, …, même dans son magasin. Autres grandes marques utilisant le jaune : Renault, Mc Donald, Amazon.com. Rouge : puissance et passion Le rouge signifie … Le rouge est la couleur de la puissance, du pouvoir et de la passion. Marques utilisant le rouge Virgin emploi le rouge depuis ses débuts. Autres grandes marques utilisant le rouge : Ferrari, Kellogg’s, Coca-Cola. Pourpre : luxe et fantaisie Le pourpre signifie … Le noir signifie …

Des magasins chargés de sens Solliciter la vue, l’odorat, le goût, le toucher ou l’ouïe, telle est la démarche engagée par le marketing sensoriel. Et toutes les enseignes s’y intéressent, attirées par ces ambiances qui retiennent le client. Mobiliser le plus grand nombre de sens afin de promouvoir un produit et renforcer le lien avec le client : ainsi peut se définir le marketing sensoriel. « Depuis que le commerce existe, celui qui a quelque chose à vendre cherche souvent à le rendre attractif aux yeux de l’acheteur potentiel et cela passe par la vue, bien sûr, mais également par l’odorat, l’ouïe, le toucher, explique Bruno Daucé, maître de conférences à Angers, spécialiste de cette discipline. Depuis la fin des années 1990, son utilisation s’est intensifiée et structurée. Marketing “expérientiel”Des propos confirmés par Claude Nahon, directeur général du groupe Mood Media. « Le marketing sensoriel permet aux marques de travailler leur image, au même niveau que l’aménagement de la boutique.

Hamlet and the Power of Beliefs to Shape Reality | Literally Psyched Writing at the close of the nineteenth century, William James, the father of modern psychology (and Henry’s brother), observed that, “Whilst part of what we perceive comes through our senses from the objects around us, another part (and it may be the larger part) always comes out of our own head.” We now know that it is, in fact, the larger part: perception is just as much about construal, belief, the interaction of environment and memory as it is about sensory inputs. It’s a top-down world out there. Sarah Bernhardt as Hamlet, By Lafayette Photo, London, Wikimedia commons. What’s more, our beliefs and construals can actually alter our reality. For many years, Carol Dweck has been researching two theories of intelligence: incremental and entity. In a recent study, a group of psychologists decided to see if this differential reaction is simply behavioral, or if it actually goes deeper, to the level of brain performance. So what exactly does that mean?

Mondadori Publicité décrypte la spirale de la confiance Pourquoi la confiance ? "La confiance est le préalable à l'envie de consommer", répond Anne Philip, directrice marketing, communication et qualité de Mondadori Publicité, en préambule de la présentation de la sixième édition de l'étude Totem. "Surtout en ces périodes de méfiance, poursuit-elle, la confiance, qu'elle soit individuelle et/ou sociétale, est une dimension clé pour les marques et depuis toujours, le groupe Mondadori avec ses marques de presse magazine s'appuie sur la confiance pour créer le lien avec le lecteur." Réalisée en partenariat avec TNS Sofres et Illigo, l'étude Totem propose diagnostic et décryptage des marques à travers divers items qui étudient le chemin d'engagement du consommateur. Une présentation expérientielle autour de la confiance La confiance nécessite un lâcher-prise. La confiance, la clef qui ouvre toutes les portes Selon l'étude Totem, le niveau de confiance dans une société affecte directement la consommation. Cognitif Notoriété, Qualité, Ethique Conatif

Le marketing sensoriel : manipulation ou différentiation ? En scénarisant un produit ou un point de vente, le marketing sensoriel met en avant d'autres éléments que les caractéristiques intrinsèques du produit. Quitte, parfois, à flirter avec la publicité mensongère. Régulièrement accusée de manipuler les consommateurs, cette pratique peut aussi se concevoir comme une nouvelle variable de différenciation. Le point de vue de deux experts face aux questions de controverse. Le marketing sensoriel ment-il ? Jean-François Lemoine, responsable du Master "Etudes de marché et prise de décision marketing" à l'Université de Nantes, considère que la présentation d'un produit peut légitimement faire partie du choix du consommateur : "Le goût d'un yaourt est étudié par les marketeurs. Le marketing sensoriel manipule-t-il ? Pour Patrick Hetzel, auteur de "Planète Conso" et professeur de marketing à l'Université parisienne Panthéon-Assas ainsi qu'à Limoges, "le risque de manipulation, dès qu'on touche au sensoriel, existe.

Ikea, Conforama, Leroy Merlin… leurs méthodes pour nous vendre plus Pour contrer la crise et attirer le client, les grandes enseignes d’ameublement ont dû bouleverser leur stratégie et leurs techniques de vente. Lorsqu’on demande aux Français vers quelle enseigne ils se tourneraient s’ils devaient acheter un meuble de salon, ils placent Ikea en tête. Et pour un canapé ? Conforama. Et pour une cuisine ? Ikea. Avec la morosité économique ambiante, cette hiérarchie ne devrait pas changer de sitôt. Alors, pour dissuader les familles d’aller acheter leur table de salle à manger d’occasion sur Leboncoin.fr, les spécialistes doivent redoubler d’efforts. Lire aussi : Conforama donne le tournis avec ses promos à gogo Désormais, 25% de son offre provient de la centrale d’achats de son actionnaire, le sud-africain Steinhoff, numéro 2 mondial du secteur. Cette agressivité commerciale des acteurs historiques s’avère payante. Lire aussi : Ikea cache bien son extrême standardisation Lire aussi : Leroy Merlin dope ses marges avec des produits malins

Le ‘butinage’ mnémonique de l’être humain Des chercheurs britanniques et américains ont montré expérimentalement que l’être humain, pour rechercher des informations dans différentes parties de sa mémoire, utilise une stratégie qui s’approche de celle des oiseaux ou des insectes. Ceux-ci passent d’une source de nourriture à une autre en optimisant le temps passé sur chacune. Le "théorème de la valeur marginale" des éthologistes stipule qu’au cours de sa recherche de nourriture, un animal (oiseau ou insecte) exploite une source donnée (une branche d’arbre fruitier, par exemple) avant de passer à une autre (la branche voisine), de façon à optimiser le ratio entre énergie dépensée à chercher (les fruits) et énergie gagnée en mangeant (les fruits qu’il a pu dénicher). Il s’agit donc de passer d’une source à l’autre en temps opportun, même si la première n’est pas totalement épuisée. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter "Comme un oiseau entre les branches"

Les nouveaux concept-stores: un nouveau marketing de la mode? | Le boulevardier | Blog L'Express Styles Alors que la crise secoue différents secteurs de la distribution mais épargne le luxe, on peut se demander ce qui se passe au niveau de la distribution de créateurs de mode en France. Autour de la flambée des prix sur les grandes avenues et autres boulevards excluant les indépendants au profit des grandes chaînes et marques huppées, les boutiques doivent faire preuve d’imagination et de créativité pour tirer leur épingle du jeu. Et de cet exercice, c’est un des pionniers du concept-store, Armand Hadida (fondateur de l’Eclaireur), qui en parle le mieux. Chez Fashion Daily News en février dernier, il disait: Dans tous ces univers, il y a toujours une suroffre visuelle des vêtements qui va jusqu’à décourager le regard. Tout se ressemble, Prada ou Gucci ou encore Zara qui cherche à les imiter. L'Eclaireur - rue de Sévigné. C’est ainsi que dans le sillage de l’autre pionnier Colette, les boutiques sont devenues peu à peu des concept-stores. A Paris, deux phénomènes sont désormais visibles.

Les cinq sens du corps humain Le goût nous permet de goûter. L'organe du goût est la langue. La langue est un muscle dont la surface est parsemée de petits boutons qui sont les papilles gustatives. Ces petits organes sont capables de percevoir cinq saveurs : sucré, salé, amer, l'acide et l'umami (le savoureux, un goût plaisant de « bouillon » ou de « viande »). Il a longtemps été cru à tort que différentes régions de la langue servaient à percevoir différents types de saveurs (amer, acide, sucré, salé, umami), mais des recherches de 2006 invalident cette idée : toutes les parties de la langue perçoivent les 5 saveurs avec plus ou moins d'intensité. Comment ressent-on le goût ? Quels irritants font qu'un client quitte le magasin? - Info-Commerce En fait, disent plusieurs spécialistes du commerce de détail, ce ne sont pas uniquement le prix ou l’absence de technologie qui font quitter le client, mais aussi des éléments sur lesquels le commerçant peut et doit agir. L’ambiance d’un commerce de détail a une influence sur le temps que le client passe dans votre magasin et aussi sur la somme d’argent qu’il y dépensera. Cette dépense sera plus élevée que ce qu’il avait prévu suivant qu’il a perçu positivement son expérience en magasin. Selon une étude des HEC publiée dans le Journal of Business Research, les facteurs irritants et les émotions négatives du client domineront les aspects positifs dans son évaluation qu’il fera lors de son magasinage. Catégorisation des facteurs de l'environnement Les éléments de l’atmosphère de votre magasin qui influencent le client et les employés ont été modélisés, dans le livre « Comportement du consommateur » de Daghfous, et portent sur cinq variables principales : Social 1. 2. 3. 4. 5. 6. 1. 2. 3. 4.

Le fonctionnement de la mémoire: Optimiser ses capacités de mémorisation, de concentration Dans une société de connaissance, où l’information fluctue en permanence, développer et utiliser judicieusement sa mémoire n’est pas un luxe, mais une nécessité. Notre cerveau, organe complexe par excellence recense quelques 10 000 neurones. Distribués en circuits, ces milliers de neurones offrent un potentiel infini d’encodages d’informations. Rassemblés en fonctions sensorielles, sensitives, moteurs, etc., ils sont entre autres le support de notre mémoire. Deux grandes catégories de mémoire De nombreux chercheurs en sciences cognitives se sont attachés à distinguer deux types de mémoire, subdivisées en « registres ». La mémoire court terme En premier lieu, notre organisme traite les données de l’environnement par les organes sensoriels (mot, images, son…) et les maintient pendant un court laps de temps (quelques dixièmes de seconde) en mémoire immédiate. La mémoire long terme Elle concerne les informations stockées durablement. Elle est organisée autour des mémoires suivantes :

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