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L'apprentissage vicariant- Doc 26

L'apprentissage vicariant- Doc 26
1. L'apprentissage vicariant pourrait correspondre, dans le contexte scolaire, à ce que l'enfant peut apprendre en marge du discours du maître proprement dit : en regardant faire et en écoutant ceux qui savent faire ou encore, par extension, en analysant la production de ceux qui savent faire. Bien que la réalité de ce processus particulier ne soit niée par personne, celui-ci est cependant mal connu et généralement considéré comme marginal. Mais son rôle dans la problématique de l'échec scolaire pourrait avoir été indûment sous-estimé. 2. 3. 4. 5. 6. 7. a) La nécessité de l'évaluation dite "institutionnelle", que l'on rencontre par exemple dans la tenue régulière des livrets individuels de suivi, ne saurait échapper à personne. 8. 9. 10. 11. b) La filière "Reuchlin-Bandura", sans ignorer cette importante problématique de la fatigue enfantine, procède cependant d'une démarche en quelque sorte inverse et probablement plus efficace. Related:  Social learning

Social Learning Theory Bandura Social Learning Theory People learn through observing others’ behavior, attitudes, and outcomes of those behaviors[1]. “Most human behavior is learned observationally through modeling: from observing others, one forms an idea of how new behaviors are performed, and on later occasions this coded information serves as a guide for action.” (Bandura). Social learning theory explains human behavior in terms of continuous reciprocal interaction between cognitive, behavioral, and environmental influences. Necessary conditions for effective modeling Attention — various factors increase or decrease the amount of attention paid. Retention — remembering what you paid attention to. Reproduction — reproducing the image. Motivation — having a good reason to imitate. Reciprocal Determinism Social learning theory has sometimes been called a bridge between behaviorist and cognitive learning theories because it encompasses attention, memory, and motivation.

CHAPITRE 1 PROBLÉMATIQUE Il semble, selon certaines recherches, que plus le soutien à l’autonomie de la part du professeur est présent, plus un individu aura tendance à se sentir motivé de manière autodéterminée (intrinsèquement et par régulation identifiée) au plan scolaire (Deci, Nezlek & Sheinman, 1981; Deci & Ryan, 1987; Fortier & al., 1995; Grolnik, Ryan & Deci, 1991). Par contre, des enfants ayant des professeurs contrôlants tendent à avoir une diminution de leur motivation autodéterminée (intrinsèque et régulation identifiée; Deci, Schwartz, Sheinman & Ryan, 1981). Des études démontrent également que le soutien à l’autonomie offert par les parents a des effets bénéfiques sur la motivation intrinsèque et sur la motivation autodéterminée des enfants. En plus, certaines des observations obtenues dans une étude (Grolnik, Ryan & Deci, 1991) expliquent que le soutien à l’autonomie offert par les parents et le niveau d’implication de ces derniers étaient associés aux perceptions d’autonomie de l’enfant.

L'apprentissage social, retour aux sources Doc 27 Albert Bandura est un psychologue canadien né en 1925. En 1963, il publie l'ouvrage intitulé "Social Learning and Personality", qui attendra près de 25 ans avant d'être traduit en français. Bandura développe dans cet ouvrage la théorie de l'apprentissage social. Tout apprentissage est social Nous apprenons en regardant les autres, et en tentant ensuite de les imiter. Selon lui, l'observation suivie de l'imitation permet de faire bien des économies dans le processus d'apprentissage : si l'on observe attentivement une personne compétente dans un domaine et qu'on s'attache à reproduire son comportement, l'on n'a pas besoin de procéder par une fastidieuse série d'essais-erreurs (comme le défendaient les behavioristes) pour parvenir au comportement ou au savoir faire juste. Bien entendu, il convient d'observer une personne dont on se sent proche, avant de prétendre reproduire (ou s'inspirer de) son comportement. Imiter, pas si simple... Social learning, je prends ! Albert Bandura sur Wikipedia

Énaction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion d'énaction est une façon de concevoir l'esprit qui met l'accent sur la manière dont les organismes et esprits humains s'organisent eux-mêmes en interaction avec l'environnement. L'énaction selon Francisco Varela[modifier | modifier le code] Dans The Tree of Knowledge: The Biological Roots of Human Understanding, Francisco Varela et Humberto Maturana utilisent ce terme face « au problème de comprendre comment notre existence -- la pratique de notre vie -- est couplée à un monde environnant qui apparaît empli de régularités qui à chaque instant sont le résultat de notre histoire biologique et sociale.... trouver une voie moyenne : pour comprendre la régularité du monde vécu dont nous faisons l'expérience à chaque instant, mais sans autre point de référence que nous-mêmes qui donnerait une certitude à nos descriptions et affirmations. — Francisco Varela et Humberto Maturana, Tree of Knowledge, p. 241 (traduction personnelle)

getpart.php?id=lyon2.2009 Doc 17 Les sentiments d’appartenance(s) constituent l’un des aspects (collectifs) de l’identité et donc du sentiment de Soi. A. Mucchielli pense que le sentiment d’appartenance prend ses sources « dans la relation primitive du nourrisson avec sa mère, puisqu’on sait que dans son état premier, le nourrisson ne se distingue pas de sa mère », et découle tout autant du fait que l’être humain est un être social25. Pour l’adulte, le sentiment d’appartenance est avant tout ce qui définit l’image qu’il projette dans la société, c’est-à-dire son statut. Il y a des moments dans l’existence où, plus ou moins brusquement, l’individu prend du recul par rapport à ses groupes d’appartenance, ou certains d’entre eux. Le souhait d’entrer dans un nouveau groupe conduit à l’idée qu’il va falloir modifier quelque chose dans sa manière d’être, d’agir et peut-être de penser. Il optera pour cette démarche d’autant plus volontiers : Autrement dit, comme le remarquent V.

Motivation et théorie de l'autodétermination | motivation La théorie de l’autodétermination Selon la théorie de l’autodétermination (Deci et Ryan, 1985), trois besoins psychologiques sont à la base de la motivation humaine : le besoin d’autonomie, le besoin de compétence et le besoin d’appartenance sociale. Lorsque la satisfaction de ces trois besoins est présente, elle devrait mener, généralement, à une sensation de bien-être chez l’individu. Vallerand et Loisier (1999) ont proposé une représentation schématique du continuum de Styles Motivationnels. Continuum d’autodétermination et les différents types de motivation (Vallerand et Losier, 1999). Il apparaît cependant selon ces mêmes auteurs que le besoin d’autonomie serait le plus important dans l’explication des comportements. Deci et Ryan (1985) proposent l’existence de différents types de motivations autodéterminées qui sont caractérisés par différents niveaux d’autonomie. Enfin, l’amotivation se définit comme étant l’absence de motivation autodéterminée chez l’individu.

Théorie de l'apprentissage social Plusieurs théories reçoivent la dénomination de théorie de l’apprentissage social. La plus connue d'entre elles est celle d’Albert Bandura. La théorie de l’apprentissage social (« Social Learning Theory », abrégée SLT) d’Albert Bandura décrit comment l'enfant peut apprendre de nouveaux comportements en observant d'autres personnes : il imite les modèles de comportement qui font l’objet de récompenses et non de punitions[1] (notion d'« observational learning »)[2]. Cette théorie a connu de nombreuses applications dans des domaines aussi divers que la psychologie (éducation, etc.), la sociologie, la criminologie et la « planning theory » (en santé publique)[3]. Théorie d’Albert Bandura[modifier | modifier le code] La théorie de l’apprentissage social d'Albert Bandura désigne trois procédures d’acquisition qui ont leur source dans l’entourage de l’individu : Théorie de Lev Vygotsky[modifier | modifier le code] Théories de la planification de Friedmann[modifier | modifier le code]

Motivation intrinsèque et extrinsèque - Deci Théorie de la motivation intrinsèque et extrinsèque Cette théorie, initialement présentée par Richard Deci en 1975 et enrichie par Deci et Ryan (1985, 2002), présente l’originalité par rapport aux précédentes théories, de distinguer deux types de motivation suivant qu’elle est "imposée" ou non La motivation intrinsèque : l’action est conduite uniquement par l’intérêt et le plaisir que l’individu trouve à l’action, sans attente de récompense externe. La motivation extrinsèque : l’action est provoquée par une circonstance extérieure à l’individu (punition, récompense, pression sociale, obtention de l’approbation d’une personne tièrce...). Ces deux types de motivations sont complétés par un troisième état : l’amotivation L’amotivation : l’individu a le sentiment d’être soumis à des facteurs hors de tout contrôle. Motivation et auto-détermination Echelle continue de régulation Motivation intrinsèque et extrinsèque Conséquences Applications sources et compléments :

La définition de Apprentissage social- Doc 15 L'apprentissage social désigne l'acquisition de savoirs et de savoir-faire résultant de l'observation du comportement d'autrui. Le terme social qualifie la nature du processus d'apprentissage et non le contenu des acquisitions possibles. Plus précisément, il indique que l'acquisition s'opère sous l'effet de l'environnement social plutôt que physique. L'apprentissage du point de vue béhavioriste Selon l'approche béhavioriste de l'apprentissage, les acquisitions sont le produit des événements extérieurs. Ainsi, l'individu subit passivement ce processus. La théorie de l'apprentissage de Bandura L'apprentissage social est également appelé apprentissage par observation ou apprentissage vicariant. Les processus attentionnels: ils déterminent ce qui va être observé et ce qui va être extrait de l'observation. La motivation impact sur ces sous-processus. Le renforcement vicariant Tout d'abord, la valeur accordée à un renforcement dépend des critères propres à l'observateur.

La théorie des besoins psychologiques de base : clarifier les sources du climat motivationnel (Deci & Ryan, 2002, 2008 Selon Laguardia et Ryan (2000, p. 284), « la théorie de l’autodétermination adopte le concept de l’eudémonie ou de la réalisation de soi comme critère d’existence de bien-être mais, de plus, elle définit explicitement ce qu’il faut entendre par la réalisation de soi et par quels processus elle est atteinte ». En effet, la TAD soutient que les humains ont des besoins psychologiques fondamentaux et que la satisfaction de ces besoins psychologiques fondamentaux est essentielle à leur croissance, à leur intégrité et à leur bien-être. Ainsi, quand ces besoins sont satisfaits, l’organisme connaît la vitalité (Ryan & Frederick, 1997, cités par Laguardia & Ryan, 2000), la congruence interne (Sheldon & Elliot, 1999, cités par Laguardia & Ryan, 2000) et l’intégration psychologique (Deci & Ryan, 1991) : comme ces besoins fournissent une grande partie du sens et des intentions sous-jacents à l’activité humaine, leur satisfaction est ainsi vue comme un but « naturel » de la vie (Deci & Ryan, 2000).

ContenuCooperationCollaboration- Doc 28 Entre la coopération et la collaboration, la différence est nuancée. Sources: site Outils et Réseaux F. Henri et K. La première différence : comment partage-t-on le travail ? De manière générale, les groupes collaboratifs et coopératifs travaillent ensemble sur un but commun ou partagé. En coopérant Le groupe est divisé en équipes spécialisées qui réalisent une partie de tâche. En collaborant Les membres du groupe travaillent pour un but commun. Autres différences De cette manière de réaliser la tâche commune, découlent d'autres différences : La maturité des groupesLes interactions entre les personnes La manière de considérer le but La maturité des groupes La démarche coopérative est plus structurée et encadrante. Les interactions entre les personnes En coopérant, chaque membre est responsable d'une action ou sous-tâche. Dans les démarches collaboratives chacun utilise l'ensemble des ressources dans le groupe. En conclusion "collaborer" renvoie à l'histoire sombre de la guerre 39-45. concept

Théorie de l'auto-détermination Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie de l'auto-détermination (on conserve l'acronyme anglais SDT) est une macro-théorie de la motivation humaine et de la personnalité, qui concerne les tendances inhérentes au développement et les besoins psychologiques innés des êtres humains. Elle traite de la motivation agissant derrière les choix que les êtres humains font sans aucune influence ou interférence externe. La SDT définit le degré d'auto-motivation et d'auto-détermination d'un comportement[1]. Plusieurs études importantes conduisirent à l'émergence de la SDT, en particulier les recherches sur la motivation intrinsèque[2] à l'origine de la poursuite par un individu d'une activité parce qu'elle lui procure une satisfaction en elle-même, au contraire de la motivation extrinsèque, où l'activité est poursuivie en vue d'atteindre un but externe à celle-ci. Références[modifier | modifier le code] ↑ Deci, E., & Ryan, R. Articles connexes[modifier | modifier le code]

La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mail La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mailLa révolution du social learning La transmission interne des savoirs remise au goût du jour E-Learning 2.0. Pour Frédéric Domon, directeur de l'agence SociaLearning et co-auteur d'un livre blanc sur le sujet, “le social learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres – que ce soient des collègues, des mentors ou des experts – via les médias électroniques synchrones ou asynchrones”. L'échange social, facteur d'apprentissage Ces théories éprouvées au service de la formation ont été remises au goût du jour par le développement du Web 2.0 et des réseaux sociaux. L'un des problèmes du e-learning est que bien souvent, les apprenants ne vont pas au bout de leur formation. “Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres, explique Frédéric Domon. Par Fabien Humbert

Les 101 théories de la motivation En 1971, Deci montrait que la persistance des individus, durant une période de libre choix, est moins importante pour les sujets récompensés que pour ceux qui ne le sont pas. Ce résultat, contre-intuitif pour l’époque, montrait pour la première fois chez l’homme de façon expérimentale que la récompense n’est pas un facteur motivant dans tous les cas de figures. Depuis les années 70, Deci (1975, 1980) et Ryan (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2002) ont proposé différentes formulations et reformulations théoriques qui ont permis de conceptualiser ce résultat et donne lieu à une volumineuse littérature afférente produite aux cours des trois dernières décennies. La dernière formulation en date (Deci & Ryan, 2002) repose, selon les propos des auteurs, sur ce qu’ils appellent des « mini-théories » : la théorie de l’évaluation cognitive, la théorie de l’intégration organismique, la théorie de l’orientation causale et celle des besoins de bases.

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