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Baromètre de la Faim 2015 : Préserver l’environnement et le climat pour lutter contre la faim Alors qu’aujourd’hui 795 millions de personnes souffrent de la faim, les changements climatiques représentent une réelle menace pour la sécurité alimentaire des populations les plus vulnérables et risquent de remettre sérieusement en cause les efforts entrepris dans la lutte contre la faim et la pauvreté. L’année 2015, année de la COP21 et de l’adoption des Objectifs de Développement Durable, est une op­portunité considérable pour mettre en lumière la nécessité de prendre en compte la dimension environ­nementale dans la lutte contre la faim. En effet, si rien n’est fait, le nombre de personnes souffrant de la faim pourrait augmenter de 600 millions d’ici 2080 à cause du chan­gement climatique ; le changement climatique ayant une incidence directe sur la production agricole et l’accès à l’alimentation. Téléchargez le Baromètre de la Faim 2015 : barometre2015-web.pdfbarometre2015-web.pdf

Alimentation et grande précarité en France : La faim justifie des moyens A l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la faim, Médecins du Monde (MdM) publie les résultats d'une enquête menée en France qui révèle les difficultés d’accès à l’alimentation des plus précaires et l’impact sur leur santé. L'enquête a été réalisée entre avril et mai 2014 dans sept centres de soins MdM (Bordeaux, Lyon, Marseille, Nice, Paris, Saint-Denis et Strasbourg) auprès de 346 patients,dont 97% de migrants. Elle décrit leur alimentation tant en quantité qu’en qualité, leurs sources d’approvisionnement et leur état de santé. Une personne interrogée sur deux déclare ne pas manger à sa faim,souvent ou parfois. Les deux tiers des personnes interrogées déclarent dépenser moins de 3,5 € par jour pour se nourrir, seuil en deçà duquel les risques pour la santé sont patents [2]. Pour ces personnes, la nourriture est insuffisante en quantité et en qualité. Les conséquences sur la santé sont dans un premier temps la perte de poids (plus particulièrement pour les primo-arrivants).

Les consommateurs de bio ne sont pas plus riches que les autres, mais plus instruits Qui sont vraiment les mangeurs de produits bio ? Pas forcement des consommateurs plus aisés, mais des consom’acteurs avertis et instruits. Un mode de vie sain Une étude NutriNet-Santé publiée dans la revue PloS One, pilotée par plusieurs organismes de recherche dont l’INRA et l’Inserm, à montrer que les consommateurs de produits biologiques et les consommateurs traditionnels présentent des caractéristiques différentes. Cette étude basée sur un panel de 54.000 français (dont ¾ de femmes) révèle que les consommateurs de produits bio sont plus éduqués et physiquement plus en forme que les autres. Le bio est perçu comme meilleur pour l’environnement (83%) et pour la santé (69%). Les pesticides dans le viseur La proportion de personnes consommant bio en surpoids est inférieure de 36% à la moyenne nationale chez les hommes et de 42% chez les femmes. Au final, il faut savoir quoi dépenser et surtout comment.

Les épiceries sociales et solidaires Avec plus de 700 épiceries sociales et solidaires servies, les Banques Alimentaires sont le 1er fournisseur de ces structures associatives. Depuis quelques années, les Banques Alimentaires développent, en collaboration avec leurs partenaires associatifs, des modes de distribution d’accompagnement alimentaire innovants, comme les épiceries sociales qui prennent en compte ces besoins d’accompagnement et d’écoute. L’accompagnement alimentaire est plus que jamais une porte d’entrée à l’écoute et au dialogue. Les Banques Alimentaires, soutien des épiceries sociales et solidaires Les Banques Alimentaires fournissent plus de 700 épiceries sociales et solidaires dans la France entière. Comment fonctionne une épicerie sociale / solidaire ? Le plus souvent elles sont parrainées, voire créées sous l’égide des CCAS (Centre Communal d’Action Sociale) dans les villes. Les épiceries sociales étudiantes QUI SONT LES "CLIENTS" DES EPICERIES SOCIALES et solidaires ?

National analysis - City Region Food Systems on the Political Agenda in France | IUFN Food is back on the agenda of city regions in industrialised countries. A 2013/2014 study that we carried out in France reveals that French local governments and actors are involved in a wide array of actions, from the development of alternative food supply chains to the reduction of food waste and the promotion of more sustainable diets. Despite this great number of initiatives, these measures remain largely fragmented. More integrated policies are thus needed in order to echo the systemic nature of sustainable food systems in an urbanised world. Read a summary of the report published in RUAF Urban Agriculture Magazine n°29. Consultez le rapport IUFN Nourrir les territoires de demain. Faisant écho à une dynamique internationale montante autour des alternatives au système alimentaire conventionnel, ce rapport propose une analyse de la situation « alimentaire » des territoires français en 2015. La situation alimentaire de la France en 2015 : encore des progrès à accomplir

Les comportements alimentaires (INRA) Décembre 2015 En juillet 2010, l' Institut national de recherche agronomique (INRA) a publié un rapport sur les comportements alimentaires des Français. Il met en évidence les grandes tendances des comportements alimentaires et les changements récents. Constat général L'INRA rappelle que les dernières années ont vue une augmentation de la consommation de lipides, de produits transformés, de la restauration hors du domicile ; du surpoids ; de l'obésité ; des troubles du comportement alimentaire. Evolution des pratiques alimentaires Les modifications des pratiques alimentaires sont en relation avec les évolutions de la société française. Des paniers modifiés L'INRA a constaté depuis la seconde moitié du XXe siècle : une baisse de la consommation des produits traditionnels pain ordinaire, pâtes, pommes de terre, de légumes secs, de viande, une augmentation de la consommation de poisson, de produits laitiers, jus de fruits, légumes, de produits surgelés et transformés. Sources

11. Sensibiliser à l’alimentation, à l’environnement et au développement durable | Portail documentaire « Agriculture Biologique et Développement Local » Faire en sorte que la population s’approprie les enjeux locaux La compréhension et l’appropriation par la population des enjeux liés au développement durable est l’une des clés de réussite des projets de territoire autour de l’agriculture biologique : il est en effet avéré que la demande locale de produits bio est un puissant moteur de changement. Les actions de sensibilisation et de pédagogie à destination des habitants ont pour but d’informer la population sur les enjeux et les intérêts de l’agriculture biologique, afin d’aboutir à un changement de pratiques dans différents domaines (consommation, cuisine, jardinage, etc.). En outre, un projet d’agriculture biologique dans un territoire ne se décrète pas : la sensibilisation de la population est indispensable pour faire connaître les actions menées par la collectivité autour de l’agriculture biologique, afin de faciliter la mise en œuvre et l’acceptabilité des projets (sur la gestion différenciée des espaces publics par exemple).

Cinq innovations sociales pour une alimentation durable L’Association des Régions de France, en partenariat avec la Caisse des Dépôts et avec l’appui technique de l’Avise, a réalisé cinq études de cas d’innovations sociales, recouvrant les différents volets de la thématique alimentation (production, transformation, distribution, consommation). Mises en place de manière complémentaire, ces initiatives peuvent faire système sur un territoire au service d’une alimentation durable et raisonnée. L’association Les Champs des Possibles accompagne des porteurs de projet à l’installation en agriculture biologique et circuits courts en Ile-de-France. Le projet PACTES (Partenariats Agriculteurs Cuisines Territoire Environnement Solidarités) en Bourgogne a deux activités complémentaires : la création de "lieux test agricoles" et le développement de "Systèmes alimentaires locaux (SAL)" permettant de développer des circuits courts d’approvisionnement de produits agricoles pour des lieux de restauration collective. Retrouvez l’article complet.

Un site Internet permet la revente à prix cassés d'aliments invendus SOLIDARITE Un site Internet permet la revente à prix cassés d'aliments invendus... 20 Minutes avec AFP Légumes «moches» ou yaourts à date limite, des aliments promis aux déchets peuvent être offerts ou vendus en ligne à prix réduits au profit d'associations, grâce à une plateforme européenne qui entend réduire le gaspillage alimentaire. Foodwe.fr, initiative lancée à l'origine en Belgique, démarre vendredi en trois langues en France, aux Pays-Bas, en Angleterre, en Irlande et en Ecosse. 150 partenaires convaincus Il s'agit, explique Foodwe (pour Food Waste Evasion, «éviter le gaspillage alimentaire»), «d'aliments consommables mais ne rencontrant pas ou plus la demande» qui seront ainsi valorisés et non plus jetés, alors que 89 millions de tonnes d'aliments sont perdus chaque année dans l'Union européenne. L'entreprise a convaincu quelque 150 partenaires dont une vingtaine de producteurs en Belgique, où elle a été lancée en deux temps depuis septembre dernier, en français et en flamand.

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