The Big Feminist BUT: The Caveats of Gender Politics in Comics by Maria Popova “There’s both liberation and possibility in pointing out that you’re not a sellout or a coward for refusing to adopt a label that doesn’t quite name your experience.” “Feminism is too important to be discussed only by academics,” Caitlin Moran wrote in her excellent How to Be a Woman and, indeed, gender politics permeate everything from our language to our capacity for love to our economy to how kids come to see the world. Luckily, Moran’s point comes wonderfully alive in The Big Feminist BUT: Comics about Women, Men and the Ifs, Ands & Buts of Feminism (public library) — a magnificent Kickstarter-funded collection of “the ideas, experiences and impressions of individual cartoonists and writers at a very specific moment in time,” titled after the all-too-familiar caveat of “I’m a feminist, but…” (or, occasionally, “I’m not a feminist, but…”). By Emily Flake 'Feminist, adj' by MariNaomi Shannon O’Leary writes in the introduction: 'Queer, Eh?' 'Boy's Life' by Andi Zeisler
5 façons efficaces de combattre la grossophobie lorsqu’on bénéficie du privilège mince | FEMISANDRIE (mais pas que) Article originel : Traduction de Laurence Mamin « Hey, les gens minces privilégiés (Vous devez savoir qui vous êtes). Il faut qu’on parle. J’ai vu beaucoup de monde comparer le skinny-shaming et la grossophobie – et je veux mettre en évidence à quel point c’est faux et nuisible. Il y a une énorme différence entre le skinny-shaming et la grossophobie, et c’est une différence d’échelle et de dynamique systémique. Toutefois, la différence entre le fait d’être blessant, et la discrimination, la déshumanisation et le déni de droits à une échelle systémique est immense. Le terrorisme corporel contre les gros est insidieux et pratiqué ouvertement dans tous les domaines de notre société : les hôpitaux, les écoles, le système légal et sur le lieu de travail. Dans une autre étude, 54% des médecins trouvent que ça devrait être OK de limiter les soins pour les personnes en surpoids et obèses. Mais, clairement, ça n’est pas le cas.
Faire des Etudes Féministes et de Genre en France – EFiGiES Marine Gilis, en collaboration avec Valentin Gleyze, Marine Rouch et Justine Zeller, a le plaisir de vous présenter la brochure « Faire des Etudes Féministes et de Genre en France », réalisée avec le soutien d’EFiGiES. Cette brochure représente un outil précieux pour tous les étudiant.es en études Féministes, Genre et Sexualités. Elle aidera à se repérer dans la multitude des ressources disponibles pour mener à bien des travaux de recherche tant universitaires que personnels, autodidactes ou encadrés. Elle est téléchargeable ici : Brochure-numérique.oct17 ou consultable ci-dessous. Avertissement : Cette version d’octobre 2017, exclusivement numérique, a vocation à être enrichie par les suggestions et retours de tous et toutes.
Simone de Beauvoir Explains “Why I’m a Feminist” in a Rare TV Interview (1975) In Simone de Beauvoir’s 1945 novel The Blood of Others, the narrator, Jean Blomart, reports on his childhood friend Marcel’s reaction to the word “revolution”: It was senseless to try to change anything in the world or in life; things were bad enough even if one did not meddle with them. Everything that her heart and her mind condemned she rabidly defended—my father, marriage, capitalism. Because the wrong lay not in the institutions, but in the depths of our being. We must huddle in a corner and make ourselves as small as possible. Marcel’s fearful fatalism represents everything De Beauvoir condemned in her writing, most notably her groundbreaking 1949 study, The Second Sex, often credited as the foundational text of second-wave feminism. Yes, that formula is the basis of all my theories…. Without denying the fact of biological difference, De Beauvoir debunks the notion that sex differences are sufficient to justify gender-based hierarchies of status and social power. Related Content:
4 raisons pour lesquelles il faut arrêter de voir le skinny-shaming comme une « discrimination inversée | «FEMISANDRIE (mais pas que) Article originel : Traduction : ami HSBC (Homme Straight Blanc Cis) militant (comme quoi, ils servent!) Note de l’auteure : Cet article ne défend pas le skinny-shaming. Le body-shaming, sous toutes ses formes, est inexcusable. J’ai un rapport très compliqué avec le concept de skinny-shaming. Je suis une activiste de l’image du corps, qui tente de travailler en solidarité avec le « fat acceptance movement », une survivante du trouble du comportement alimentaire qui a encore des problème liés à son corps et à la nourriture, et une personne de corpulence moyenne qui parle ouvertement des privilèges des personnes minces. Évidemment donc, j’ai un rapport compliqué au skinny-shaming. Mais quelque chose que je vois souvent revenir sur le tapis, c’est l’idée que le skinny-shaming (faire des remarques grossières ou sarcastiques sur les corps minces) est de la discrimination inversée. Ça, je suis en plein dedans. 1. 2. Aïe.
Au risque de radoter, « la théorie du genre » n’existe pas Ce dimanche 2 octobre, le pape François a accusé les manuels scolaires français de propager un « sournois endoctrinement de la théorie du genre ». Il y a trois ans, sous l’impulsion de la « Manif pour tous », on s’était mis en France à parler de « théorie du genre » pour dire tout et n’importe quoi. Obsession d’une partie de la droite, cette chose indéterminée permet de mélanger le sexe, la sexualité, l’orientation sexuelle et la fin du monde. Définition Les études du genre, « gender studies » en anglais, désignent une approche interdisciplinaire des sciences humaines, qui rassemble des domaines de recherche aussi divers que la sociologie, l’histoire, la linguistique, la médecine, l’architecture, la philosophie, la psychologie ou la science politique. Elle était devenu hautement politique et suspecte, au point que Najat Vallaud-Belkacem, alors porte-parole du gouvernement, avait été obligée de nier l’existence d’une telle théorie. Pas une théorie mais un concept
22 Things Only Women's And Gender Studies' Majors Understand Ouvrage | Le sexe n'est pas le problème dans le travail du sexe 1. [Traduction libre] Valeria Costa-Kostritsky, « On Malmskillnadsgatan », London Review of Books, 20 janvier 2014 : Féministes radicales | Comme des poissons sans bicyclettesFéministes radicales | Comme des poissons sans bicyclettes « Je ne suis pas féministe mais… | «notachocolatecake « Je ne suis pas féministe mais… » « Je ne suis pas féministe mais… » : Le féminisme est un terme qui semble mettre certaines personnes mal à l’aise, hommes et femmes confondus. « Etre féministe », parlons-en… … On oublie ! En effet, le texte que je m’étais permise de traduire librement de l’anglais – et dont la source se trouve en cliquant sur le lien ci-dessus – est contesté par son auteure pour des questions de droits. Yeaaahhh ! Cela dit, il me semble que défendre et promouvoir le féminisme impliquerait aussi de savoir ouvrir la discussion sur le thème avec un plus grand nombre en tissant des liens au delà des frontières… [Mise à jour le 14.04.2013] «Le féminisme n’est pas un gros mot. Les Dégenreuses nous donnent une petite définition pour mettre les choses à plat: «Le féminisme, c’est un ensemble d’idées dont le but est de réfléchir sur la place des femmes dans la société et de militer pour leurs droits. Et pour vous, quelle est votre définition du féminisme? J'aime : J'aime chargement…
L’INCESTE, TRANSGRESSION DES LIMITES CORPORELLES ET PSYCHIQUES Par Francine Sporenda Isolde La Gronde est une survivante de violences intrafamiliales par des assistants familiaux pédophiles et rescapée de la DDASS. Elle est l’auteur de « Matricule 1922RT78, mon combat contre la prescription » aux éditions « Lierre et Coudrier ». F.: Vous dites que l’inceste est d’abord un « viol de la pensée ». Pouvez-vous expliquer? I.L. : La justice gomme la dimension psychique de l’effraction lors d’une agression, et donc ses effets, notamment quand elle fait la distinction entre les attouchements et les viols ; alors que la confiance de l’enfant victime en son parent ou son proche est brisée de façon identique. La société se figure mal la gravité d’un tel « rapt » de la pensée (il me vient le mot « rape », « viol » en anglais), d’une trahison aussi particulière, car elle touche les représentations que l’enfant se fait du monde en permanence et les fige ; elle atteint son intégrité mentale, sa sécurité, son sentiment de sécurité. (Suzzan Blac) WordPress:
Blog militantes du PF Lyon Haraway-cyborg manifeto SCIENCE, TECHNOLOGIE ET FÉMINISME SOCIALISTE À LA FIN DU XXe SIÈCLE * Donna Haraway Rêve ironique d’une langue commune pour les femmes dans le circuit intégré. Je vais tenter ici de construire un mythe politique ironique qui soit fidèle au féminisme, au socialisme et au matérialisme. Plus fidèle peut-être au sens du blasphème que de la vénération et de l’identification respectueuses. Le blasphème semble exiger depuis toujours que l’on prenne les choses très au sérieux. Le cyborg est un organisme cybernétique, hybride de machine et de vivant, créature de la réalité sociale comme personnage de roman. La science-fiction contemporaine est peuplée de cyborgs, créatures à la fois animal et machine qui habitent des univers ambigus à la fois naturels et fabriqués. Je plaide pour une fiction cyborgienne qui cartographierait notre réalité corporelle et sociale, une ressource imaginaire qui permettrait d’envisager de nouveaux accouplements fertiles. Il en va de même pour la race.
Violences entre femmes lesbiennes. Les zones grises de la sororité Parler des violences entre lesbiennes n’a pas été un choix évident, sachant à quel point nous sommes déjà fragiles, invisibilisées, impensées. Néanmoins, une convergence d’histoires vues et vécues m’a poussée dans l’écriture de cette enquête. #MeToo nous concerne aussi, mais pourquoi est-ce si difficile de parler d’agressions subies entre femmes ? Patriarcat internalisé, omerta et jeux d’influence : le milieu lesbien est en réalité traversé par des dynamiques contradictoires et contraires à l’idéal de bienveillance communautaire. L’histoire remonte à plus de dix ans mais retentit encore aujourd’hui. Lorsque la performeuse américaine drag-king et féministe Louise de Ville vient d’arriver en France, elle ne parle pas très bien la langue. Louise décrit comment, en se justifiant par la pratique du BDSM et la théorie queer, son ex l’a en réalité violée pendant un an, allant jusqu’à la droguer pour avoir avec elle des rapports non consentis. Penser les violences entre femmes Et elle poursuit :