2- L'apprentissage par problèmes - Apprentissage actif L’approche par problèmes est un dispositif qui met l’accent sur l’apprentissage actif des étudiantes et des étudiants. Ce système vise moins le cumul de connaissances que l'utilisation de ces connaissances et habiletés de base jugées essentielles dans le contexte de la pratique. L’approche par problèmes comporte les objectifs suivants. L'acquisition des contenus essentielsLe développement des attitudes propres à un domaine donnéLe développement progressif de l’autonomie. L'impact de l'approche par problèmes sur planification de l’enseignement Du point de vue didactique, le choix des situations-problèmes* à soumettre aux étudiantes et étudiants se fonde sur les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être essentiels à la profession ou au domaine d’études. Les caractéristiques d'une situation-problème Elle contient des données initiales. La résolution d’une situation-problème force l’étudiant à mettre en œuvre un processus en quatre temps : Ce que l’approche par problèmes permet d’évaluer
Apprentissage par problèmes - ENSEIGNEMENT L'apprentissage par problèmes (APP) a été introduit à la faculté de médecine de l'université de Genève en 1995. Actuellement, ce format d'apprentissage est utilisé durant les années 2 et 3 du curriculum. Il s'effectue par des séances en petits groupes (6-9 étudiants) sous la conduite d'un tuteur. Il est basé sur des problèmes à expliquer ou à résoudre afin d'aquérir des connaissances essentielles en sciences médicales de base, cliniques et psycho-sociales. Chacun de ces problèmes est traité selon une séquence de 8 étapes réparties en 3 moments: Les six premières étapes correspondent à une démarche d'analyse scientifique d’un problème. Ces huit étapes sont adaptées de celles des Facultés de médecine de Limburg (Maastricht) et de Sherbrooke. Ce guide fournit une description: des objectifs de chacune des huit étapesde la démarche souhaitée des étudiantsdu rôle du tuteur comme "facilitateur" dans le processus d'analyse du problème ainsi que du fonctionnement du groupe
Temps choisi #4: Communiquer pour coopérer Temps choisi #4: Communiquer pour coopérer temps choisi Projet Interdisciplinaire – 3ème – Crimes sur la ville … 3° – Rire des sujets graves (#SIDHumour) Laisser un commentaire Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. OFFICE HOUR Le Jeudi en salle 216 Ouvert à tous de 4:00 à 5:00 CHERCHER DANS LE SITE ESPACE NUMÉRIQUE Présentation 1Plus de dix ans après le lancement du processus de Bologne, les institutions universitaires sont aujourd’hui, plus encore que par le passé, confrontées à la nécessité non seulement de développer leur mission de formation (par la restructuration de leur offre d’enseignement) mais d’en démontrer ou d’en justifier la qualité, avec la mise en œuvre des systèmes d’assurance qualité. Or, ceci se réalise dans un contexte marqué par une diminution des ressources publiques, un questionnement sur l’autonomie des universités, une augmentation du nombre et de la diversité des étudiants s’y inscrivant et dont les attitudes sont davantage consuméristes, une augmentation de la concurrence pour le recrutement de ces étudiants et une pression plus forte pour démontrer les résultats, y compris en termes de recherche. 1 dans la rubrique « Autour des mots de la formation » de ce dossier. 2 ou encore appelés « services de soutien à l’enseignement » ou « centres de développement pédagogiqu (...)
Inclusion d’étudiants à distance dans un cours universitaire en présentiel : 1Dans le domaine récent que constitue la pédagogie universitaire, le numérique occupe une place de premier plan. Plusieurs auteurs (De Ketele, 2010 ; Albero, 2011) s’accordent en effet sur le fait que le numérique est envisagé comme un moteur de changement et d’innovation des pratiques pédagogiques universitaires. Outre sa présence croissante en salle de classe, notamment par l’intermédiaire des logiciels de présentation de type PowerPoint, des tableaux blancs interactifs ou des laboratoires informatiques, le numérique joue un rôle indéniable dans la diversification des modes d’articulation de la présence et de la distance. Ainsi, aux cours uniquement en présentiel, qui demandent aux enseignants et étudiants d’être ensemble, ici et maintenant, se sont ajoutées d’autres modalités d’enseignement-apprentissage jouant sur la flexibilité spatio-temporelle que permet le numérique. 1 « The degree of salience of the other person in the interaction and the consequent salience of the (...)
Apprentissage par problèmes: Le programme Doctorat en médecine L’apprentissage par problèmes (APP) est la principale méthode pédagogique utilisée. Dans le cadre de cette méthode, les étudiantes et étudiants sont divisés en petits groupes d’apprentissage de huit ou neuf soutenus par un professeur-tuteur. Cette méthode, qui fait la réputation de Sherbrooke, vise l’apprentissage en profondeur et le développement des capacités de résolution de problèmes et d'auto-apprentissage des étudiantes et étudiants. L’étude individuelle a une place prépondérante. Les étudiantes et étudiants apprennent à partir de problèmes qui leur sont présentés. Généralement, deux sessions de trois heures de tutorial d’APP sont prévues à l’horaire hebdomadaire auxquelles s’ajoutent de 3 à 5 heures d’activités planifiées afin de mieux assimiler les problèmes (formation en habiletés cliniques, cours, laboratoires, ateliers, etc.).
SCOOP : une méthode pour se motiver, se fixer des objectifs et les tenir Laure Reynaud et Ilona Boniwell sont les autrices du livre Parcours d’Education Positive et Scientifique (éditions Leduc S.). Dans cet ouvrage, elles proposent des notions clés pour comprendre les enjeux de l’éducation positive et la mettre en pratique. Elles proposent notamment l’acronyme SCOOP pour apprendre à se fixer des objectifs efficacement et les tenir. Cette méthode s’adresse aussi bien aux enfants, aux adolescents qu’aux adultes : S : souhaitC : concrétisationO : obstaclesO : optionsP : plan d’action S : souhait Cette première étape consiste à spécifier en détail l’objectif à atteindre. spécifique : l’objectif doit être aussi clair et précis que possiblemesurable : des mesures de performance doivent pouvoir s’appliquer à l’objectif (comment savoir quand l’objectif sera atteint ? C : concrétisation Il s’agit ici d’ancrer l’objectif dans la réalité. Le fait de se poser des questions ouvertes peut aider à cerner toutes les dimensions de cette concrétisation : comment ? O : obstacles
Le concept de Scholarship of Teaching and Learning 1Les dispositifs de formation pédagogique pour les enseignants universitaires et les démarches de développement professionnel supposent, en amont, un cadre de référence qui définit le profil professionnel et l’expertise attendue. Il est généralement admis que le profil professionnel académique se caractérise par une double mission de recherche et d’enseignement bien que, dans la pratique, on assiste de plus en plus à une diversification des missions universitaires et que ce modèle ne soit pas aussi uniforme qu’il le semble a priori (Brew, 1999, 2002 ; Fanghanel & Trowler, 2008). À propos de cette dualité, Menges et Austin (2001) ajoutent que les enseignants universitaires témoignent d’une forte allégeance à l’endroit de leur discipline de référence et de leur formation scientifique avec pour conséquence un moindre intérêt pour la fonction complexe d’enseignant-chercheur ou pour l’enseignement en général. 3Notre contribution s’efforce d’explorer la seconde dimension, le SoTL.
Atelier L'atelier permet l'évaluation par les pairs et contient de nombreuses options permettant des scénarios pédagogiques complexes. Il est donc recommandé aux 'créateurs de cours' et aux 'enseignants' de se sensibiliser au processus (workflow) de cette activité Moodle. Le but de l'activité Atelier dans Moodle est de fournir une activité d'évaluation par les pairs. Les apprenants présentent leur travail sous forme de texte via un outil en ligne avec la possibilité de pièces jointes. Il existe deux évaluations pour un apprenant : sur leur propre travail sur leurs évaluations du travail de leurs pairs. L'atelier prend en charge : l'auto-évaluation, de multiples stratégies d'évaluation (évaluation cumulative avec notes et commentaires, critères, nombre d'erreurs, commentaires), les modèles pour l'évaluation de la pratique, l'appariement manuel, aléatoire ou programmé pour l'examen par les pairs. Le flux de travail pour le module atelier peut être considéré comme ayant cinq phases : Voir aussi
L'apprentissage par problèmes Pourquoi je n’enseigne plus comme avant ? | Enseigner dans le secondaire Pourquoi je n’enseigne plus comme avant ? Article évolutif. Mis à jour le 09/11/15. L’école est souvent perçue par les élèves, en particulier par ceux qui sont le plus en difficulté, comme un lieu d’ennui, notamment parce que c’est un lieu hors du monde dans lequel se reproduisent, de manière routinière et sans lien avec « la vraie vie », des savoirs dont ils ont du mal à percevoir l’intérêt. Ce texte se veut un témoignage et non une réflexion scientifique, le récit d’une expérience et non le compte-rendu d’une expérimentation. Quatre raisons me poussent à partager cette expérience. Changer sa manière d’enseigner pour sortir de la désolation et de l’ennui. Je suis professeur d’histoire-géographie dans le second degré (cela signifie que je peux enseigner en collège ou en lycée). Pour comprendre quelle enseignante je suis devenue, il faut savoir quel professeur j’étais. Professeur, enseignante, ce n’est pas la même chose. Enseigner, c’est une fonction, celle de l’enseignant. Pour conclure
Le « Scholarship of Teaching and Learning » (SoTL). Proposition d’un cadre pour l’accompagnement des enseignants par les conseillers pédagogiques 1Le Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) est apparu au début des années 90 dans la littérature en pédagogie universitaire (Cranton, 2011). Il consiste en un processus de développement de l’expertise des enseignants de l’enseignement supérieur en matière d’enseignement et à propos de l’apprentissage des étudiants. Brew (2011) cite quelques exemples d’activités menées par des enseignants dans le cadre de cette démarche : la conduite de recherches à propos des apprentissages des étudiants, la participation à des prix d’excellence en enseignement ou la présentation de travaux de recherche dans des journaux spécialisés ou des colloques. 2Pour les enseignants, entrer dans une démarche SoTL consiste à se poser l’une ou l’autre des questions suivantes (Brew, 2011) : Quelles sont les pratiques pédagogiques qui soutiennent efficacement l’apprentissage des étudiants ? 2.1. 9Bélanger (2010) présente les trois principales étapes pour atteindre cette expertise en enseignement-apprentissage.
Utiliser Atelier Remarque : la traduction de cette page n'est pas terminée. N'hésitez pas à traduire tout ou partie de cette page ou à la compléter. Vous pouvez aussi utiliser la page de discussion pour vos recommandations et suggestions d'améliorations. Objet de l'activité Atelier L'atelier permet l'évaluation par les pairs et contient de nombreuses options permettant des scénarios pédagogiques complexes. Étapes de fonctionnement de l'atelier L'activité atelier fonctionne selon un processus en cinq étapes. Le travail dans l'atelier suit un processus linéaire passant par les étapes suivantes : Mise en place, Remise des travaux, Évaluation, Notation de l'évaluation, et se termine par l'étape Fermé. La progression de l'activité peut être suivie dans l'écran de planification de l'activité. Étape de mise en place Dans cette première étape, les participants à l'atelier ne peuvent rien faire (ni corriger les travaux rendus, ni modifier leurs évaluations). Étape de remise des travaux Fermeture de l'atelier
L'approche par problèmes et par projets dans l'enseignement supérieur ... - Benoît Galand, Mariane Frenay
L'apprentissage par problème au collégial, une belle façon de mettre de côté son rôle d'expert et de mettre l'étudiant au centre de son savoir ! L'université de Montréal a créer un petit article qui explique les avantages et la façon de l'utiliser en classe. by mariepiermaheux2014 Feb 28