Circulaires relatives au classement et à la description (FranceArchives)
Classement et cadre de classement Circulaire AD 98-8 du 18 décembre 1998. Instruction sur le classement et la cotation des archives dans les services d'archives départementales
société française des sciences de l'info et de la com
Créez ! Soyez (tous) créatifs ! Et, bien sûr, soyez innovants ! Les appels à la création et la créativité sont devenus comminatoires tels des « impératifs catégoriques », quel que soit le secteur d’activités : les problématiques de l’innovation hantent tous les discours, sinon toutes les pratiques, y compris info-communicationnels, au travail et dans la culture, dans les territoires et les laboratoires de recherches, dans les entreprises - celles du CAC40 comme les startups.
AD33 — Cadre de classement
Dans tous les départements français de métropole et d’outre-mer, les archives sont organisées en séries selon le même cadre de classement réglementaire. Son principe et son organisation ont été fixés par l’instruction ministérielle du 24 avril 1841. Cependant, au fil du temps, des modifications ont été introduites.
Les Archiveilleurs - accueil
Les Archiveilleurs : une veille partagée en archives Les Archiveilleurs, ce sont avant tout des archivistes francophones qui, plutôt que de faire leur veille technique et documentaire sur Internet chacun de son côté, ont décidé de mettre en commun leurs trouvailles (médias en ligne, sites Internet, blogs, réseaux sociaux, etc.). Les Archiveilleurs, c’est la somme de ces trouvailles, de ces informations, de ces ressources, de ces perles, parfois brièvement commentées par leur veilleur, mises à disposition de tous. Les Archiveilleurs, c’est un outil de veille documentaire en archives, pour tous les archivistes, pour tous les records managers, pour tous les généalogistes, pour tous les professionnels de l’information-documentation.
Les archives électroniques
Une publication de l’Association des archivistes françaisCollection : Les Petits guides des archives Le développement des technologies numériques dans les organisations conduit les professionnels des archives à repenser leurs méthodes de travail. Les compétences acquises dans la gestion des archives papier demeurent pertinentes dans de nombreux cas de figure mais peuvent se décliner différemment dans la pratique. L’archivage de documents et données numériques nécessite une adaptation des méthodes d’évaluation, de sélection, de tri, de collecte, d’organisation, de description, de communication et de conservation.
outils et plates-formes d'archivage
Note d'information DGP/SIAF/2016/006 du 5 avril 2016 cosignée par le Service interminitériel des Archives de France (SIAF) et la Direction Générale des Collectivités Locales (DGCL) relative à l'informatique en usage (cloud computing) Note d'information DGP/SIAF/2016/003 en date du 25 février 2016 relative au projet OCTAVE (outil de constitution et de traitement automatisé des versements électroniques) Grille d'évaluation des systèmes d'archivage électronique, visant à apprécier leur conformité vis-à-vis des normes et standards existants (modèle OAIS, norme NF Z42-013 sur l'archivage électronique, SEDA) - Grille d'évaluation format PDF ; format XLS Nous précisons que le périmètre des tests se limite aux fonctionnalités métier des solutions d'archivage électronique.
Archives électroniques
Norme NF Z 42-013 La norme NF Z 42-013 est antérieure à la norme OAIS, puisque sa première version date de 1999, mais a été révisée dernièrement, en 2009. Cette mise à jour a permis d’élargir le périmètre de la norme à tous les types de supports numériques et non plus aux seuls disques optiques numériques non-réinscriptibles. Il s’agit plutôt d’une norme technique que d’une norme fonctionnelle. Elle met tout particulièrement l’accent sur la traçabilité de tous les processus en œuvre dans l’archivage électronique comme la numérisation de documents, l’horodatage, les communications… ainsi que sur les exigences du système en matière de sécurité et d’accès.
Classer les choses, penser les hommes (3/4) : Tous fichés ?
Aujourd’hui nos vies ont des reproductions sous forme de données ou de traces dans des serveurs et sont répliquées partout dans le monde. De quoi sont faites ces données, comment sont-elles utilisées, qu’est-ce qu’elles racontent de notre identité ? 2,5 millions de fiches et 600 000 dossiers constituent le fichier central de la sureté nationale, un incroyable «fossil archivistique» conservé aux archives nationales datant du 19ème siècle et qui raconte de manière administrative le destin de millions de personnes. Classer les signes visibles, marquer les gens, le fichage des êtres humains que ce soit économique ou politique suscite toujours des inquiétudes légitimes. Des serveurs de Pantin aux fichiers administratifs, réflexion autour du fichage et de l’identification. Qu’est ce qui fait mon identité, la vôtre, qu’est ce qui fait que je suis différent de vous, qu’est ce qui fait que vous êtes unique et que personne ne vous ressemble ?