Apprentissage social? Alors voilà, cette semaine, nous traitons de la dimension sociale de l’apprentissage : Quel rôle joue notre environnement, notre entourage dans nos apprentissages ? J’avoue que j’ai un peu été désorientée par le « butinage » proposé et par les deux expressions proposées « Social Learning et « Apprentissage par les pairs ». Y-a-t-il une différence entre les deux termes ? En lisant les premiers liens, j’ai eu l’impression que le social learning ne parlait que d’apprentissage par le réseau… "Après le e-learning, le social learning est le nouveau concept qui doit révolutionner la formation dans les années à venir. Cette approche collaborative de la transmission des savoirs a réellement pris son essor avec le développement des réseaux sociaux. ou encore: "Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres", explique Frédéric Domon. Un lien de l’article de Christine Vaufrey parle de l’apprentissage vicariant de Bandura. Like this:
La pédagogie 3.0 expliquée simplement. Le parcours de Stéphane Côté en est un où une certaine effervescence l’entoure concernant la pédagogie. Si vous l’avez déjà rencontré en personne, vous avez tout de suite remarqué son emballement quasi enfantin lorsqu’il parle de l’enseignement. En effet, il cherche, découvre, évalue, mesure l’impact de ses idées qui se tissent autour d’une approche non conventionnelle qu’il décide d’intituler la pédagogie 3.0. En 2012 il quitte son poste de conseiller pédagogique en TIC qu’il occupait depuis plus de quatre ans pour aller lui-même mettre à l’épreuve cette vision de la pédagogie actualisée afin de voir, si oui ou non, il y a matière à partager et à déployer… À son atterrissage dans la réalité d’une classe, il remarque qu’il avait oublié la pression du temps et ses effets néfastes sur la réflexion. Définition de la pédagogie 3.0 : Contrairement à une méthode, la pédagogie 3.0 est une approche complète qui englobe : Maintenant, d’où provient la nomenclature de la pédagogie 3.0? Au plaisir,
Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » Echanger des savoirs, coopérer, c’est se former; l’extraordinaire “évaluation externe” des réseaux d’échange de savoirs A l’occasion de la publication du dernier ouvrage collectif, dirigé par Claire héber-Suffrin, « Plaisir d’aller à l’école », qui narre finalement l’aventure collective de trois classes d’il y a 40 ans, qui font le bilan des savoirs ensemble, 40 ans plus tard. Quelle évaluation externe ! (video) Claire m’avait alors sollicité pour en faire la préface que je propose ici: Qu’est-ce qui fait que « l’école a du goût » ? L’innovation naît dans les marges : « à Orly les CET, à Draveil les lycées ». L’innovation est une aventure : la démarche s’est construite pas à pas, sans grande programmation ni objectifs (il en fallait un peu pour l’inspecteur), forte de convictions sincères et d’attachement aux valeurs de l’Ecole. L’innovation devient organisation apprenante. L’innovation est d’autant plus efficace qu’elle s’appuie et se nourrit de son environnement. L’innovation requiert ingénierie et transposition pour essaimer.
Apprendre à apprendre avec les cartes mentales - Canopé Besançon Ces dossiers thématiques sont archivés, nous attirons votre attention sur leur date de mise à jour. Qu'est-ce-que c'est ? Selon Wikipédia, une carte heuristique (du grec ancien εὑρίσκω, eurisko, "je trouve"), appelée aussi carte des idées, schéma de pensée, carte mentale, arbre à idées ou topogramme (mind map en anglais), est un diagramme qui représente les connexions sémantiques entre différentes idées, les liens hiérarchiques entre différents concepts intellectuels. C'est le plus souvent une représentation arborescente des données. Basée sur les avancées dans le domaine des neurosciences, la méthode a été mise au point par le psychologue anglais Tony Buzan dans les années 70. cerveau droit (couleurs, images, formes, rythmes, sentiments)cerveau gauche (mots, parole, analyse, logique, nombres, linéarité) Il définit ce concept comme "une manifestation de la pensée irradiante" et désigne des processus associatifs qui partent d'un point central. quatre caractéristiques essentielles :
Maria Montessori Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maria Montessori Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Elle est issue d'une famille bourgeoise. Son père était un militaire. En 1882, ses parents déménagent à Rome pour qu'elle fasse des études. En 1884, Maria éprouve un très grand intérêt pour les mathématiques et la cuisine. Maria intervient au congrès de pédagogie de Turin en 1899 : Guido Bacceli, Ministre de l'Éducation, lui demande de faire des conférences à Rome peu après. En 1901, elle commence à s'intéresser aux enfants « normaux ». Maria Montessori avec le journaliste américain Samuel Sidney McClure, qui fit connaître son œuvre aux États-Unis, en 1914. La création de la première Maison des enfants (Casa dei bambini) a lieu en 1907 dans le quartier populaire de San Lorenzo à Rome[2],[1]. regrouper tous ces enfants et les empêcher d'errer, de semer le désordre,procurer une meilleure hygiène et instaurer une harmonie familiale. Concepts-clés[modifier | modifier le code]
Utilisation des cartes mentales pour des dispositifs pédagogiques (dossier) La cartographie d’idées connaît depuis quelque temps un vrai regain d’intérêt. Le site Savoirs CDI à destination prioritaire des enseignants-documentalistes consacre un dossier aux cartes mentales pour une utilisation pédagogique avec des exemples de dispositifs, la présentation de critères de réussite de projets de cartes heuristiques ainsi que les limitations de l’usage du mindmapping. A quoi sert le mindmapping ? L’utilisation des cartes heuristiques permet de travailler notamment la mémorisation, l’apprentissage, la compréhension, la prise de notes, l’organisation et la présentation. Sommaire du dossier utilisation des cartes mentales pour des dispositifs pédagogiques Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : France Tags: carte heuristique, cartographie, EPN, formation, gestion de projet, pédagogie
Pédagogie Montessori La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation créée en 1907 par Maria Montessori. Sa pédagogie repose sur l'éducation sensorielle et kinesthésique de l'enfant. Description[modifier | modifier le code] La pédagogue italienne Maria Montessori étudie d'abord en médecine. Après l'obtention de son diplôme, elle est nommée assistante de clinique psychiatrique à Rome. Ce projet d'éducation nouvelle s'inscrit dans la promotion de la paix et du progrès ; il repose sur trois piliers : une posture particulière de l’éducateur, un environnement préparé et un matériel pédagogique spécifique[2]. Montessori a voulu élaborer une « pédagogie scientifique » s'appuyant sur une démarche expérimentale et des observations, dans le but d'obtenir l’épanouissement de l'enfant[3]. de 0 à 6 ans (petite enfance) : l’enfant veut apprendre à se débrouiller seul. Elle utilise du matériel repris notamment aux professeurs Jean Itard et Édouard Séguin, tout en l'adaptant aux périodes sensibles de l'enfant.
Cartes heuristiques : quels outils pour un usage pédagogique ? Dans le cadre du GIPTIC documentation de Paris (Groupe d’Intégration Pédagogique des Technologies de l’Information et de la Communication), je propose une animation sur les cartes cognitives. C’est donc l’occasion de publier un article sur le sujet, ainsi que le support de formation. cartes cognitives ? Les cartes cognitives sont des représentations graphiques et structurées des relations existant entre différentes idées. Il existe deux types de cartes cognitives : les cartes heuristiques (ou cartes mentales) et les cartes conceptuelles. Les cartes heuristiques se caractérisent par une structure radiante (du centre vers l’extérieur : façon « soleil »). Exemple par Chercher pour trouver (EBSI Montréal) Les cartes conceptuelles se structurent en réseau et se lisent du haut vers le bas. Exemple par Joseph D. A quoi ça sert ? A vous de comparer ! Comment ça fonctionne ? Quels outils ? Pour créer des cartes cognitives, il existe un grand nombre d’outils. Parmi les logiciels gratuits, on distingue :
4 étapes pour favoriser l’engagement des élèves dans les projets scolaires - Infobourg.com Dans son mémoire de maîtrise, l’enseignant Stéphane Côté a identifié 4 points qui semblent être des facteurs clés pour favoriser l’engagement de haut niveau des élèves dans les projets scolaires. Derrière chaque élément se trouve un concept central de l’approche : la motivation personnelle des jeunes. Ces 4 recommandations sont une sorte de conclusion à son projet de mémoire de maîtrise. 1. Les recherches de l’enseignant lui ont permis d’identifier qu’une erreur souvent commise par les pédagogues est de créer un climat favorisant la motivation extrinsèque plutôt qu’intrinsèque des élèves. 2. Dans son mémoire, Stéphane Côté indique avoir remarqué que l’engagement de tous les élèves s’accentue à mesure qu’un projet avance « grâce à la planification d’étapes simples, claires et significatives. » Il faut bien sûr doser entre des étapes « très intéressantes » pour les élèves et d’autres favorisant le développement des compétences disciplinaires. 3. 4. À propos de l’auteur Audrey Miller
Cartes mentales et documentation Ce dossier a été coordonné par le CRDP de Toulouse pour Savoirs CDI Rédaction du dossier : Karen Chabriac (CRDP Académie de Toulouse), Solène Font (CDDP du Tarn), Martine Manabéra (CDDP du Gers) Pour le comparatif des logiciels : Daniel Cléro (CDDP du Gers) Pour le scénario pédagogique : Armelle Mourtada, professeur documentaliste Carte mentale, carte de connaissances, carte heuristique, carte conceptuelle... de quoi s'agit-il ? De manière générale, une carte de connaissances est une représentation graphique d'un ensemble de connaissances d'un domaine. La carte heuristique [2] et la carte mentale désignent toutes deux des représentations graphiques arborescentes, hiérarchisées qui se développent autour d'une notion centrale, sans forcément insister sur la nature des relations qui existent entre les différents nœuds. Carte mentale : un nouveau concept ? Cette notion de représentation graphique de notions ou de concepts n'est pas nouvelle. Figure 1 Figure 2 De l'utilité des cartes mentales