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Related: Chapitre 1. Variation génétique et santéQu'est-ce que le diabète ? Le diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique, c’est-à-dire un excès de sucre dans le sang et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé. Découvrez dans cet article et dans la vidéo ci-dessous tout ce qu’il y a à savoir sur le diabète de type 2 et le diabète de type 1 (insulinodépendant) : causes, symptômes, traitements, facteurs de risques, dépistage... Retrouvez cette vidéo dans notre playlist dédiée aux fondamentaux du diabète sur notre chaîne officielle Youtube. Définition : qu'est-ce que le diabète ? Le diabète est un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Cela se traduit par un taux de glucose dans le sang (encore appelé glycémie) élevé : on parle d’hyperglycémie.
USA : une bactérie résistante à un antibiotique de dernier recours Une bactérie ultrarésistante, responsable d'une infection urinaire chez une patiente américaine, s'est révélée insensible à l'action de la colistine, un antibiotique de dernier recours, d'après une étude publiée le 25 mai 2016 dans une revue médicale américaine. Cette découverte renforce l'inquiétude concernant l'antibiorésistance, véritable problème mondial de santé publique. Par rédaction Allodocteurs Obésité Composition et rôle régulateur du tissu adipeux Il a été découvert que les adipocytes ne constituent qu’un tiers des cellules qui composent les tissus adipeux. Dans les deux tiers restants, on trouve des cellules souches, des lymphocytes et d’autres cellules du système immunitaire, des cellules vasculaires, des terminaisons nerveuses… Or la composition de ce tissu joue un rôle important dans la progression de l’obésité et les complications associées. Une étude Inserm, réalisée chez la souris, a montré que c’est la composition du tissu adipeux plus que sa taille qui est prédictive du risque de complications liées à l’obésité.
Résistance aux antibiotiques : un mort toutes les trois secondes en 2050 Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP Rédigé le En 2014, le gouvernement britannique a chargé l’économiste Jim O’Neill de coordonner un vaste travail d’enquête et de synthèse sur les conséquences de la progression de la résistance aux antibiotiques. Son rapport final, publié le 19 mai 2016, dresse un tableau excessivement sombre. La résistance aux antibiotiques (antibiorésistance) survient lorsqu'une bactérie mute et devient résistante aux antibiotiques utilisés pour traiter les infections. L'efficacité déclinante des antibiotiques inquiète fortement la communauté scientifique. La révolution génomique - L'Esprit Sorcier - Dossier #27 Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee ! Un dossier préparé parJean Fauquet et Benjamin Robert
La résistance aux antibiotiques est une « menace fondamentale », avertit l’ONU Ce phénomène naturel est amplifié par de mauvaises pratiques. Le sujet est inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée générale des Nations unies mercredi. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Paul Benkimoun Pour la quatrième fois de leur histoire, après le VIH-sida, les maladies non transmissibles et Ebola, les Nations unies (ONU) ont mis à l’ordre du jour une question liée à la santé. Le phénomène de résistance aux antimicrobiens était en l’occurrence à l’ordre du jour, mercredi 21 septembre, de l’Assemblée générale de l’ONU, qui se tient cette semaine à New York.
Résistance aux antibiotiques Certaines résistances posent surtout problème à l’hôpital. Les souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méticilline (SARM) sont responsables d’infections diverses, pulmonaires et osseuses, ainsi que de septicémies, en particulier dans les unités plus sensibles (soins intensifs). Toutefois, des mesures spécifiques, notamment d’hygiène, ont permis de réduire ces résistances en France (33% en 2001, 15,7% en 2015). Acinetobacter baumannii est également redoutée à l’hôpital. La part des infections nosocomiales liées à cette bactérie résistante à l’imipenème est passée de 2 ou 3% en 2008 à 11,1% en 2011. Le phénomène est d’autant plus préoccupant que cette bactérie persiste dans l’environnement et se développe préférentiellement chez des malades immunodéprimés et vulnérables.
Thérapie génique Travailler ex vivo permet de mieux contrôler les étapes, d’utiliser moins de vecteurs et d’éviter la dispersion du traitement dans des organes non ciblés. Cette solution est la plus souvent utilisée pour le traitement des maladies sanguines, car il est possible de prélever les cellules à corriger par une simple prise de sang. Par exemple, le premier médicament de thérapie génique ex vivo (Strimvelis, arrivé sur le marché en 2016) correspond à des cellules hématopoïétiques CD34+ prélevées à des patients atteints d’un déficit immunitaire sévère (ADA-DICS), modifiées au laboratoire pour qu’elles expriment le gène qui leur fait défaut, puis réadministrées. Pour d’autres maladies, telles que des maladies musculaires, respiratoires, oculaires, cardiaques ou encore neurologiques, le transfert du gène se fait in vivo, par injection du gène vectorisé directement dans l’organisme ou dans l’organe à traiter, comme un médicament. Eliminer ou réparer un gène altéré directement dans la cellule