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Chapitre 1. Variation génétique et santé

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Fiche de révision Chapitre 4 1eS THème 1A. Mucoviscidose FRfrPub49. Drepanocytose FRfrPub125v01. Maladies genetiques - C'est pas sorcier. Modifier le génome avec CRISPR — Science étonnante #18. Thérapie génique. Travailler ex vivo permet de mieux contrôler les étapes, d’utiliser moins de vecteurs et d’éviter la dispersion du traitement dans des organes non ciblés. Cette solution est la plus souvent utilisée pour le traitement des maladies sanguines, car il est possible de prélever les cellules à corriger par une simple prise de sang. Par exemple, le premier médicament de thérapie génique ex vivo (Strimvelis, arrivé sur le marché en 2016) correspond à des cellules hématopoïétiques CD34+ prélevées à des patients atteints d’un déficit immunitaire sévère (ADA-DICS), modifiées au laboratoire pour qu’elles expriment le gène qui leur fait défaut, puis réadministrées.

Pour d’autres maladies, telles que des maladies musculaires, respiratoires, oculaires, cardiaques ou encore neurologiques, le transfert du gène se fait in vivo, par injection du gène vectorisé directement dans l’organisme ou dans l’organe à traiter, comme un médicament. La révolution génomique - L'Esprit Sorcier - Dossier #27. Retrouvez toutes nos vidéos sur la chaîne Youtube de l’Esprit Sorcier Suivez-nous sur Facebook et Twitter Soutenez-nous sur Tipeee !

La révolution génomique - L'Esprit Sorcier - Dossier #27

Un dossier préparé parJean Fauquet et Benjamin Robert Rédaction en chefFrédéric Courant Direction artistique et techniquePascal Léonard Administratrice de productionDéborah Goua Assistant de productionPatrick Berger Prise de vue et montageTimothée CoignusArthur FranciusBaptiste Maret VoixFrançoise CarrièreJean-Baptiste Puech MixagePascal Stevens Relation presse et partenariatJosselin Aubrée Graphisme et animationsChristophe Pernoud – BROTHERMAN Productions Web designOlivier Hamon – VO ProductionsAntoine Chérel – ATALANTA Gestion réseaux sociaux et intégrationFlorent Chevallier. Qu'est-ce que le diabète ? Le diabète se caractérise par une hyperglycémie chronique, c’est-à-dire un excès de sucre dans le sang et donc un taux de glucose (glycémie) trop élevé.

Découvrez dans cet article et dans la vidéo ci-dessous tout ce qu’il y a à savoir sur le diabète de type 2 et le diabète de type 1 (insulinodépendant) : causes, symptômes, traitements, facteurs de risques, dépistage... Retrouvez cette vidéo dans notre playlist dédiée aux fondamentaux du diabète sur notre chaîne officielle Youtube.

Définition : qu'est-ce que le diabète ? Le diabète est un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Cela se traduit par un taux de glucose dans le sang (encore appelé glycémie) élevé : on parle d’hyperglycémie. Les aliments sont composés de lipides (graisses), protéines (protéines animales ou végétales) et glucides (sucres, féculents). Examen et diagnostic : comment savoir si on a du diabète ? Les deux types de diabète Les symptômes du diabète de type 1. DIABETE : sucres sous surveillance - C'est Pas Sorcier. Obésité.

Composition et rôle régulateur du tissu adipeux Il a été découvert que les adipocytes ne constituent qu’un tiers des cellules qui composent les tissus adipeux.

Obésité

Dans les deux tiers restants, on trouve des cellules souches, des lymphocytes et d’autres cellules du système immunitaire, des cellules vasculaires, des terminaisons nerveuses… Or la composition de ce tissu joue un rôle important dans la progression de l’obésité et les complications associées. Une étude Inserm, réalisée chez la souris, a montré que c’est la composition du tissu adipeux plus que sa taille qui est prédictive du risque de complications liées à l’obésité. Des souris obèses présentant un tissu adipeux riche en cholestérol oxydé et infiltré par des cellules pro-inflammatoires (notamment des macrophagesmacrophagesCellule du système immunitaire chargée d’absorber et de digérer les corps étrangers) ont une espérance de vie réduite d’un tiers.

Rôle de l’épigénétique dans l’obésité. DBY #5 - Les bourrelets de l'évolution : être gros est-il un avantage ? Manger Bouger. Le Cancer — Science étonnante #43. Le cancer est-il un organisme vivant ? - DBY #60. (3) PNN 21 - 6 BULLSHITS SUR LE CANCER. Association de lutte contre le Cancer. Institut National Du Cancer - Accueil.

Dirty Biology #56 Cette guerre microbiologique que nous sommes en train de perdre - C'est pas sorcier -ANTIBIOTIQUES : bactéries font de la résistance. Résistance aux antibiotiques. Certaines résistances posent surtout problème à l’hôpital.

Résistance aux antibiotiques

Les souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méticilline (SARM) sont responsables d’infections diverses, pulmonaires et osseuses, ainsi que de septicémies, en particulier dans les unités plus sensibles (soins intensifs). Toutefois, des mesures spécifiques, notamment d’hygiène, ont permis de réduire ces résistances en France (33% en 2001, 15,7% en 2015). Acinetobacter baumannii est également redoutée à l’hôpital. La part des infections nosocomiales liées à cette bactérie résistante à l’imipenème est passée de 2 ou 3% en 2008 à 11,1% en 2011. Le phénomène est d’autant plus préoccupant que cette bactérie persiste dans l’environnement et se développe préférentiellement chez des malades immunodéprimés et vulnérables.

Deux phénomènes importants dominent l'actualité des résistances. Pseudomonas aeruginosa, responsable de nombreuses infections nosocomiales, présente ainsi plus de 25% de résistance aux carbapénèmes.