Quantum coherence controls the charge separation in a prototypical artificial light-harvesting system : Nature Communications
Steady-state optical spectroscopy We chose a supramolecular carotene–porphyrin–fullerene triad, rather than the conceptually simpler porphyrin/fullerene dyad, as a model for exploring charge-transfer dynamics14, 15 because of the protective role of the carotene, suppressing photobleaching. The compound consists of a porphyrin ring acting as the primary light absorber, a fullerene electron acceptor and a carotene group serving as a hole stabilizer (Fig. 1a). It is known that photoexcitation of the porphyrin triggers an ultrafast electron transfer to the fullerene13 with a charge-separation yield of up to 95%11. Subsequent electron transfer from the carotene to the porphyrin cation on a 100-ps timescale forms a long-lived charge-separated state, which decays back to the ground state via the radical-pair mechanism on a microsecond timescale. (a) Chemical structure of the carotene–porphyrin–fullerene light-harvesting triad. Full size image (107 KB) Ultrafast optical spectroscopy
Rythme cérébral
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les caractéristiques des rythmes cérébraux dépendent de l'état psychologique et, le cas échéant, pathologique de la personne chez qui on les enregistre. Ainsi, l'enregistrement de l'activité rythmique cérébrale permet d'étudier les phases du sommeil ou de caractériser des maladies neurologiques, telles que l'épilepsie. Un exemple d'oscillation neurale est celle des félins : une oscillation neurale située proche de l'hypothalamus[1] entraîne la contraction du larynx et par voie de conséquence le ronronnement[2]. Principaux rythmes cérébraux observés chez l'être humain[modifier | modifier le code] Une seconde de signal EEG. Les activités électriques cérébrales rythmiques sont classées selon leur fréquence : Rythmes cérébraux et stades du sommeil[modifier | modifier le code] Un adulte éveillé émet habituellement des ondes alpha et beta. Perspectives et applications[modifier | modifier le code] Synchronisation neuronale[modifier | modifier le code]
La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau
Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l'activité de l'amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d'anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB) Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau. S'engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l'Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience. Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d'une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd'hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c'est-à-dire subsistant après l'activité de méditation proprement dite. Résultat ?
NDE : l'ultime frontière ?
Rythmes cérébraux, activité électro-encéphalo-graphique
L'électro-encéphalographie (EEG) est une technique d'exploration cérébrale généralement non invasive, consistant à mesurer l'activité électrique à la surface ou à l'intérieur du cerveau, à l'aide d'électrodes sensibles aux différences de potentiel électrique. Bien que les différences de potentiel soient extrêmement faibles (amplitude de l'ordre du microvolt à la centaine de microvolts), les données recueillies permettent d'établir des tracés dans le temps de cette activité électrique. Depuis l'invention de l'electro-encéphalographe, les scientifiques ont mis en évidence l'existence de formes périodiques sur les tracés, les rythmes cérébraux. Un rythme cérébral désigne ainsi une oscillation électromagnétique dans une bande de fréquences définie, résultant de l'activité électrique synchrone d'un grand nombre de neurones du cerveau, telle qu'on peut l'observer en électroencéphalographie. Les principaux rythmes cérébraux et activités cérébrales se classent selon leur fréquence :
Carl Gustav Jung, Carl Jung, Jung, benjamin libet, psychanalyse, neuroscience .
En 1973 Benjamin Libet de l’université d’état de Californie à San Francisco, dans une série d’expériences fascinantes, a prouvé que la prise de conscience suite à un stimulus sensoriel, (stimulation électrique sur le cerveau) se produit 500 millisecondes (temps neuronal) après le stimulus. Lors de certaines opérations du cerveau, il a obtenu l’autorisation des patients de réaliser une expérience, qui consistait à stimuler avec des électrodes la zone du cerveau à l’air libre, (la boite crânienne étant ouverte ) qui correspondait à la zone d’activité d’une piqûre au doigt. Le sujet réveillé déclare après 500 millisecondes sentir la piqûre. C’est-à-dire que la plupart des expériences conscientes, requièrent une période minimale substantielle d’activation corticale de350 à 500 millisecondes pour accéder à la conscience. (voir la figure ci-dessous). Libet conçut donc une expérience où il pouvait chronométrer trois événements : (voir la figure ci-dessous). Pour en savoir plus ; WordPress:
The brain’s swan song: hyperactivity near death – Neurorexia
TL;DR: Near-death experiences are ‘electrical surge in the dying brain? …But dude, what does it all mean? Image: A last hurray before death? A biological basis for near-death experiences? We often think of death as flipping a switch: one minute you’re there, next all lights go out. Reports of NDE are nothing new. Jimo Borjigin et al. 2013. Researchers fitted 9 rats with electrodes to measure their brain waves – rhythmic brain activity generated by feedback connections between large numbers of neurons that differ in frequency. Why? Back to the study. After cardiac arrest, gamma waves also showed higher levels of synchrony – that is, the neural activity in various brain regions became more “in tune”, even compared to an awake state. Sounds a bit too philosophical? For one, there is absolutely no direct proof that gamma waves reflect NDEs. I’m not bashing research on consciousness. Note: I’d love for EEG experts out there pitch in. Like this: Like Loading...
Les ondes cérébrales | Néoconscience
Des chercheurs ont découvert que nos différents états de conscience correspondent à des ondes cérébrales spécifiques. La fréquence de nos ondes cérébrales change en fonction de nos états mentaux. Les ondes Bêta 13 Hz et plus : concentration, état de veille actif, affirmations et intentions spirituelles. La ondes Alpha 8 à 12 Hz : rêve éveillé, méditation, hypnose, visualisation… Les ondes Thêta 5 à 7Hz : visualisation lucide, début de la phase vibratoire, états de transe ; hypnose et méditation profondes, état hypnagogique. Les ondes Delta 0,5 à 4 Hz : Guérison, conversion de rêve et réveil onirique, sommeil profond. Les ondes bêta correspondent à notre état de veille normal. L’état thêta est aussi appelé « état crépusculaire », car il se situe entre la veille et le sommeil. Ces ondes sont encore plus lentes que les ondes thêta, leur fréquence se situant sous la barre des 4Hz. Le procédé Hemisync Sans Hemisync Avec Hemisync Source : Like this:
Neurosciences méditatives: Les bruits du cerveau
par Alain GourhantBlog.Psychotherapie-Integrative.com Une brève histoire des recherches sur le cerveau des méditants Cela a commencé il y a de nombreuses années déjà. Dès 1960, la « méditation transcendantale » avait commencé des mesures physiologiques et chimiques sur la pression artérielle, la fréquence cardiaque, les ondes du cerveau de ses méditants : mais cela faisait toujours un peu « secte », même aux Etats-Unis. A partir de 1970 le cardiologue américain Herbert Benson commence des études très scientifiques sur les effets de la relaxation par rapport au stress ; il poursuit avec la méditation, et cela donnera un congrès en 1995 « Science et tradition religieuse » qui aura beaucoup d’impact. Il faut aussi parler de Fransesco Varela, neurobiologiste chilien au parcours compliqué, qui le conduit à Harvard puis au CNRS en France, et qui dès 1985 commence des études scientifiques pour établir un dialogue entre bouddhisme et sciences. À propos de l’auteur