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Théoricien : RENSIS LIKERT

Théoricien : RENSIS LIKERT
Psychologue et auteur américain, il a prolongé les travaux de MAYO et LEWIN. Il a développé le principe de la relation intégré comme principe majeur d'organisation (théorie des années 50). Il a préconisé une organisation du travail par groupe, car il considérait que cela créait de meilleures relations entre chacun. Selon LIKERT, le principe de relations intégrées est un principe majeur de l'organisation: chacun doit se sentir important et nécessaire au sein de l'entreprise, car personne ne peut travailler efficacement s'il n’a pas conscience d'être utile. Les enquêtes de LIKERT montrèrent aussi que le management se situe dans 4 catégories: ? Likert a, ainsi, conseillé le chevauchement des groupes, pour réduire les distorsions dans le cheminement des informations et a préconisé le style de direction participative. Related:  MDE

Théoricien : HERBERT SIMON Économiste américain, prix Nobel d’économie en 1978. Il a appliqué l’analyse de gestion des entreprises avec l’application des théories de sciences du comportement. Simon a développé le concept de la rationalité limitée pour analyser le comportement organisationnel et la prise de décision. Selon ce modèle, l’organisation est envisagée comme un système composé de plusieurs acteurs évoluant dans une situation à rationalité limitée. Simon a mis en évidence les limites de la rationalité des décisions : - l’environnement est trop complexe pour être appréhendé dans sa globalité - la connaissance des conséquences d’une décision est toujours partielle - il est difficile d’évaluer les conséquences futures d’une décision - le plus souvent, on examine qu’un nombre restreint de choix possibles Ainsi, la rationalité d’un individu est limitée faute de temps, faute de capacité, faute d’informations. De plus, Simon a défini deux types de décisions : - décisions programmable?

Théoricien : ALFRED PRICHARD SLOAN Alfred Sloan passa la totalité de sa carrière à la Général Motors, dont 33 ans comme Directeur général puis Président. Il n'a écrit qu'un seul ouvrage : "my years with General Motors ". Il est connu pour avoir fait de GM la première société mondiale, grâce à la décentralisation coordonnée. Les principes de la décentralisation, selon Sloan, sont les suivants : - Les divisions doivent être autonomes et jugées d'après la rentabilité du capital investi. - Certaines fonctions et certains contrôles doivent être centralisés (finances, juridique, publicité …) - La Direction Générale ne doit pas s'occuper d'exploitation mais de politique générale. - L'organigramme doit prévoir des passerelles afin que chaque division soit représentée, de manière consultative, dans les autres divisions. Il pense que la décentralisation procure initiatives, responsabilités, efficacité et réduit considérablement le temps de réponse apporté à tout problème.

Livres de management : Michel Crozier (sociologue) Le sociologue analyse le succès de "L'acteur et le système", un grand classique du management. Plus de vingt-cinq ans après sa parution, L'acteur et le système reste une référence, au milieu d'une offre surabondante de livres de management. En analysant l'interaction entre les individus (les employés) et l'organisation (l'entreprise), Erhard Friedberg et Michel Crozier ont apporté des clés pour mieux comprendre l'entreprise. Ce dernier revient sur le succès de son ouvrage et l'utilité de la sociologie pour le management. Votre ouvrage "L'acteur et le système" a été spontanément cité par de nombreux lecteurs dans le cadre d'une enquête en ligne du Journal du Management. Votre livre donne également des clés pour mieux se positionner dans l'organisation. Si vous deviez écrire "L'acteur et le système aujourd'hui", serait-il le même ? En termes de management, quelle évolution majeure observez-vous depuis la sortie de "L'acteur et le système" ? Lisez-vous des ouvrages de management ?

Les styles de direction – la décentralisation du pouvoir Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique. Les résultats de ses recherches sont publiés en 1961 dans un ouvrage intitulé « Le gouvernement participatif de l’entreprise ». A partir d’enquêtes auprès de directeurs de grandes compagnies d’assurances, il observe que ceux qui ont les résultats les plus médiocres présentent des traits communs. 1 – Le manager autoritaire La crise ?

Joseph Schumpeter (1883-1950) : il a vu dans l’innovation le moteur du business Etre «un grand amant, un grand cavalier et un grand économiste», tels étaient les trois grands vœux de Schumpeter. Mais il ajoutait, modeste sur son influence intellectuelle, que «la vie, hélas, n’en avait exaucé que deux.» Joseph Aloïs Schumpeter est né à Triesch, ville austro-hongroise de Moravie, en 1883, l’année de la mort de Marx et de la naissance de Keynes. En 1901, il entre à la faculté de droit de Vienne. Tous droits réservés Après la Première Guerre mondiale, il abandonne provisoirement l’enseignement et entame une carrière politique. Après ces échecs, Schumpeter retourne définitivement à l’université. Son bilan ? Pas gâté, Schumpeter s’est fait plaquer par sa première femme – qu’il trompait –, a perdu la deuxième en couches – il l’avait épousée sans divorcer de la précédente – avant de trouver enfin chaussure à son pied… à 54 ans. «Le rôle de l’entrepreneur consiste à faire une réussite d’une saucisse ou d’une brosse à dents», affirme Schumpeter. Guillaume Denizo

La matrice d'Ansoff - Marketing digital La matrice d'Ansoff a paru pour la première fois dans la Harvard Business Review en 1957, dans l'article intitulé " Stratégies de diversification ". Elle est surtout utilisée dans le cas d'un objectif de croissance. En considérant que le chemin de la croissance passe par la combinaison entre les produits existants et les produits nouveaux, comme entre les marchés existants et les marchés nouveaux, cette matrice présente quatre choix stratégiques pour atteindre cet objectif : pénétration de marché, développement de marché, développement de produit et diversification. Pourquoi l'utiliser ? Objectif L'objectif de cette matrice est de déterminer quelle est la meilleure stratégie de croissance, compte tenu de ses marchés et produits. Contexte Cet outil est utilisé par les responsables marketing qui ont des objectifs de développement d'activité. Comment l'utiliser ? Étapes Méthodologie et conseils Cette matrice permet d'appréhender le couple produit-marché au regard d'un objectif de croissance.

Joseph Schumpeter Joseph Schumpeter naît en 1883, la même année que Keynes et l’année de mort de Marx. Comme eux, il aura jusqu’à sa mort en 1950 une réputation d’économiste « hérétique », qui bouscule la pensée économique établie. Professeur à Harvard à partir des années 1930, il formera les économistes les plus brillants de l’après guerre. Ce qui l’intéresse par-dessus tout, c’est l’évolution du système capitaliste : « il constitue, de par sa nature, un type ou une méthode de transformation économique, et non seulement il n’est jamais stationnaire mais il ne pourra jamais le devenir » écrit-il en 1942. Le moteur du système, c’est l’innovation et le progrès technique à travers le phénomène de « destruction créatrice ». Les 5 formes d'innovations Joseph Schumpeter distingue à ce titre 5 formes d’innovations : l'innovation de produits ;l'innovation de procédés ;l'innovation de modes de production ;l'innovation de débouchés ;l'innovation de matières premières.

chapitre 4 : styles de direction et processus de décision I Les caractéristiques des styles de direction Rensis Likert (1903-1981), psychologue américain, a conduit des recherches sur la mesure des attitudes et du comportement des individus dans les organisations. Ces recherches l’ont amené à étudier les systèmes de management appliqués dans les entreprises, et notamment les interactions entre responsables et subordonnés. À partir des réponses à un questionnaire soumis à des cadres d’entreprises américaines et portant sur l’attitude des responsables, le système de motivation, le processus de communication, les rapports entre subordonnés, le processus de décision, la fixation des objectifs, le contrôle des résultats et l’évaluation de la performance, Rensis Likert a construit quatre systèmes d’organisation ou de management. Robert Rogers Blake et Jane Srygley Mouton ont construit, à partir des réponses de managers à un questionnaire, une grille managériale qui propose une représentation à deux dimensions du style de leadership. II. 1. 2.

Le manager selon Mintzberg - Management De façon instinctive, un manager est vu comme une personne qui organise, planifie, coordonne, contrôle. Les travaux de H.Mintzberg ont montré une réalité plus complexe, avec un travail morcelé : Beaucoup de travail, un rythme soutenu Une activité caractérisée par la brièveté, la variété, la fragmentation La préférence pour l’action L’importance de la communication verbale Le cadre : à la charnière entre son organisation et un réseau de contacts Un mélange de droits et de devoirs un travail s’exerçant sur trois niveaux différents : l’information, le contact avec les personnes et l’action. Les 3 niveaux de travail du manager Illustration : H.Mintzberg, "Out the Manager’s Job", Sloan Management Rewiew, 1995 H Mintzberg a ainsi décomposé le travail de manager en 10 rôles répartis sur ces trois niveaux L’Information Observateur actif Le fait d’avoir un rôle de liaison permet au cadre d’avoir beaucoup plus d’informations que son équipe. Rôle de porte parole Contact Inter-personnel Symbole Leader Entrepreneur

Théorie des parties prenantes | fabien95 La théorie des parties prenantes (TPP ou SHT) fait l’objet d’une attention croissante depuis la publication de l’ouvrage fondateur de Freeman en 1984. Le concept de parties prenantes, selon Freeman (1984, p.31), a été employé pour la première fois en 1963 lors d’une communication au sein du Stanford Research Institute. Mais le véritable ouvrage fondateur de cette théorie fut le « strategic management : a stakeholder approach » de Freeman en 1984. 1. Le terme Stakeholder (SH) peut se traduire « partie prenante » (PP) mais aussi « partie intéressée » voire « ayant droit ». Ainsi Freeman définit le concept de partie prenante : « une partie prenante dans l’organisation est (par définition) tout groupe d’individus ou tout individu qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs organisationnels » (Freeman, 1984). D’autres auteurs proposent une vision beaucoup plus étroite des SH. On utilise plus habituellement aujourd’hui la classification des SH d’A. 2. b. c. 3. G.R. a.

L’entrepreneur créateur de valeur | Pedagogic Agency Blog La fascination pour l’entrepreneur Bill Gates à 22 ans. Il a déjà fondé Microsoft. Dans 3 ans, sa fortune est faite. Création de valeur, innovation, entreprenariat, … sont des mots à la mode. Héros des temps modernes, l’entrepreneur devient l’homme le plus riche du monde en moins d’une décennie. Joseph Aloïs SCHUMPETER naît en 1883 à Triesch au sein de l’Empire Austro-hongrois. Bien que d’origine bourgeoise, il souhaite maintenir le leadership de l’aristocratie et croit fermement qu’il est possible de sauver partiellement l’Empire Austro-hongrois. Même s’il prophétise l’avènement inexorable du socialisme, SCHUMPETER se garde, très tôt et pour toujours, du marxisme et du nazisme. L’APPROCHE SCHUMPETER : Comment elle a été élaborée, avec qui et avec quoi ? Werner Sombart SCHUMPETER a fait des études supérieures pour devenir un professeur et chercheur reconnu. Friedrich Nietzsche L’entrepreneur a une mission et un profil adapté. L’entrepreneur doit réunir 4 capacités Wikipedia Articles :

La gestion des conflits dans les organisations L’idée de conflit rayonne sur de nombreuses notions mentionnées dans les programmes de première et de terminale. Cette influence dévoile l’importance de la maîtrise du conflit dont les conséquences peuvent être fatales pour l’organisation. Notions du programme de première en relation avec le sujet : Les facteurs du comportement (facteurs psychologiques) La dynamique comportementale (perception, sensations, attitude et comportement) La communication (construction du sens, écoute active, importance du contexte, influences) Organisation (efficacité organisationnelle) Notions du programme de terminale en relation avec le sujet : Le groupe et la dynamique du groupe (cohésion, décision, leadership…) La communication (informelle, organisée…) Les conditions de travail (taux d’absentéisme, de rotation, stress…) La performance (individuelle ou collective) Introduction : Avant de commencer cette étude sur la gestion des conflits dans les organisations, il faut correctement délimiter notre sujet. I. 1.

Peter Drucker : Finalités des entreprises - BTS NRC Toutes entreprises sont créées dans un but précis. Au delà de répondre à un besoin, les entrepreneurs créent une entreprise dans plusieurs buts. Peter Drucker à établi plusieurs finalités, les voici : Les finalités des entreprises selon Peter Drucker Finalité financière La minimisation des coûts et la recherche du profit font partie des actions menées dans toutes les entreprises. Finalité économique Lorsqu’une entreprise développe une clientèle et la fidélise autour d’un service ou d’un produit, il s’agit d’une finalité économique.On y ajoute la notion de la qualité de la production. Finalité sociale Le but de cette finalité est de proposer des salaires et participer à la formation continue. Finalité environnementale L’objectif est de maintenir la production en respectant l’environnement et les ressources naturelles tout en offrant aux consommateurs un produit qui n’est pas dangereux. Finalité sociétale Il existe 2 types de management pour mettre en place les finalités.

Finaliser et décider Chapitre 2 : Du projet entrepreneuriale au management

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