Blog: la respiration : exercices La relaxation progressive de jacobson Le training autogène de Shultz Le training autogène de R Abrezol La relaxation est un des outils incontournables de lasophrologie car qu’elle permet d’atteindre un état de conscience modifié, appelé communément « au bord du sommeil » et qui favorise la communication avec notre cerveau émotionnel (cerveau limbique). Une pratique constante de la relaxation ou de laméditation installe un mécanisme protecteur contre les automatismes et schémas de pensée anxiogènes. Détendre le corps c’est détendre l’esprit. Détendre l’esprit c’est détendre le corps. L’inspiration de l’artiste, le deuxième souffle, le souffle de la vie, le souffle coupé, etc. Au premier plan, bien évidement, l’apport en oxygène. Pour autant, pensons-nous souvent à sa fonction de régulateur émotionnel ? Un cerveau mal oxygéné stresse plus vite. L’école nous a-t-elle déjà enseigné l’importance de l’acte respiratoire et les techniques pour en tirer le meilleur parti ?
Comment foutre le bordel dans sa tête J’adore ce titre. Il m’est venu alors que je m’intéressais à une théorie connue en psychologie sociale au doux nom de “dissonance cognitive”. La dissonance cognitive, nous la connaissons tous à un moment ou un autre quand nous ressentons un état de tension psychologique inconfortable à l’issue d’un conflit interne entre ce que nous croyons et ce que nous faisons. Nous avions déjà abordé le sujet de la congruence dans un précédent billet. La plupart des gens ont une vision plutôt favorable d’eux-mêmes. Bref, en matière de cohérence cognitive, il y a quelques grumeaux dans la pâte. Le moment où la dissonance cognitive devient psychologiquement inconfortable dépend de son ampleur. La réflexion légitime qui pourrait venir à ce moment du billet est la suivante : “ Dans ce cas, c’est simple, évitons d’agir en désaccord avec nos croyances et valeurs et n’en parlons plus.” OK, sauf que le truc ne fonctionne pas dans ce sens, chers lecteurs. “À quel point es-tu sûr(e) que ton choix est le bon ?”
Stress chez l'humain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le stress qualifie à la fois une situation contraignante et les processus physiologiques mis en place par l'organisme pour s'y adapter. Chez l'homme adulte, le stress peut avoir des origines physiques, pathogéniques (ayant une maladie génétique, infectieuse ou parasitaire comme origine par exemple), socio-psychiques, médiées par divers processus hormonaux (hormones de stress[1]), chimiques et biochimiques de l'organisme. À court terme, un stress modéré n'est pas nécessairement mauvais, sinon indispensable, mais ses effets à long terme peuvent engendrer de graves problèmes de santé. Définition[modifier | modifier le code] En biologie, le stress est une réponse de l'organisme pour maintenir l'équilibre biologique dans un état fonctionnel. Ambiguïtés[modifier | modifier le code] Concept[modifier | modifier le code] Le stress existe depuis très longtemps déjà. Le stress pouvait avoir comme cause une excitation émotionnelle. 1. 1. 1.
Salut, ça va ? … ! Un grand classique de la convivialité le matin : on se croise et c’est au premier qui va dégainer : « salut, ça va ? ». Mais est-ce toujours de la convivialité ? Prenons quelques cas de figure. Façon « Hep taxi ! Je lance mon « salut ça va ? mais pourquoi ne m’a-t-il pas répondu ? Bon, j’ai aussi le droit de penser que le collègue ne m’a pas entendu, pas vu. Façon « Le train ne s’arrêtera pas à ma gare » Prenons, maintenant le cas inverse où c’est mon collègue qui a dégainé le premier : « salut, ça va ? Il faut que je vous explique qu’entre le « salut » et le « va », le collègue a parcouru 2 mètres et qu’il continue son chemin sans même attendre la réponse. Pas top, pour la convivialité, non plus ! Façon « Ai-je le choix de ma réponse ? Cette fois-ci, c’est mon chef qui m’apostrophe avec le maintenant fameux « salut, ça va ? Au niveau de la convivialité, pourrait-on appeler ça … le minimum syndical ? Façon « Si j’aurais su, j’aurais pas venu » La convivialité aurait-elle des limites ?
Article : 7 exercices pour être zen Ce long week-end a été un moment idéal pour être tendre avec soi-même, corps et esprit. Il s'agit maintenant de rééquilibrer le dynamisme de l'action et la douceur de la détente. S'écouter, prêter attention à toutes les sensations qui nous habitent à l'instant " t " permet de se rééduquer aux petits plaisirs de la vie. Et de les réveiller tout au long de l'année, au travail ou à maison. Sept exercices à pratiquer... sans modération. 1. Encore dans un demi-sommeil, prenez conscience de la position allongée de votre corps, de son poids, de ses zones de contact avec le matelas. 2. Une fois devant votre bol de café (ou de thé) fumant, fermez les yeux. 3. Programmez-vous de courtes marches découvertes, d'un pas alerte. 4. L'idée n'est pas de dormir mais de se relaxer de 1 à 5 minutes. 5. 6. Campez-vous debout, les pieds bien à plat sur le sol. 7. (1) Coauteur avec Géraldine Lemoine de Les cartes de la détente/minute, Le Courrier du Livre, 2008.
Qu'est-ce que l'empathie ? C’est un comble chers lecteurs ! Je prétends traiter de sujets liés aux relations humaines et à la communication depuis plus de deux ans et je me rends compte aujourd’hui que je n’ai jamais parlé d’un des fondamentaux de ce domaine, l’empathie. Je compte bien rétablir la cohérence de la ligne éditoriale de ce blog en partageant cette semaine avec vous mes dernières lectures sur le sujet. Étymologiquement, « empathie » provient du terme Einfuhlung, qui fait référence à la projection d’une personne dans la situation de l’autre. D’après Jean Decety, neurobiologiste, professeur à l’université de Washington, et directeur du laboratoire Social Cognitive Neuroscience à Seattle, l’empathie ne peut s’envisager que lorsque la personne fait l’expérience d’une réponse émotionnelle face à l’émotion d’autrui. Voici donc une définition de l’empathie : La première caractéristique de l’empathie est donc la réponse émotionnelle ou réponse affective. Pour résumer : À la semaine prochaine.
Réponse combat-fuite Chez les animaux, plusieurs espèces préfèrent combattre plutôt que de fuir. Un exemple ci-contre avec des coqs. D'autres, cependant, préfèrent fuir par peur ou pour éviter tout conflit. La réponse combat-fuite a été décrite pour la première fois en 1929 par le physiologiste américain Walter Bradford Cannon[1]. Physiologie[modifier | modifier le code] Les catécholamines facilitent les réactions physiques immédiates associées à une préparation pour une action musculaire violente. Psychologie de la réponse au stress[modifier | modifier le code] Un exemple typique de la réponse au stress, dans la zoologie, est le zèbre, qui maintient calmement une homéostasie. Bien que Cannon, ayant originellement proposé la réponse combat-fuite, ait mis en avant ces évidences considérables chez de nombreux animaux, sa théorie paraissait trop simpliste. La menace d'autres animaux ne résulte pas directement à une réponse combat-fuite. Manifestations du combat-fuite[modifier | modifier le code] Conditions
10 bonnes raisons de se moquer du regard des autres Une difficulté que je rencontre fréquemment chez mes clients, qu’ils soient salariés, indépendants, managers ou chefs d’entreprise c’est d’affronter sereinement le regard des autres. Voici 10 excellentes raisons de ne plus nous préoccuper d’un juge qui existe avant tout dans nos têtes. Le regard des autres nous intimide, nous impressionne, il influence nos opinions comme nos comportements. Il devient rapidement une sorte d’entité autonome – les Autres – dont l’œil impitoyable serait à l’affût du moindre manquement, du plus petit défaut, pour nous mettre ensuite au pilori, voire au banc de la société. Et comme – curieusement? Du coup, nous passons beaucoup de temps à passer nos comportements au moulin à jugement avant d’agir et l’écart entre ce que nous sommes, ce que nous voudrions bien pouvoir être et l’image que nous nous efforçons de donner se creuse jusqu’à atteindre des proportions dignes du Grand Canyon. Voici donc dix bonnes raisons de se moquer de ce regard fatigant. Voir aussi
Y arriver malgré tout - Jacques Lecomte, article Psychologie Le sentiment d'efficacité personnelle, concept défini par Albert Bandura, désigne la confiance qu'a un individu en sa capacité à mener à bien une activité. Ce sentiment lui permet alors de s'engager plus aisément dans l'action et de persévérer malgré les difficultés. Y a-t-il une disposition psychologique apte à faciliter de bonnes performances sportives, à améliorer les résultats scolaires, à permettre aux phobiques de guérir de leurs troubles, à inciter des patients à respecter les prescriptions de leur médecin, à améliorer la compétence organisationnelle des managers, etc ? Oui, répond Albert Bandura, professeur de psychologie à l'université de Stanford. Il s'agit du sentiment d'efficacité personnelle, appelé aussi « auto-efficacité », thème auquel il a consacré un volumineux ouvrage récemment (1). Le parcours des innovateurs Un sentiment optimiste d'efficacité personnelle constitue une attitude adaptative. Ceci peut notamment se constater dans le domaine artistique et littéraire.
Les meilleurs leaders se reconnaissent à leur humilité Chroniques d’experts Leadership Le 05/11/2014 Dans un marché mondialisé, où les problèmes gagnent sans cesse en complexité, personne ne saurait avoir toutes les réponses. C’est pourquoi l’humilité fait partie des traits de personnalité dont Lazlo Bock, vice-président directeur des ressources humaines chez Google, est à l’affût lorsqu’il recrute des cadres dirigeants. « Il ne s’agit pas seulement de faire preuve de modestie en laissant de l’espace aux autres et en cherchant à régler les problèmes collectivement, précise-t-il ; je recherche une forme d’humilité intellectuelle. A leaders altruistes, salariés mieux intégrés Une étude récente que nous avons conduite au sein du centre de recherche Catalyst confirme cette approche : elle classe l’humilité comme l’un des quatre facteurs essentiels de leadership servant à créer un environnement de travail facilitant l’intégration de salariés provenant d’horizons différents. Plus de créativité et de solidarité au sein des équipes
Stress Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L'idée du concept de stress et de syndrome général d'adaptation lui est venue en 1925 alors qu'il étudiait la médecine à l'Université de Prague[1]. Par la suite il a développé le concept de Eustress. Les travaux de recherche portent sur l'être humain (avec la psychologie, psychiatrie...) ou relèvent de l'éthologie en s'appuyant sur l'étude du comportement de différentes espèces face au stress (dans la nature ou dans les élevages ou chez l'animal domestique), ou sur des expériences de laboratoire basées sur le modèle animal (rat de laboratoire ou souris le plus souvent ; exposés à des décharges électriques, un risque de noyade ou lors d'une expérience récente à de la litière de chat. Définitions[modifier | modifier le code] En fait, C’est la double-perception d’un état de divergence entre une demande d’adaptation à un moment donné et la capacité à y faire face. Les Stades[modifier | modifier le code]