background preloader

Intégrer et manager la génération Y

Intégrer et manager la génération Y
Il y a quelque mois que je n’ai pas abordé la question de la génération Y sur ce blog. A l’occasion de la sortie du livre de l’auteur du blog lagenerationy.com, Julien Pouget un ancien collègue, c’est l’occasion de revenir sur ce thème. Son livre, Intégrer et manager la génération Y se découpe en 4 grandes parties : les grands principes et chiffres autour du concept de génération YLa question de l’attraction par les entreprises de cette générationCelle de son intégrationEt enfin celle de son management Dans un précédent billet pour un plateau TechToc TV (avec Julien Pouget entre autre), la question de l’attraction et l’intégration a été largement développée. Bien sûr, quand on parle collaboratif en entreprise, on pense souvent à un réseau social d’entreprise et donc nouvelles technologies. Mais cette question des technologies n’est que la partie immergée de l’iceberg, abordons plutôt la partie 4 du livre, celle du management. Related:  Web / Generation Y

Millennials: Confident. Connected. Open to Change. - Pew Social & Demographic Trends Executive Summary Generations, like people, have personalities, and Millennials — the American teens and twenty-somethings who are making the passage into adulthood at the start of a new millennium — have begun to forge theirs: confident, self-expressive, liberal, upbeat and open to change. They are more ethnically and racially diverse than older adults. They’re less religious, less likely to have served in the military, and are on track to become the most educated generation in American history. Their entry into careers and first jobs has been badly set back by the Great Recession, but they are more upbeat than their elders about their own economic futures as well as about the overall state of the nation. They embrace multiple modes of self-expression. Nearly one-in-four have a piercing in some place other than an earlobe — about six times the share of older adults who’ve done this. They are the least overtly religious American generation in modern times. They respect their elders.

Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveau Par Hubert Guillaud le 01/12/08 | 25 commentaires | 24,649 lectures | Impression La Fondation Mac Arthur vient de livrer les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes. Selon les conclusions de l’étude Vivre et apprendre avec les nouveaux médias, le temps que les adolescents et les jeunes adultes passent en ligne, sur MySpace ou sur leur messagerie instantanée, n’est pas une perte de temps, mais leur permet de grandir, de mûrir. Typologie des pratiques des jeunes Interviewée longuement (seconde et troisième partie) avec d’autres auteurs de l’étude sur le blog d’Henry Jenkins (ex-directeur du programme d’études comparée des médias au MIT), Mimi Ito explique que l’apport principal de l’étude a été de comprendre comment différents types de pratiques étaient reliés les uns aux autres.

Site - La Génération Y - Julien Pouget Et si la génération Y n'était qu'un mythe ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean Pierre Bouchez, professeur associé, université de Versailles-Saint-Quentin, directeur scientifique du Groupe Merlane Deux "mondes" qui observent, analysent cette fameuse génération Y, approximativement âgée de 20 à 30 ans, aboutissent à des visions pour le moins contrastées… D'une part, un "monde" regroupant une majorité d'auteurs-consultants d'ouvrages managériaux, et d'autre part quelques rares chercheurs issus du "monde académique". Le premier "monde" alimente quantitativement très largement ce nouvel engouement pour les jeunes Y, décrivant de manière convergente et consensuelle les caractéristiques majeures de cette génération, notamment à travers les fameux "4 I" : Interconnectés, Inventifs, Individualistes et Impatients (qui peuvent naturellement correspondre à une certaine réalité), au regard d'autres générations. Que penser de ce décalage ? Jean Pierre Bouchez est le créateur de Planète Savoir.

Génération Y : L’éducation comme enjeu Je reviens sur l’article que j’avais publié la semaine passée concernant la génération Y, issu de mes notes sur l’intervention de Benjamin Chaminade à Lorient lors de la journée Web et entreprises. En effet, suite à cette lecture, j’ai trouvé 3 articles traitant de cette génération dans ma veille Twitter et qui apportent un éclairage a priori contradictoire mais au final complémentaire autour de la notion de l’éducation sur cette génération. Le premier émane d’un enseignant Ne me dites plus que je suis un digital native de la génération Y . Il estime que cette « génération » dont il fait partie est encore trop jeune et trop hétérogène dans ses usages et compétences pour la rallier sous la bannière des « Y », il le constate à titre personnel et en tant qu’enseignant quand il observe ses amis ou ses étudiants : l’usage et la compétence est très disparate d’un individu à un autre. (Il y a) « la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. A vos souris ! Like this:

Niveau informatique des digital natives : la fin d’un mythe La génération Y (ou digital native ) dispose d’une compétence incontestable aux yeux de beaucoup d’observateurs : la maîtrise complète des outils informatiques, du web et des smartphones. La presse est d’ailleurs l’un des relais importants de cette théorie. Pourtant une analyse sérieuse du phénomène amène le mythe à s’effondrer très rapidement. Le grand quiproquo La naissance d’un mythe des compétences informatiques de cette génération tient bien sûr à des observations bien réelles. Il y a cependant un grand malentendu dans ce raisonnement : la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. Pour éclairer mon propos, prenons l’exemple d’un produit nettement plus simple : la voiture. Le niveau informatique de cette génération Vous n’êtes pas encore convaincu ? La France dispose d’un outil statistique remarquable pour évaluer objectivement la compétence de cette génération : le taux de succès au Certificat Informatique et Internet. L’avenir de la génération digital native

Ces trentenaires qui n'ont plus envie de se lever pour bosser Ils ont des diplômes, un job, un bon salaire... mais s’ennuient à mourir, découvrant sur le tard les affres de la quête de soi. Alexandre a un parcours plutôt classe : il est diplômé d’une grande école de commerce parisienne, après avoir effectué un parcours universitaire et scolaire à l’étranger. Son CV a de la gueule et c’est une mince consolation. Sa vie professionnelle l’ennuie terriblement (il n’en voit pas le bout). Alors qu’il méprise la comptabilité, il a travaillé trois ans à la direction financière d’un groupe de luxe suisse. Il vient de quitter son poste, pour faire « à peu près la même chose » en France. Alors que fin 2009, le taux de chômage des moins de 30 ans était de 17,3%, de nombreux trentenaires surdiplômés, qui ont décroché un contrat indéterminé, n’arrivent pas à s’en réjouir. « Je suis un forum américain depuis bientôt six ans, où les mecs balancent leurs videos Youtube. Le poids du diplôme, et les parents qui surinvestissent

Petit, je voulais être boulanger, mais j'étais bon en maths Petit, je voulais être boulanger, puis facteur, puis berger. On m’a poussé à faire des études. On m’a expliqué que c’était le seul moyen de réussir ma vie, de gagner de l’argent, de m’épanouir dans un métier. J’ai enduré de longues heures, de longues années de cours. Je me suis ennuyé, ennuyé et encore ennuyé sur des dizaines, des centaines, de milliers de chaises. Et maintenant que j’ai cinq années d’étude en poche, que je travaille - je suis ingénieur, je passe mes journées à concevoir des cuillères en plastique à moindre coût, pour environ 1700 euros par mois- je continue à m’ennuyer, et regrette profondément de n’avoir pas écouté le petit enfant qui voulait élever ses moutons en Ardèche. Et autour de moi, lorsque je tends l’oreille, voici ce qui tombe dedans : « J’ai fait cinq ans d’étude, je passe mes journées à faire des additions. Des agents économiquement productifs ou des ratés On ne cherchera pas à savoir ce que l’élève veut faire de sa vie. Pour maintenir l’ordre : l’angoisse

Petite Poucette, la génération mutante Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Je le baptise Petite Poucette, pour sa capacité à envoyer des SMS avec son pouce. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux grandes révolutions : le passage de l’oral à l’écrit, puis de l’écrit à l’imprimé. Cette mutation, quand a-t-elle commencé ? Pascale Nivelle

Génération Y, génération casse-tête ! | Richesses Humaines | Scoop.it La bonne entente est essentielle au fonctionnement d’une entreprise et la gestion des relations intergénérationnelles en est l’un des piliers. Comprendre ce qui caractérise chaque génération permet d’apprendre à travailler ensemble… et de sortir du casse-tête du management de la génération Y. Afin d’optimiser les relations intergénérationnelles dans le milieu professionnel, il faut commencer par connaître l’autre. Pour cela, comprendre ce qui fonde ses valeurs et savoir quels sont les leviers qui activent chaque être sont des bases incontournables d’une bonne gestion intergénérationnelle. Portraits robot de 3 générations de pros Les « baby boomers » nés entre 1945 et 1965 ont bénéficié de la croissance et du plein emploi ; c’est une génération qui a connu la liberté sexuelle, a inventé la société de consommation, et croit en la réussite sociale. La génération « Y », née entre 1980 et 1995, est celle de la mondialisation, de l’effondrement du mur de Berlin... Nos préjugés ?

Seniors et génération Y : des attentes identiques envers le management Publié le 21/12/2011 Attention, cet article a été publié le 21/12/2011. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Pour la première fois, trois générations aux valeurs et attentes différentes doivent collaborer dans l’entreprise. Une gageure pour le management, à laquelle un atelier RH organisé par le site GenerationS a tenté de répondre le 16 décembre 2011. En 2005, le groupe EDF gérait 3 000 départs en retraite et un millier de recrutements. Un même risque de désinvestissement Guillaume Truttmann, directeur de Cross-Commerce Company, rejoint les propos de Denis Bouchard sur les difficultés des entreprises à s’adapter à la nouvelle donne. Rassurer le management D’après les intervenants, les responsables RH ont tout intérêt à rassurer les managers. Gilles Marchand Crédits photo : Fotolia.com

Related: