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Les mensonges du Point sur « la France des assistés »

Les mensonges du Point sur « la France des assistés »
La France, pays d’assistés ? C’est l’un des préjugés les plus répandus, dénonce ATD Quart Monde. « Chaque campagne électorale on y a droit, chaque mois de novembre paraît un sondage concluant que 8 Français sur 10 pensent que la France est un pays d’assistés… », déplore Jean-Christophe Sarrot, rédacteur en chef de Feuille de route, le mensuel du mouvement. « Une rengaine libérale fétide », tranche l’économiste Christophe Rameaux. Un propos « démagogique, destiné à flatter une partie de l’électorat sur des conceptions populistes », analysait le sociologue Serge Paugam dans Politis en mai 2011, en réaction aux déclarations de Laurent Wauquiez, alors ministre des affaires européennes, selon lequel « dérives de l’assistanat [seraient] le cancer de la société française ». Mais cette semaine, prenant à contrepied ce qu’il défendait la semaine dernière, Le Point fait sa Une du 24 octobre sur le thème : « Les Assistés, comment la France les fabrique ? {Le Point} du 24 octobre 2013. Related:  Violence des richesMédias in-dépendants

Fabrique Spinoza - Existe-t-il un revenu optimal pour être heureux ? » Fabrique Spinoza On connaît tous les proverbes assez prosaïques qui mettent en avant l’importance de l’argent dans une vie heureuse: l’argent ne fait pas le bonheur… mais y contribue fortement, faute d’argent, c’est douleur non pareille ou encore on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche. Cette perception de l’argent qui serait facteur de bonheur se retrouve d’ailleurs dans différentes enquêtes: c’est ainsi que d’après une enquête IFOP, 61% des Français affirment « manquer d’argent pour être tout à fait heureux » contre 33% qui préfèrent l’amour. Des nations riches mais moins heureuses que d’autres Pourtant, lorsqu’on regarde les classements des pays les plus heureux, la France où le PIB/tête est le 5ème plus important au monde, apparaît loin derrière des pays dont les habitants ont un niveau de vie bien inférieur aux Français […] Pour lire la suite de l’article complet Les recommandations de la Fabrique Spinoza Inspirée par ces recherches, la Fabrique formule quelques propositions.

Météo des neiges, télévision de riches Alors pourquoi la météo des neiges est-elle programmée à une heure de grande écoute ? C’est parce que la télévision montre beaucoup plus de membres de la classe supérieure que de gens des classes populaires. On entend souvent dire que la télévision serait un organe de propagande du gouvernement ou le temple de la bêtise ou du consumérisme. Mais ce qui saute aux yeux d’abord c’est qu’elle fait des membres de la classe supérieure la référence obligée de tous les autres. Cette surreprésentation a des conséquences sur nos perceptions de la société – elles contribuent par exemple à notre méconnaissance des inégalités : ces couples de cadres avec trois enfants et une grande maison comme ceux du programme court « Parents mode d’emploi » sur France 2 deviennent la norme du « Français moyen » alors qu’ils font de fait partie des classes supérieures. Le règne sans partage des bourgeois dans notre télé Le point de vue des bourgeois d’abord Mais de quel consommateur parle-t-on au juste ?

Territoires et dynamiques spatiales de la finance mondiale - Globe En écho à l’émission que Planète Terre consacre aujourd'hui à la géographie de la finance mondiale (disponible à la réécoute et au podcast ici), Globe vous propose de découvrir les démarches de recherche de ses deux invités : Olivier Crevoisier et Maude Sainteville. Alors que l'avènement du capitalisme financier a été présenté par certains analystes comme l'annonce de la "fin de la géographie", la géographie peut-elle vraiment nous aider à décrire les flux financiers, si mobiles qu'ils semblent abolir les distances ? Quels sont les principaux enseignements de ces travaux pour la compréhension du fonctionnement de l'industrie financière ? Quel est l'apport de la géographie au débat sur la réforme du système financier après la crise de 2008 (dont les mécanismes sont rappelés dans cette vidéo et illustrés par cette carte) ? "Les territoires de l'industrie financière" (O. Les territoires et les circuits de la globalisation financière : De (nouveaux ?) I. Sources : Pour aller plus loin :

Bolloré abuse contre la presse, et c'est la justice qui le dit Nicolas Vescovacci peut rigoler: «Il vient de financer mes prochains procès en diffamation.» Ancien journaliste à Canal +, il est l'un des auteurs du désormais célèbre documentaire sur le Crédit Mutuel, déprogrammé abruptement par la chaîne cryptée en mai 2015, sur instruction directe de Vincent Bolloré, avant d'être finalement diffusé six mois plus tard sur France Télévisions. N'ayant guère gouté cette censure, il avait transformé l'essai un an plus tard dans un livre, intitulé Vincent tout puissant (JC Lattès). D'ou cette contre-attaque pas forcément nuancée: sous l'étiquette de Vivendi, personne morale, et non pas de son patron en tant que personne physique, l'avocat de l'homme d'affaires avait porté plainte contre son ancien salarié, non pas pour diffamation, mais pour dénigrement, voire harcèlement, réclamant à ce titre pas moins de 700 000 euros de dommages et intérêts. Renaud Lecadre

"L'Internationale des riches" / Le Monde diplomatique Numéro coordonné par Martine Bulard et Pierre Rimbert Lire, dans Le Monde diplomatique de juin 2008, le compte rendu de ce numéro par Laurent Cordonnier. A quoi servent-ils ?Pierre Rimbert I. Une croissance à faire rêver les gouvernements : 8,3 %. Illustration grinçante de la thèse selon laquelle la mondialisation ne profite pas qu’aux Occidentaux, le club des grandes fortunes accueille de nouvelles têtes. Si l’internationalisation des échanges renforce le pouvoir de l’élite mondialisée, l’arbre de la « superclasse » dissimule le buisson des nantis qui prospèrent à l’ombre des nations. Tous milliardaires...Mathias Roux Les inconnus des statistiquesAlain Bihr et Roland Pfefferkorn Naissance d’une bourgeoisie africaineJean-François Bayart Bienvenue dans « bling-bling India »Cléa Chakraverty Après le pétrole, les services de luxeAkram Belkaïd Au temps des « barons voleurs »Howard Zinn Les grands d’AmériqueClaude Julien II. Des philosophes pour les propriétairesPhilippe Videlier III. Iconographie

L'excès des informations provenant des mass média risque d'affaiblir l'aptitude au jugement raisonné, par Jacques Ellul (Le Monde diplomatique, mai 1970) Il est peut-être nécessaire de rappeler dès le début que nous ne pouvons éviter la pluralité de sens du mot information, car les moyens modernes d’information ne se situent que par rapport à tel ou tel usage de ce mot. D’un côté, l’information concerne les « nouvelles » transmises, qu’il s’agisse de politique, d’économie, de questions sociales. Le moyen de cette information sera le journal ou l’information radiodiffusée, télévisée, etc. De l’autre, l’information doit être prise dans un sens beaucoup plus large : il s’agira de tous les « signaux » ayant un contenu significatif, depuis le feu vert ou rouge jusqu’au film ou au spectacle télévisé de haute qualité. Il y a assurément plusieurs niveaux à considérer. Le plus simple est celui de la transmission des connaissances. En certains points on essaie de procéder à la jonction. L’ordinateur professeur On ne peut donc espérer résoudre le problème de l’encombrement des informations en confiant tout le paquet à l’ordinateur.

72% des millionnaires ne se sentent pas riches Alors que certaines professions gagneraient à se faire discrètes pendant quelques temps, rapport à leur cote de popularité, on apprend que la banque d'investissement UBS Wealth Management Americas a réalisé une étude pour nous expliquer que les millionnaires ne se sentent pas riches. Comme l'écrit ABC News, les investisseurs qui n’ont «qu’un» malheureux million de dollars (environ 750.000 euros) ne sont que moins d’un tiers à se considérer comme riches (28%). Autrement dit, 72% ne se considèrent pas comme riches. Il faut passer à la catégorie des petits multimillionaires, ceux disposant de 1 à 5 millions (environ 3.768.000 euros) de patrimoine financier, pour trouver une majorité de clients s’estimant «riches», mais là encore ils ne sont que 60%. publicité L’une des plus grandes surprises, écrit UBS, a été de découvrir que quatre investisseurs sur cinq avaient la charge financière de leur enfant ou de parents âgés. «Il y a toujours des gens autour de vous qui ont plus que vous.

David Pujadas et Julian Bugier : des paroles, des actes et des omissions - Télévision « Ça ne me dérange pas que vous soyez de droite ! », assène Jean-Luc Mélenchon à David Pujadas. Moqueur, le présentateur de Des paroles et des actes souligne l’incompatibilité de cette attaque avec la précédente : « Tout à l’heure, j’étais Manuel Valls, maintenant, je suis de droite ! » Or, chacun sait que Manuel Valls est de gauche. Pour David Pujadas. Des paroles et des actes a aussi succombé à son traditionnel travers, l’omission (totale ou partielle) des qualités des invités. « Bonsoir Céline Imart-Bruno, salue David Pujadas, vous êtes en direct avec nous depuis le Tarn, c’est un beau pays. « Deuxièmement, argue Céline Imart-Bruno, je ne défends pas un modèle productiviste. » Là encore, personne sur le plateau pour rappeler des déclarations publiques montrant que le productivisme de l’invitée confine au dogmatisme. La couverture de l’actualité des travaux publics, en tout cas, est particulièrement exhaustive sur la chaîne publique.

Study: Only 28 Percent of Millionaires Think They're Rich If you had investments worth a million dollars, would you consider yourself rich? How about $5 million? Well, hold on to your wallet because a new study has found that the majority of millionaires don't consider themselves rich. According to a study from investment bank UBS, entitled "What is Wealthy?," 40 percent of those with $5 million in investable assets said they didn't feel they were rich. And only 28 percent of investors who had between $1 and $5 million in investable assets viewed themselves as rich. "To us, the surprise was that that many people with $1 million or more did not consider themselves wealthy," said Emily Pachuta, head of investor insights at UBS Wealth Management Americas. According to the opt-in, online survey of 4,450 Americans ages 25 plus with a minimum of at least $250,000 in investable assets (half with at least $1 million in investable assets), 50 percent of investors define wealth as "having no financial constraints on what they do."

Quand l'AFP étouffe des informations gênantes pour le nouveau pouvoir (SNJ-CGT) Nous publions ci-dessous un communiqué du SNJ-CGT dans lequel il est question de l’indépendance de l’AFP sérieusement remise en cause par des décisions récentes de la rédaction en chef. (Acrimed) L’affaire Richard Ferrand, sortie par le Canard Enchaîné dans son édition du 24 mai, aurait pu être révélée par l’AFP. Des journalistes de l’Agence étaient en effet en possession des informations, mais la rédaction en chef France n’a pas jugé le sujet digne d’intérêt. Qu’un possible scoop sur une affaire politico-financière impliquant le numéro deux du nouveau parti au pouvoir ne soit pas jugé intéressant, voilà qui est troublant. Généralement, un média met les bouchées doubles pour enquêter sur ce type d’informations quand elles se présentent. L’AFP se contentera, quelques jours plus tard, de mentionner d’une phrase le témoignage de l’avocat interviewé par Le Parisien. Intérêt "trop limité" Tout cela fait beaucoup d’infos sensibles étouffées en quelques jours.

Why Don't the 1 Percent Feel Rich? - Matthew O'Brien The merely rich are making more, but they're not worth more. It's the 0.01 percent that are creating our new Gilded Age. Reuters It's hard out there for the 1 percent. Okay, that's not true at all. Well, sure. But just because the rich are making more doesn't mean that they're worth more. Now, remember, income is how much money comes into your bank account each year, and wealth is how much money you already have in it, along with any stocks, bonds, and real estate (minus any debts). Part of it is that the top 1 percent of earners aren't the same people each year. But another part of it is status anxiety. The merely rich don't think they are rich because they aren't rentiers. It belongs to the top 0.01 percent—and they already own it.

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