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L’Atelier d’Alberto Giacometti

L’Atelier d’Alberto Giacometti
Dossiers pédagogiques Parcours exposition Introduction à l’exposition L’atelier comme laboratoire Du Primitivisme au Surréalisme Les premières années De l’objet à la vision Remettre en cause la ressemblance Épuiser le modèle, recommencer sans fin L’artiste à l’œuvre L’œuvre et son espace Inclure le vide et la distance Bibliographie Bibliographie L’atelier comme laboratoire Le Centre Pompidou, Musée national d’art moderne organise, en partenariat avec la Fondation Alberto et Anne Giacometti, l’exposition intitulée « L’Atelier d’Alberto Giacometti ». Ce dossier, conçu à l’attention des enseignants, propose d’interroger l’œuvre de Giacometti à partir de quatre moments forts de sa création : - les premières années ou Du Primitivisme au Surréalisme, - la remise en cause de la ressemblance et le passage qui s’opère De l’objet à la vision, - l’artiste à l’œuvre, Épuiser le modèle, recommencer sans fin, - la singulière relation qui se noue de L’œuvre à son espace. Du Primitivisme au SurrÉalisme Revues Related:  Années 50

Giacometti-mania Le 21 juin ouvrira à Paris l'Institut Giacometti: l'occasion de revenir, avec Catherine Grenier, directrice de la fondation Giacometti, sur l'oeuvre d'un artiste inclassable et fondamentalement libre, qui génère encore aujourd'hui notre intérêt comme celui des jeunes générations d'artistes. "Ce que nous souhaitons faire à l'Institut Giacometti, c'est porter un regard nouveau sur Giacometti : celui des historiens, ou bien des artistes qui entrent en dialogue avec lui dans leurs œuvres." Catherine Grenier Giacometti est partout : à l'affiche d'un film portrait depuis le 6 juin, le célèbre sculpteur de L'homme qui marche est exposé actuellement de Bâle à New-York, tandis qu'un institut à son nom va s'ouvrir ce mois-ci à Paris. Pensé dans le prolongement de la fondation Giacometti, il s'agira d'une porte d'entrée dans l'atelier de l'artiste. Pour en parler, l'historienne de l'art Catherine Grenier, qui est la directrice et conservatrice de cette fondation. Sons diffusés:

La Révolution surréaliste Dossier Du 6 mars au 24 juin 2002 Parcours découverte et pistes pédagogiques pour les enseignants Vous trouverez dans ce dossier des propositions de parcours, à exploiter avec vos élèves. Cette traversée s’appuie sur des œuvres qui figurent dans l’exposition présentée au Centre Pompidou, et s’oriente selon les thèmes suivants : Quand peinture et poésie se rencontrent : Max Ernst L’intérêt pour la mythologie L’inquiétante étrangeté L’automatisme L’objet surréaliste La ville : le Paris des surréalistes Quand peinture et poésie se rencontrent : Max Ernst L’articulation littérature arts plastiques n’a jamais été aussi serrée que pendant la grande aventure surréaliste. L’œuvre d’Arthur Rimbaud et celle de Lautréamont ainsi que la psychanalyse freudienne, découverte alors récente, sont au cœur de la nouvelle esthétique. ► Max Ernst, La Puberté proche… ou Les Pléiades, 1921 Collage, fragments de photographies retouchées, gouache et huile sur papier, monté sur carton Collection particulière Huile sur toile (salle 1)

L’homme qui chavire | Panorama de l'art Né en 1901 à Stampa en Suisse, à la frontière avec l’Italie, Alberto Giacometti pratique dès son plus jeune âge le dessin, la peinture et le modelage, des techniques qui resteront au cœur de son travail tout au long de sa carrière. Installé à Paris depuis 1922, il élit domicile en 1927 dans le quartier Montparnasse où il a trouvé un atelier qu’il occupera jusqu’à sa mort. Fasciné par les antiquités égyptiennes, l’art africain et océanien tout autant que par la peinture de Paul Cézanne, Giacometti cherche longtemps sa voie parmi les différents courants avant-gardistes de la première moitié du XXe siècle. Ce n’est qu’après 1945 que naissent les figures longilignes qui lui apportent la notoriété et le succès. Avec elles, il revient à l’étude de la figure humaine et apparaît à contrecourant des grands mouvements esthétiques de son temps, tant par sa technique que par ses thématiques. Une création singulière L’obsession du vide Le socle primordial L’art, un moyen de mieux voir

Trois clés pour comprendre l'œuvre d'Alberto Giacometti Une grande exposition au musée de Grenoble réunit du 9 mars au 9 juin peintures, sculptures et photos de l'artiste suisse. De ses sculptures, on ne retient généralement que des formes humaines longilignes quasi abstraites, indéchiffrables. Alberto Giacometti (1901-1966) a passé sa vie à dépouiller ses œuvres, à effacer inlassablement les signes permettant de les identifier. C’est ce qui rend son art si universel et si difficile à cerner. Une grande exposition qui réunit du 9 mars au 9 juin au musée de Grenoble plus de 70 œuvres (peintures, sculptures, photos…), dont de nombreux prêts exceptionnels de la Fondation Giacometti, permet de mieux comprendre sa démarche. L'événement se concentre sur les vingt dernières années de la vie de l'artiste suisse, les plus productives, qui ont aussi donné naissance à ses œuvres les plus connues. Des œuvres comme emprisonnées Mais les cages n'apparaissent pas exclusivement dans la sculpture de l'artiste. Un art de l'effacement Et l'homme, alors ?

947-JEAN TINGUELY (1925-1991) : UN CHOIX D'ŒUVRES DES ANNÉES 1945-1960 - Jean Tinguely et Méta-Matic, Première Biennale de Paris, 1959, photographie argentique de Paul Almasy, 27,8x22, 5 cm. Jean Tinguely (1925-1991) est un artiste suisse (sculpteur, peintre, dessinateur) qui a passé son enfance et son adolescence à Bâle.Enfant, il crée, dans la forêt, au bord du ruisseau, une vingtaine de moulins hydrauliques et sonores, faits de roues de bois et de boîtes de conserves heurtées. Ces réalisations éphémères révèlent déjà son intérêt pour la construction, les matériaux pauvres, la roue, le temps, le mouvement, la vitesse et le son.Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il fait un apprentissage de décorateur/étalagiste puis suit des cours à l'Ecole des Arts appliqués de Bâle où il découvre l'Art contemporain et en particulier l'Art abstrait, le Dadaïsme, le Bauhaus et le Constructivisme russe. A l'Ecole, il rencontre en 1944 Eva Aeppli (1925-2015) qui devient sa compagne et qu'il épousera par la suite (en 1951). - TINGUELY Jean (1925-1991), Stabile I, vers 1948.

Éric Giacometti Éric Giacometti (2017) Œuvres principales Il est également membre historique de la Ligue de l'imaginaire, collectif d'écrivains de thrillers et d'ouvrages de fiction, et il enseigne au Centre de formation et de perfectionnement des journalistes, à Paris, où il anime, des modules sur l'écriture et la publication de livres Carrière de journaliste de presse écrite[modifier | modifier le code] Éric Giacometti a été chef de service au Parisien-Aujourd'hui en France dans les rubriques société puis économie/finances jusqu'à la fin 2012. Au cours de sa carrière de journaliste, il a travaillé sur les spoliations sous l'Occupation et a publié les archives inédites du ministère des Finances (Le Point) et le premier document sur le rôle de la Sacem sous l'Occupation (Le Parisien)[2]. Écrivain[modifier | modifier le code] Romancier à succès[modifier | modifier le code] Parallèlement, il prolonge son métier de journaliste en écrivant dix-sept ouvrages, thrillers ou essais.

Auguste Herbin -L’alphabet plastique : une abstraction spirituelle. - Art-Histoire-Littérature C’est pendant la deuxième guerre mondiale alors qu'Auguste Herbin est très isolé suite à la dissolution du groupe abstraction–création, et à la fuite de nombre de ses amis, qu’il élabore son livre manifeste : « L ‘art non figuratif non objectif ». Ce livre est tout à la fois un traité de peinture, et un livre mystique. Le vocabulaire employé par Herbin, a souvent rapport à la foi, à la création, à la spiritualité. Dans cette dernière partie de l’œuvre de Herbin c’est le verbe, le mot qui va être le point de départ de l’image, tel le verbe divin, créateur de toute chose. Cette dernière partie de l’œuvre de Herbin semble être basé sur un paradoxe, en effet, elle se veut universelle et pourtant elle est hermétique, elle est « décorative » plaisante à l ‘œil, et pourtant complexe. « Comme la musique, la peinture a son propre alphabet qui servira de base à toutes les combinaisons de couleurs et de formes » Auguste Herbin « L’art non figuratif non objectif », 1949. Les sources d’inspiration : Do

Giacometti - Liste de 40 livres Zoé Balthus: Giacometti : le nez de Yanaihara ou la catastrophe de 1956 En novembre 1955, Isaku Yanaihara, jeune professeur de philosophie à l'université d'Osaka, débarquait à Paris pour compléter ses études et gagnait un peu d’argent en rédigeant des articles pour la presse nippone. C’est ainsi qu’il était entré en contact avec le peintre et sculpteur suisse Alberto Giacometti. Le jeune homme souhaitait rédiger un entretien avec l’artiste que lui avait commandé un magazine japonais. Date fut prise. Après une première rencontre, ses visites à l’atelier situé au 46 rue Hippolyte Maindron, se succédèrent régulièrement et moins d’un an plus tard, les entretiens s’étaient transformés en séances de pose. « Peindre votre tête, c’est s’aventurer dans un monde totalement inconnu, […] une aventure sans précédent, la plus grande de toutes », avait déclaré Giacometti qui s’était pris de passion pour les traits du jeune philosophe. Leur « aventure » était alors encore loin d’être terminée. Désespéré devant sa toile et son modèle. Ecrits, Alberto Giacometti (Ed.

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