Article : 7 exercices pour être zen
Ce long week-end a été un moment idéal pour être tendre avec soi-même, corps et esprit. Il s'agit maintenant de rééquilibrer le dynamisme de l'action et la douceur de la détente. S'écouter, prêter attention à toutes les sensations qui nous habitent à l'instant " t " permet de se rééduquer aux petits plaisirs de la vie. 1. Encore dans un demi-sommeil, prenez conscience de la position allongée de votre corps, de son poids, de ses zones de contact avec le matelas. 2. Une fois devant votre bol de café (ou de thé) fumant, fermez les yeux. 3. Programmez-vous de courtes marches découvertes, d'un pas alerte. 4. L'idée n'est pas de dormir mais de se relaxer de 1 à 5 minutes. 5. Cette gymnastique en trois étapes est à pratiquer plusieurs fois par jour. 1/Laissez les mains ballantes et secouez les poignets. 2/ Relâchez les épaules et secouez-les. 3/ Activez la mâchoire de haut en bas et de gauche à droite et inversement. 6. Campez-vous debout, les pieds bien à plat sur le sol. 7.
Site : outils pratiques pour se détendre
La relaxation progressive de jacobson Le training autogène de Shultz Le training autogène de R Abrezol La relaxation est un des outils incontournables de lasophrologie car qu’elle permet d’atteindre un état de conscience modifié, appelé communément « au bord du sommeil » et qui favorise la communication avec notre cerveau émotionnel (cerveau limbique). Une pratique constante de la relaxation ou de laméditation installe un mécanisme protecteur contre les automatismes et schémas de pensée anxiogènes. Détendre le corps c’est détendre l’esprit. L’inspiration de l’artiste, le deuxième souffle, le souffle de la vie, le souffle coupé, etc. Au premier plan, bien évidement, l’apport en oxygène. Pour autant, pensons-nous souvent à sa fonction de régulateur émotionnel ? Un cerveau mal oxygéné stresse plus vite. Nos sociétés actuelles nous maintiennent dans le déni total des leviers de notre bien-être, de notre auto-prise en charge et nous laissent croire aux providentiels moyens externes.
Peut-on susciter le désir d'apprendre ?
Tous les enfants ne sont pas « spontanément curieux » : certains montrent peu d’appétence pour apprendre. Il existe cependant des voies pour mobiliser l’ensemble des élèves. La question de la motivation et l’usage même de ce terme dans le discours pédagogique sont relativement récents. Certes, on peut trouver dans l’Émile de Jean-Jacques Rousseau des situations qui évoquent cette problématique : ainsi, s’agissant « d’exercer à la course un enfant indolent et paresseux », le précepteur distribue-t-il, sur leur passage, des gâteaux aux enfants qui s’adonnent à cette activité… jusqu’au jour où « ennuyé de voir toujours manger sous ses yeux des gâteaux qui lui faisaient grande envie, (l’élève indolent) s’avisa de soupçonner enfin que bien courir pouvait être bon à quelque chose et voyant qu’il avait aussi deux jambes, il commença de s’essayer en secret ». L’enfant, « spontanément curieux » ? Aujourd’hui, cette conception de « l’enfant spontanément curieux » subsiste encore ici ou là.
STRESS | Comment vaincre son stress ?
Bandura
Idées maîtresses Bandura se situe dans la continuité des approches behavioristes et néo behavioristes et apporte une nouvelle conception et de nouveaux concepts qui semblent avoir été influencés par le cognitivisme (il utilise des notions comme la mémoire représentationnelle) et gestaltistes (il utilise la notion d’insight) Apprentissage social. Bandura se détache des vues mécanistes du conditionnement : il parle plutôt d’apprentissage par les conséquences des actions (il rejoint en cela Skinner). Analyse de document Tous les extraits, sauf indication contraire, sont issus d'une seule source. Inné et acquis ► Pour Bandura, il y a inter influence entre l’expérience et les facteurs biologiques innés « Sauf pour les réflexes élémentaires, les individus ne disposent pas de répertoires innés de comportement. Apprentissage par les conséquences des actions « Les nouveaux patrons de réponse sont acquis soit par expérience directe, soit par observation. » Modelage (apprentissage par modelage)
Site : les risques psycho-sociaux et le burn-out
Le burn-out se définit par un épuisement physique et psychique, par un sentiment d’impuissance, par une grande fatigue émotionnelle et par le développement d’une vision négative de soi et de ses capacités au travail. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit le burn-out par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ». Le burn out se caractérise par 3 phases: Épuisement émotionnel: renvoie au manque d’énergie, au sentiment que les ressources émotionnelles sont épuisées. Dépersonnalisation ou le cynisme : renvoie au développement d’attitudes impersonnelles, détachées, négatives, cyniques. Accomplissement : s’exprime par le manque d’accomplissement personnel.
Le gout du risque favoriserait l’apprentissage
Des chercheuses ont fait une découverte étonnante : le penchant pour la prise de risque chez les adolescents ferait en sorte qu’ils apprennent différemment des adultes. Shutterstock / oneinchpunch Cet article est une adaptation libre du texte « How Teens’ Penchant For Risk-Taking May Help Them Learn Faster » publié dans le blogue MindShift du média californien KQED. Qu’est-ce qui caractérise le cerveau des adolescents? L’analyse du cerveau des adolescents montre que ceux-ci ont un penchant pour les récompenses immédiates et les sensations fortes. Les recherches montrent que le striatum des adolescents est très actif. Quel est le lien avec l’apprentissage? Selon les propos de Daphna Shohamy, une spécialiste des neurosciences cognitives de l’Université Columbia, le striatum n’est pas seulement impliqué dans la recherche de récompense immédiate. Résultat : les adolescents ont complété le jeu plus rapidement que les adultes. Retombées de la recherche [Consultez l'article]
Les 6 bonnes façons de gérer sa colère | Microcoaching
Certains d’entre nous ont l’habitude de gérer l’agressivité des autres, mais se retrouvent complètement démunis quand il s’agit de gérer leur propre colère, tout simplement parce qu’ils ne se donnent pas le droit de la ressentir, ou parce qu’ils pensent que c’est une émotion “incorrecte”.Alors comment gérer cette émotion tout en se protégeant ? En pratique : Acceptez votre colère comme une émotion normale. Arrêtez de faire comme si tout allait bien ! Demandez-vous ce qui vous énerve exactement, de façon à pouvoir le transcrire en mots de façon précise et juste. Interrogez-vous sur le besoin que vous ressentez. Verbalisez votre colère de façon à être entendu et votre besoin satisfait. Si vous sentez que vous allez vous énerver quand même, reportez la discussion. Ne transférez pas votre colère sur quelqu’un (au choix votre conjoint, vos enfants, un autre collègue…) qui n’est pas concerné par ce qui cause votre émotion .