Quand les géants du Net se mettent à la logistique... La logistique reste le talon d’Achille du e-commerce Bits contre atomes. Numérique contre physique. La rareté de l’espace impose la rareté du choix. Le nombre de produits en vente est limité. Les prédictions de Chris Anderson se sont vérifiées principalement pour les biens immatériels – musique, vidéo, presse, livres – que l’on peut charger ou consommer à distance. Le commerce électronique a surtout amélioré l’expérience client, alors que la logistique reste le point faible du modèle économique. D’où l’invention des concepts “click and collect” ou “click and mortar”, appelés “Drive” en France : je commande en ligne et je passe prendre mes courses dans un lieu situé idéalement sur mon parcours quotidien. Le concept du Drive peut être amélioré à la marge : des entreprises étudient des dispositifs permettant d’être livrés par votre magasin directement dans le coffre de votre voiture. Dans cette compétition, Amazon, présent depuis 1994, a pris une avance considérable.
Consommation : Les clients de Disney portent un bracelet électronique Aux États-Unis, dans le parc d'Orlando, le géant américain expérimente depuis décembre un système voué à remplacer les tickets d'entrée et les moyens de paiement. Disney poursuit sa révolution technologique. Un plan de modernisation sera mis en place au printemps 2013. Parmi ses innovations, le géant américain du divertissement teste depuis décembre, dans son parc d'Orlando aux États-Unis, un système de bracelet électronique voué à remplacer les tickets d'entrée et les moyens de paiement. Concrètement, le bracelet MyMagic+ permet de payer aux stands de restauration sans carte bancaire grâce à sa puce RFID (puce de radio-identification). Une avancée technologique qui soulève des interrogations outre-Atlantique, notamment sur la collecte d'informations personnelles. Données personnelles sécurisées Le groupe se dit toutefois conscient des problèmes potentiels liés aux données personnelles, surtout concernant les enfants. » Disneyland Paris souffle ses 20 bougies
La logistique en amélioration continue - Dossiers LSA Conso LSA a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés LSA.fr. Découvrez nos offres d’abonnement Le fait qu’Amazon connaisse si bien les habitudes d’achats et les goûts de ses clients, grâce aux données de navigation, ne lui sert pas seulement à leur formuler des suggestions d’achats. Résultat, entre le moment où le client d’amazon.fr valide son achat en ligne, et l’arrivée du produit sur le quai de départ de l’entrepôt Amazon de Lauwin Planque (Nord), par exemple, il s’écoule en moyenne deux heures et quart. Un bazar apparent C’est justement ce dont se félicite Stefano Perego. « Nos processus sont conçus avant tout pour que le volume d’activité soit le plus stable et donc le plus optimisé possible, chaque variation d’activité non prévue peut stresser la structure », formule-t-il. Ce « bazar » apparent masque une organisation ultraprécise. Un million de colis, 34 erreurs… centres de distributions dans le monde (à fin 2013), dont 4 en France Jusqu’à 70%
Gérer ses magasins depuis un mobile DSI de la chaîne de magasins Babou David Legeay est le DSI de la chaîne de magasins Babou, une enseigne qui vend des produits discount pour la maison et la personne, au travers de 91 points de ventes répartis sur le territoire... La chaîne de magasins Babou ne perd plus des dizaines de millions d'euros de marchandises depuis qu'elle a doté ses magasins de moyens informatiques pour suivre la traçabilité de la marchandise. Il y a encore cinq ans, les magasins de la chaîne Babou commandaient le réassort de leurs rayons en passant des fax à la centrale d'achat. Il s'agissait alors d'approvisionner 73 magasins avec 35 000 références produit sur 200 000 m2 de surface de vente. Passer une commande lorsqu'on tombe sur un rayon vide Le but premier de notre application de gestion des magasins sur appareils mobiles est de permettre aux gérants de commander des produits alors qu'ils sont en train de marcher dans leurs rayons, ou pendant qu'ils visitent leurs stocks.
Directive DEEE - 2002 - Exemple de logistique inversée Directive 2002/96/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 2003 relative aux déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) - Déclaration conjointe du Parlement européen, du Conseil et de la Commission relative à l'Article 9 Journal officiel n° L 037 du 13/02/2003 p. 0024 - 0039 Directive 2002/96/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 2003 relative aux déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) vu le traité établissant la Communauté européenne, et notamment son article 175, paragraphe 1, vu la proposition de la Commission(1), vu l'avis du Comité économique et social(2), vu l'avis du Comité des régions(3), statuant conformément à la procédure prévue à l'article 251 du traité(4), au vu du projet commun approuvé par le comité de conciliation le 8 novembre 2002, considérant ce qui suit: (7) La quantité de DEEE produits dans la Communauté croît rapidement. Article premier Objectifs Article 2 Champ d'application 1. 2. 3. Article 3 Définitions Article 4 1.
Ce que Google sait de vous! Comme vous le savez, les moteurs de recherche en général et Google en particulier sont très friands d’informations personnelles vous concernant. Si vous n’avez pas lu les règles de confidentialité de Google, je vous les recommande… Elles sont détaillées à l’adresse On comprend que Google prévoit de stocker et croiser tous les éléments concernant ses utilisateurs : vos données personnelles: nom, adresse, numéro de téléphone, numéro de carte de paiement,vos données techniques sur les appareils connectés (smartphone, tablette, etc.) et leurs paramétrages,journaux de consultation ou d’utilisation des outils Google (historique de recherche). Si vous utilisez un service de Google, connectez-vous à l’adresse du Dashboard ( Voici une infographie publiée par le Wall Street Journal ( le 30 juillet dernier: A propos de : Christian Vanden Berghen
Les raisons de l’externalisation de la logistique e-commerce De plus en plus de plateformes logistiques voient le jour proportionnellement au développement du e-commerce, les e-commerçants ont aujourd’hui un large choix de prestataires logistiques. Si certains préfèrent se focaliser sur leur cœur de métier grâce à l’externalisation, d’autres choisissent de gérer en interne la logistique. Mais alors pourquoi externaliser sa logistique quand on est un e-commerçant ? Vous avez donc tout intérêt à prendre le temps de vous renseigner, de comparer et de trouver le partenaire de confiance capable de vous proposer les meilleurs prix par rapport au service proposé. La logistique est le cœur même du e-commerce, si les livraisons ne respectent pas les délais et si la gestion de vos stocks n’est pas transparente vous avez de grandes chances de faire du sur place avec votre business. Le premier atout majeur de l’externalisation est son aspect économique. L’externalisation permet donc de gagner de l’argent, mais aussi de bénéficier d’un service de qualité.
Medhi Berrada, Poult : « Il faut supprimer tous les postes hiérarchiques de contrôle » Mehdi Berrada est Directeur général adjoint du Groupe Poult. Il a participé à la transformation des modes de travail impulsée par Carlos Verkaren visant à bâtir une organisation neuve et une stratégie d’innovation ouverte. Le 26 mars prochain, il racontera comment le Groupe Poult a cherché à faire de son modèle managérial un avantage concurrentiel en donnant plus de liberté aux salariés et écrasant la pyramide hiérarchique lors de la 2e édition de Vers la fin du management de reporting, la conférence organisée par EFE, en partenariat avec Collaboratif-info. Il répond en attendant à nos 4 questions flash. 1/ Pensez-vous que les pratiques managériales actuelles soient un frein à l’innovation et à la croissance en entreprise ? 2/ Pour reprendre les termes du gourou du management Gary Hamel, faut-il virer tous les managers ? 3/ En quelques mots, comment un modèle managérial peut-il devenir un avantage concurrentiel ?
« Dans les entrepôts, le préparateur de commandes, c’est le mineur d’il y a trente ans » – Commencer mission ok ? – Ok – 250 colis, volume 1 400 dm3, dites ok – Allée 4 – Emplacement 17 – Numéro correspondant ? – 4 [pour 4 colis] C’est un dialogue qui se répète, en boucle. Comment s’est développée la logistique ? David Gaborieau : L’émergence du secteur est liée aux transformations du monde industriel. Dans les années 1980, ces évolutions ont été accompagnées d’un discours de valorisation de la logistique, présentée comme un secteur clé, le « trésor caché » de l’industrie qui pouvait être une vraie source de profits. Aujourd’hui, l’e-commerce contribue à l’essor de la logistique, même s’il ne représente encore que 8 % de l’activité. Comment se déroule une journée type dans un entrepôt ? Lorsque l’on arrive à l’entrepôt, qui est devenu un lieu sécurisé, on badge pour entrer dans le parking, puis pour entrer dans le bâtiment. A partir de là, la voix annonce les colis à prendre, un à un. Tous les ordres sont donnés par la machine, on peut passer presque toute sa journée seul.
Cadre de référence sur la culture Numérique Un cadre de référence sur la « Culture Numérique »... Si la transformation numérique est un enjeu pour l’entreprise (petite ou grande), elle l’est aussi pour chacun de nous. Jeune en devenir, acteur de la vie professionnelle, acteur de la vie associative, personne ne peut rester à l’écart de cette profonde mutation sociétale. Tout le monde s’accorde sur l’ampleur de ce bouleversement qui est, par exemple pour le philosophe Michel Serre « aussi importante que le passage de l'oral à l'écrit » ! Après avoir publié son ouvrage « Entreprises & Culture Numérique » (ebook gratuit), qui encourage l’indispensable transition numérique de l’entreprise, le CIGREF propose un outil permettant d’évaluer le degré de culture numérique existant au sein de l’entreprise. Un cadre de référence CIGREF sur la « Culture Numérique »...Outil d’évaluation pour optimiser la transformation numérique des entreprises ! Un métier de l’entreprise numérique fortement impacté : la « Fonction SI »... ePix au fil du numérique
Logistique : le modèle humanitaire Tout le monde connaît Médecins Sans Frontières (MSF). Qui se doute de la machinerie logistique qui se trouve derrière la première organisation humanitaire du monde ? Quelques chiffres : - Plus de six millions de donateurs qui fournissent les neuf dixièmes des ressources de l'organisation ; - 24 sections nationales dans les cinq continents qui mènent des activités dans près d'une centaine de pays ; - Une diversité des opérations, avec au moins six catégories selon que les pays sont en paix, en guerre ou frappés d'une catastrophe naturelle, et qu’ils connaissent ou non une situation d’urgence ; - Pas moins de 10 000 catégories d'articles pour répondre à toutes les situations avec pour les plus complexes, des Kits d'urgence pouvant répondre aux besoins de groupes de 5 000 personnes en cas d'épidémie ou de seuils critiques de survie ; - Enfin 40 000 salariés de par le monde, soit l’effectif des plus grandes entreprises mondiales. Les enjeux financiers pour MSF sont de taille.
Caroline Prodhon - Les nouveaux outils d’optimisation de la chaîne logistique Les dernières émissions d'Université de technologie de Troyes (UTT) Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Business TV Accéder à Xerfi Canal Économie Accéder à Precepta Stratégiques Abonnez-vous à la newsletter Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables